Il y a de ça un an, (2009) le Groupe d’Action Royaliste exprimait son soutien aux forces du « non » en Irlande, au sujet du référendum sur le traité de Lisbonne.
Seul Etat membre contraint par sa Constitution à soumettre la ratification de ce traité au vote de ses citoyens, les Irlandais s’y étaient opposés à 53,4 % le 12 juin 2008. L’Irlande avait depuis obtenu plusieurs garanties lors du Conseil européen du 12 décembre 2008. Le but de cette manoeuvre étant de préparer un autre référendum afin d’inverser la tendance, pour la plus grande gloire de l’empire Bruxellois. Le 2 octobre 2009, le second référendum sera organisé et malheureusement, le « oui » l’emporta ! Et pas d’autres référendums depuis, forcément les technocrates de Bruxelles ayant estimé que les irlandais avaient « bien voté » cette fois-ci !
Un an après ce « référendum joker », voici que l’Irlande fait parler d’elle au sujet de sa crise bancaire. Les marchés financiers ont obtenu ce qu’ils voulaient : l’Irlande a officiellement demandé, l’aide de la zone euro pour faire face à son abyssal déficit public (- 32 % du PIB) et à son insurmontable crise bancaire.
Loin des heures glorieuses du tigre celtique, voici maintenant le règne de la dépendance à l’empire de Bruxelles !
De ce fait, nous maintenons notre démarche d’il y a un an à l’égard de l’Irlande.
En France ou en Irlande, notre jour viendra ! Tiocfaidh àr là !
Tiocfaidh àr là : (Réseau d’Alliances International)
Nous -Mêmes – Sinn Fein
Le mirage du paradis fiscal s’étant éloigné, l’Irlande comme les autres pays de l’union européenne paie le prix de son esclavage…L’entrée dans l’Europe se fait au prix de l’indépendance, l’on y perd sa monnaie et les décisions nationales sont prises à Bruxelles. Combien de gens savent que nos gouvernements sont devenus des pantins face aux diktats européens ? Combien de pays voient leurs particularités culturelles et identitaires s’effacer au profit d’un immense supermarché national manipulé par les puissances financières au profit du nouvel ordre mondial…Ne vaut il pas mieux quelquefois rester pauvre mais libre. Les Irlandais, nos frères savent ce que coûte le prix de la liberté. Nous nous sommes par le passé mutuellement aidés, nos cimetières en témoignent, pendant que les orangistes fêtent encore chaque année leur victoire sur les franco-irlandais à la Boyne …Pour redevenir libre, il faut sortir de l’Europe du fric et recréer nos anciens pactes d’alliances qui faisaient notre fierté et assuraient nos libertés.
Bobby Sand disait que notre vengeance sera dans le rire de nos enfants…
F. Winkler
An mirage Haven cánach a bhfuil i bhfad i gcéin, Éire, cosúil le tíortha eile de chuid an Aontais Eorpaigh a íoc leis an praghas ar an sclábhaíocht … Tagann an teacht isteach san Eoraip ag an costas a bhaineann le neamhspleáchas, caillfidh tú a airgeadra náisiúnta agus na cinntí a glacadh sa Bhruiséil. Cé mhéid daoine a fhios agam go bhfuil ár rialtas puipéid a bheith i gcoinne an dictates na hEorpa? Cén chaoi a fheiceáil go leor tíortha a bhféiniúlacht chultúrtha agus imíonn siad i bhfabhar ollmhargadh mór oibriú ag na cumhachtaí náisiúnta airgeadais a chur chun tairbhe don ord nua … Gan fiú go mór é nach uaireanta níos fearr a bheith bocht ach saor in aisce. Tá a fhios ag an Gaeilge, ár deartháireacha cén costas an praghas na saoirse. Chuidigh muid a chéile san am atá caite, ár n-iompróidh an finné reiligí, agus ceiliúradh a dhéanamh ar an Orangemen fós gach bliain a bua thar an Franco-na hÉireann ar na Bóinne … Chun a bheith saor in aisce, a fháil amach roinnt airgid na hEorpa agus atógáil ár sean- comhaontuithe den comhaontais go raibh ár bród, agus a áirithiú ár saoirsí.
dúirt Bobby Gaineamh beidh ár díoltas a bheith ar an gáire ar ár bpáistí …
The mirage of the tax haven having gone away, Ireland as other countries of the European Union pays the price of its slavery … The entrance to Europe is made at the price of the independence, we lose his currency there and the national decisions are taken in Brussels. How many people know that our governments became marionettes in front of European diktats? How many countries see their cultural and identical peculiarities fading for the benefit of an immense national supermarket manipulated by the financial powers for the benefit of the new world order … Costs it not better sometimes remain poor but free. The Irish people, our brothers know what costs the price of the freedom. We used in the past mutually, our cemeteries show of it, while English-orangistes celebrates even every year their victory on the French-Irish in Boyne … To become again free, it is necessary to take out of Europe of the cash and to recreate our ancient treaties of alliance which made our pride.
Bobby Sand said that our vengeance will be in the laughter of our children …