En souvenir d’Ahmed Rachid Chekroun, grand sportif, d’origine Nord-Africaine et royaliste…
« Si le racialisme de Gobineau n’a pas fait école en France, c’est notamment du fait de l’incompatibilité du nationalisme français, incarné par l’Action française avec toute forme de matérialisme biologique » P.A. Taguieff
Faisons pour commencer, un regard empirique sur l’attitude qu’avaient nos ancêtres, lorsqu’ils étaient confrontés à des populations aux mœurs, religions et couleurs de peau différentes. Observons ce que fit Charles le Simple face aux envahisseurs Vikings : « Incapable d’arrêter ces envahisseurs et leurs pillages, le roi des Francs Charles le Simple proposa un traité au principal chef viking installé dans la Basse Seine : le jarl Rollon. Il lui abandonna le comté de Rouen et quelques territoires voisins (l’ensemble correspondant à peu près à la Haute-Normandie). En contrepartie, Rollon et ses compagnons promirent de ne plus envahir le royaume et de se convertir au christianisme. C’était un excellent critère d’intégration dans le monde franc. C’est le traité à Saint-Clair-sur-Epte, conclu en 911. Ainsi naît la Normandie, étymologiquement le « pays des Hommes du Nord ». Rollon pouvait, lui et ses hommes, rester sur les terres du royaume des Francs à la condition de devenir chrétien ! »
Plus tard, au XIIème siècle, lors des évènements historiques les plus marquants de cette période, c’est-à-dire les Croisades, regardons comment se comportaient au quotidien les descendants des Croisés en Palestine avec les populations autochtones : Le « racisme » n’existait pas en ce XIIe siècle. L’historienne Régine Pernoud, dans Les hommes de la Croisade écrivait au sujet des Croisés : « …Car, si la religion les oppose aux Sarrasins, la race, elle, n’est pas pour eux un obstacle. Dès qu’une sarrasine est baptisée, aucun chrétien ne refusera d’en faire sa femme. Le concept de race, grâce auquel les trafiquants d’esclaves au XVIe s. tenteront de légitimer leur commerce, n’existe pas pour l’homme du XIIe s. S’il combat le Musulman, du moins le considère-t-il comme son égal : comparée aux méthodes colonialistes du XVIIe s. voire à certains préjugés subsistant au XXe s. et entraînant, par exemple, la ségrégation… Aucun croisé n’hésitera à prendre femme dans la population indigène » (Régine Pernoud, Les hommes de la Croisade).
Certes, cette considération n’a pas empêché les violences dans les deux camps. Mais ces violences ne furent jamais motivées par les différences physiques. Il n’y eu de ce fait aucune volonté d’extermination que ce soit de la part des Chrétiens ou des Musulmans.
Plus tard à l’époque de la Nouvelle France en Amérique : Rappelons l’Edit de Richelieu inscrite dans « La charte de la Compagnie des Cent Associés » et cité dans le livre « La Nouvelle France » d’Eugène Guénin disant : « Les descendants des Français qui s’habitueront au dit pays (le Canada), ensemble les sauvages qui seront amenés à la connaissance de la Foi, et en feront à leur mieux profession, seront censés et réputés naturels Français. S’ils viennent en France, jouiront des mêmes privilèges que ceux qui y sont nés ». De ce fait, les « indiens » convertis pouvaient être des sujets du Roi. L’illustration significative, dont les Amérindiens nous sont encore reconnaissants, à une époque où ils se massacraient allègrement, fut « La Grande Paix de Montréal de 1701 ».
L’historien américain Francis Parkman mit en évidence ce comportement plus respectueux de la part des Français avec les Amérindiens : « La civilisation espagnole a écrasé l’indien ; la civilisation anglaise l’a méprisé et négligé ; la civilisation française l’a étreint et chéri ». N’oublions pas qu’en Amérique, le peuple des « Sang-mêlés » écrasé et presque anéanti par les anglais était largement français d’origine, Louis Riel est resté l’image symbolique de cette résistance ! Une fois encore, nous ne cherchons pas à enjoliver la présence française en Amérique. Mais force est de constater malgré tout, que si la France était sortie victorieuse de ce conflit, les amérindiens n’aurait jamais connu le génocide qu’ils subirent de façon constante et méthodique de la part des anglo-saxons devenus américains…
Les « esprits-chagrins » rétorqueront qu’il y eut quand même l’esclavage des noirs. Sans esprit de repentance, il faut reconnaître indéniablement que la traite négrière fut un crime inacceptable envers les populations noires d’Afrique. Notre civilisation, comme toutes les autres, n’a pas évolué sans failles ! Mais ce qu’il faut comprendre, c’est que l’esclavage disparu du monde romain sous l’influence du christianisme et qu’il reparu lorsque nous perdîmes la force de celui-ci. Lorsqu’avec Luther et Calvin se brisa l’unité du monde chrétien et qu’à la fin des temps médiévaux, l’homme se détourna du monde invisible pour se diriger, avec l’afflux de l’or américain, vers le matérialisme, l’esclavage reparu malheureusement…
Plus proche de nous encore, le missionnaire Charles de foucauld écrivait le 29 juillet 1916 une lettre à l’académicien René Bazin, dont voici un extrait : « Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l’Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie : une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir l’esprit ni le cœur français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera l’étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d’autre part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts qu’elle a avec les Français (représentants de l’autorité, colons, commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d’elle ». Malheureusement l’avenir lui donnera raison et aboutira à la guerre d’Algérie. Il ne fallait rien attendre de plus en matière de conversion chrétienne de la part d’une république qui s’était spécialisée dans l’anticléricalisme…
Nous pourrions citer encore d’autres exemples, tous similaires. Pour nos ancêtres, il suffisait que l’étranger se convertisse au catholicisme pour être considéré comme un frère, et rien d’autre ! Cela peut paraître irrespectueux au premier abord pour ce qui était des croyances des autres peuples. Mais ce qu’il faut comprendre, c’est que la conversion au catholicisme incluait avant tout un système de valeurs en parfaite concordance avec celles de la France. Car il ne faut pas oublier, que les vraies valeurs de la France sont avant tout Chrétiennes, n’en déplaise aux laïcistes droits-de-l’hommistes ! En conséquence, la conversion au Christianisme était la meilleure forme d’intégration et d’assimilation en France, que ce soit pour les peuples colonisés comme pour les peuples envahisseurs. Le christianisme a fait pendant des siècles ce que la république n’a jamais su faire avec ses pseudos-valeurs. Le spectacle des émeutes des banlieues en 2005 fut particulièrement démonstratif de cet échec cuisant d’intégration sur notre sol.
On pourrait aussi parler des français dits « de souche », étant souvent plus déracinés que les nouveaux arrivants. Cela étant le fruit de plus de 200 ans d’éradication culturelle, historique et régionale de la part d’une république aux valeurs abstraites n’ayant plus rien d’humain.
Notre jeunesse devenue, au fil du temps, plus américanisée que véritablement française. Manger au Mc do, écouter quotidiennement de la musique anglo-saxonne, s’intoxiquer de films ou séries américaines en parlant un jargon franglais, casquette « New York » sur la tête, faisant des pseudo-fêtes alcoolisée à outrance en consommant des substances illicites, quel bonheur ! Avec pour clôturer le tout, une vision du monde purement matérialiste, incluant en conséquence, une soumission inconsciente au règne de l’argent.
Si nos ancêtres voyaient ce spectacle, nous serions à ce jour les premiers qu’ils chercheraient à christianiser afin de refaire de nous des français, dans le sens historique culturel et religieux du terme !
Cela signifie-t-il pour autant qu’un français non catholique ou athée, n’est pas véritablement français ? Bien sûr que non. Même un athée dès lors qu’il possède en lui cet héritage chrétien ou une éthique chevaleresque dans son comportement de tous les jours, sera un très bon français, la transcendance en moins !
Maintenant que nous avons vu comment se comportaient nos ancêtres chrétiens avec les peuples différents de ceux incarnant la France, voyons ce qu’il en est du siècle dit « des Lumières » : avec la révolution de 1789, la considération de l’adversaire a considérablement changé. Dès le début du conflit vendéen en 1793, opposant les républicains aux royalistes, l’insurrection fut « racialisée » par les hautes autorités de la République de l’époque.
– Le 1er août 1793, Bertrand Barère de Vieuzac du Comité du Salut Public qualifia les vendéens de « race rebelle ».
– Alexandre Minier, du Journal de Paris parlait de « race exécrable » le 31 décembre 1793.
– Pour Francastel, député de l’Eure il s’agissait de « race abominable ».
– De « race maudite » pour le général Beaufort, 30 Janvier 1794.
– « La race est mauvaise » disait Hentz député de la Moselle.
– Garrau député de la Gironde, missionnés par le Comité du Salut Public parlait de « race qui doit être anéantie » (26 mai 1794, Garnier de Saintes).
– « Je ne conçois pas comment on peut condamner à mort sérieusement ces animaux à face humaine » disait le député Camille Desmoulins au sujet des vendéens.
– « C’est par principe d’humanité que je purge la terre de la liberté de ces monstres » disait aussi le député Carrier, grand spécialiste des noyades de Nantes.
Les Génocidaires définissaient les vendéens comme une race à part entière, et celle-ci devait être exterminée pour préserver la République. Malgré le fait que l’armée vendéenne fut anéantie à Savenay le 24 décembre 1793, un plan d’extermination massive et systématique, fut mis en place par la République. Des décrets sont votés le 1er août et le 1er octobre 1793 ordonnant explicitement l’extermination des vendéens. C’est le général Turreau à la tête de ses colonnes infernales qui s’occupera de la besogne. Il dira : « Il convient de faire de la Vendée un grand cimetière national, afin de purger entièrement le sol de la liberté de cette race maudite. »
Les nazis n’ont rien inventé !
Moins d’un siècle plus tard, la troisième république ne vaudra guère mieux en matière de racisme ! Héritière de la première sur sa vision hiérarchisée de l’homme, elle engendrera ses propres rejetons comme Jules Ferry, figure de proue de la laïcité et de l’école gratuite et obligatoire.
– Voici ce que disait ce dernier à la Chambre des députés en 1884, pour justifier la colonisation de l’Afrique : « Si nous avons le droit d’aller chez ces barbares, c’est parce que nous avons le devoir de les civiliser. (…) Il faut non pas les traiter en égaux, mais se placer au point de vue d’une race supérieure qui conquiert. »
– Le 28 juillet 1885 il rajoutait : « Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures […] parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont un devoir de civiliser les races inférieures.[…]
– Cette hiérarchisation raciale des hommes fut également partagée par le socialiste Léon Blum qui affirmait à la Chambre des députés en 1925 : « Nous admettons qu’il peut y avoir non seulement un droit mais un devoir de ce qu’on appelle les races supérieures, revendiquant quelquefois pour elles un privilège quelque peu indu, d’attirer à elles les races qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de civilisation »
Léon Blum, débat sur le budget des Colonies à la Chambre des députés, 9 juillet 1925, J.O., Débats parlementaires, Assemblée, Session Ordinaire (30 juin-12 juillet 1925) p. 848
Voilà ce qu’engendrait, dans les esprits de la gauche républicaine, les valeurs de la troisième république dont la devise étaient déjà à cette époque : « Liberté – Egalité- Fraternité »…
Après la désastreuse expérience du national-socialisme, ne valant guère mieux que les révolutionnaires de 1789, la république change de fusil d’épaule. La cinquième république qui naîtra de la guerre d’Algérie, se spécialisera plutôt dans le domaine de l’antiracisme. Finis les races supérieures, voici venu le temps du métissage. Ayant retenu les leçons du racisme à outrance incarné par le nazisme, ainsi que le choc des décolonisations, les socialistes de la cinquième république à contrario de ceux de la troisième, voueront un véritable culte de l’immigré. Dans les années 70, les dirigeants de la cinquième république agiront à contre-pied de ceux de la troisième, et à défaut de coloniser, ils nous imposeront au contraire une immigration massive, sans consultation du peuple, et ce au nom de la démocratie !
Le 28 avril 2010 sur le Blog de Marianne 2 on y lisait quelques lignes d’un rapport patronal sur l’immigration : « Parce que l’immigration permet de payer les salariés toujours moins » (Conseil d’analyse économique, « Immigration, qualifications et marché du travail ») « On se souvient du Président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’œuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés». Cela fait froid dans le dos, lisons plus loin : « Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration…». Le grand patronat souhaitant toujours plus d’immigration afin de faire baisser les salaires… « …au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’œuvre prête à accepter des salaires plus faibles.» La conclusion du rapport est intéressante : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46). Le Blog terminait par ces mots : « Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat »
Faisant suite à la Loi Pleven, contre le racisme, voté le 1er juillet 1972, l’association SOS Racisme verra le jour le 15 octobre 1984 dans des cercles proches du Parti socialiste. Sa création intervient un an après la « Marche pour l’égalité et contre le racisme » dite la Marche des beurs. Le mouvement est au départ ouvert à toutes les origines politiques, mais plusieurs personnalités du PS, issues des mouvements trotskistes (tels Julien Dray ou Harlem Désir) et d’autres mouvements de gauche prennent peu à peu en mains l’association. Cette association deviendra au fil du temps une arme redoutable, afin d’éliminer toute contestation contre l’immigration massive imposée, en usant d’un terrorisme intellectuel particulièrement offensif à l’égard des français d’origines. Car, toujours dans sa logique de diviser pour mieux régner, la république socialiste, et surtout la mafia qui l’incarne, après avoir divisé patrons et ouvriers, a profité des heurts occasionnés par l’arrivée massive d’immigrés Africains, pour les retourner contre les français d’origines. Plus tard, elle fera de même entre hommes et femmes, et entre homosexuels et hétérosexuels. Bref la fameuse république une et indivisible si cher aux révolutionnaires de 1789 n’a jamais cessé d’être une vaste fumisterie.
Passer de racistes à antiracistes, fait-il de ces républicains des hommes instables ou opportunistes dans leurs idées ? A vrai-dire pas vraiment. Car racisme et antiracisme procèdent d’une même vision du monde. C’est ce que Christophe Levalois met en évidence dans « Les temps de confusion » ou il écrit : « Cette vision unidimensionnelle se retrouve dans ce que l’on désigne aujourd’hui avec les termes « racisme » et « anti-racisme ». Ces deux positions procèdent d’une même vision du monde, matérialiste et quantitative. Aussi, leur opposition est fausse et concoure, de façon complémentaire, à renforcer le système moderne, le premier par dénigrement et réductionnisme, le second par assimilation puis dilution. Elles conduisent à reconnaître ou à façonner et à glorifier une race unique. D’ailleurs, il est probable qu’à l’ultime fin de notre cycle, lorsque l’humanité sera entièrement antéchristique, « racisme » et « antiracisme » se rejoindront pour célébrer la même société. » Il est vrai que le point commun observable entre les racistes de la troisième république et les antiracistes de la cinquième, est l’athéisme ou l’appartenance à une loge maçonnique…
On comprend dès lors que racisme et antiracisme ne sont que des oppositions de façade, ou le passage de l’un à l’autre ne se fait qu’en fonction des mœurs du moment. D’un côté nous avons le racisme, qui exalte une entité, un pays, un peuple, une race, une catégorie, parmi d’autres, il est un contre plusieurs. Et de l’autre, nous avons l’antiracisme qui n’est que le complément et le continuateur du racisme. Il prône l’uniformisation en donnant toutes les facilités aux métissages et plus encore en les exaltant. Ce qui explique le comportement hostile de certains antiracistes devant une affiche publicitaire montrant exclusivement des personnes blondes aux yeux bleus. Cette attitude est exactement la même que celle d’un raciste devant une affiche ne montrant que des personnes de couleurs. Le plus triste c’est qu’ils ne s’en rendent même pas compte. Dans les deux cas nous constatons effectivement une volonté de façonner et glorifier une race unique. Nous dirions même un homme nouveau ! Car c’est bien de cela qu’il s’agit.
Cet homme nouveau devrait avoir les traits d’un métis créé entre blanc et noir dans une volonté prioritaire du déracinement total. Ceci, en vue d’en faire des numéros, délocalisables à merci aux ordres d’une finance internationale, voulu par les antiracistes ? Certes, mais pas seulement. Car qui dit homme nouveau dit obligatoirement régime totalitaire. C’est le propre de ces régimes-là que de chercher à enfanter des hommes nouveaux. Jadis en Allemagne avec Hitler, il s’agissait de la fameuse race aryenne, décrite comme une race de seigneur devant diriger le monde pour mille ans. Pour Staline il s’agissait de l’homme soviétique devant se libérer et s’épanouir dans une société sans classes sociales. Le prolétariat y jouant un rôle dirigeant visant à instaurer la paix par la Révolution mondiale. Pour les révolutionnaires de 1789, il s’agissait de l’avènement de l’homme citoyen, sans passé, sans religion autre que l’être suprême des Droits de l’Homme, jacobin, républicain et universaliste.
Quel est donc alors ce régime totalitaire qui veut nous imposer aujourd’hui son « homme nouveau » par le métissage ? Il s’agit bien entendu du mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial !
Le métissage imposé est un instrument idéologique de ce Nouvel Ordre Mondial. Le but étant de détruire les nations en uniformisant par le métissage les peuples qui les constituent. Ces derniers doivent se revendiquer « citoyens du monde » et non plus appartenant à telle ou telle Civilisation précise. Il doit être matérialiste, sans religion, et sans culture ! Ce projet de métissage de l’Europe n’est pas nouveau. L’un des pères fondateur de l’Union Européenne un certain Richard Coudenhove Kalergi, avait déjà planifié un tel projet dans son livre « Praktischer Idealismus » rédigé en 1925. Il déclarait que les habitants des futurs « Etats Unis d’Europe » ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité issue de mélanges raciaux. Il affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de « croiser » les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir. « L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples […] »
Nous avons bien vu ce qui arriva aux hommes et aux femmes qui ne correspondaient pas à l’humanité nouvelle définis par les régimes totalitaires cités précédemment. Massacres et génocides sont en général le lot quotidien de ces hommes réels insultant de par leur existence l’homme nouveau ! Qu’adviendra-t-il alors de ceux qui refusent le métissage ? Nicolas Sarkozy dans son discours à l’École polytechnique, le 17 décembre 2008 nous en donne une idée :
« Quel est l’objectif ? Ça va faire parler, mais l’objectif, c’est relever le défi du métissage. Défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. C’est un impératif. On ne peut pas faire autrement. Au risque de nous trouver confrontés à des problèmes considérables. Nous devons changer, alors nous allons changer. On va changer partout en même temps, dans l’entreprise, dans les administrations, à l’éducation, dans les partis politiques. Et on va se mettre des obligations de résultat. Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra (sic) alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore. »
Nos hommes politiques n’ont tiré aucune leçon des totalitarismes du 20ème siècle !
Que dire de plus si ce n’est que nous n’avons absolument aucune leçon à recevoir de la république sur notre considération des différents peuples dans le monde. En tant qu’héritiers, cette vision matérialiste et unidimensionnelle de l’homme nous est parfaitement étrangère. Nous considérons notre prochain, comme jadis nos ancêtres l’ont fait. Nous le jugeons sur la valeur de son âme et non sur son apparence physique. Nous le jugeons sur le respect qu’il a de la France et des français. Cela ne signifie pas pour autant que la France se doit d’accueillir obligatoirement toute la misère du monde, si Chrétienne puisse être cette misère ! Non, il y a des façons plus intelligentes de gérer l’immigration, à commencer par demander l’avis du peuple français sur ce sujet. Nous ne sommes pas non plus contre le métissage, mais ce dernier doit découler d’un choix personnel, comme d’un amour sincère entre des personnes différentes. Cela ne doit pas être motivé par la politique ou l’idéologique au service d’un régime concentrationnaire mondialisé.
En sommes, racisme et antiracisme disparaîtront naturellement quand les français, et nos sinistres dirigeants politiques, cesseront d’avoir une vision purement matérialiste et quantitative de l’homme. Mais pour cela, l’éthique chrétienne devra refaire son apparition dans les esprits de chacun. Nos Rois futurs, dernière chance peut être de la liberté, disait Maulnier, seront les garants du respect envers tous les français. Quelque-soit les différences physiques des peuples qui constitueront le Royaume de France, le souci principal de nos Rois, sera de préserver en chacun de nous une âme française, et d’être les garants de nos libertés. La république est comme le monde matériel qu’elle défend vigoureusement au nom de l’argent, elle est éphémère. Sa fin prochaine, annonce le renouveau de notre Civilisation, comme de l’humanisme. Non pas avec des « Hommes nouveaux » si chers aux régimes totalitaires, mais bel et bien, avec notre éternel esprit français ! Celui de la courtoisie et du panache !
Notre Jour Viendra !