Au delà des références monarchiques, un peu douteuses, présentées dans cette vidéo, il n’en demeure pas moins qu’elle présente une bonne synthèse de ce que fut le quinquennat rothshildien de Macron ! Prêts pour cinq ans de plus ??
Texte issu de ce site : Cliquer ici.
Macron, vous qui parlez de “faute morale” pour les non-injectés… C’est sans doute le plus bel hommage que pouvait rendre le vice à la vertu.
VOUS qui depuis le début de votre quinquennat détruisez méthodiquement le pays en le dépeçant pour le livrer au rabais aux vautours et aux charognards de la haute finance, VOUS qui nous dépouillez de notre histoire, quand ce n’est pas pour lui faire injure…
VOUS qui de félonie en trahisons nous avez privé de nos plus beaux fleurons industriels, de nos secteurs stratégiques nationaux comme Alstom (fabriquant des pièces détachées de nos sous-marins nucléaires)ou les chantiers navals de Saint-Nazaire pour les revendre à vil prix à l’étranger, mais aussi Alcatel aux Finlandais, Lafarge aux Suisses, Essilor et PSA aux Italiens, moyennant quelques misérables écus indûment perçus en rétrocommissions sur votre cassette personnelle, tout en gonflant nos dettes de manière aussi exponentielle que démentielle. Sans oublier les privatisations tous azimuts de la Française des jeux, des aéroports de Paris ou de Gaz de France.
VOUS qui en bon Bankster qui se respecte, dénationalisez toujours plus la chose publique pour goinfrer et remplir les bourses des actionnaires du CAC 40, les “Black Rock” et autres “Vangard Group”, en socialisant systématiquement les pertes et en privatisant les profits. Votre gestion de l’économie se résume aux Paradis fiscaux pour les ultras-riches et à l’enfer des taxes pour tous les autres.
Par voix de presse, on vous a annoncé en grandes pompes comme un jeune prodige, un “Président philosophe”, mais que l’on ne s’y trompe pas, votre seule philosophie de vie consiste en la maximisation du taux de profit et à l’appât du gain détourné à l’avantage exclusif de quelques copains de coquins, à la loi du marché du plus fort, dans ce qui ne s’apparente plus qu’à un vaste marché de dupes.
VOUS, qu’on nous a fallacieusement présenté comme le virtuose, le “Mozart de l’économie”… Vous seriez un artiste surdoué de la haute finance qui n’a en tout cas rien d’un gestionnaire, puisque bien que vous ayez en 3 ans empoché jusqu’à 2.8 millions d’euros chez Rothschild, vous auriez dans votre folie des grandeurs, dilapidé tout votre patrimoine à raison d’un SMIC dépensé par jour pendant 3 ans ! Tant et si bien que vous déclarez pour la présidentielle moins d’avoirs que l’instit Nathalie Arthaud et à peine plus que l’ouvrier Philippe Poutou avec vos 500 000 euros de patrimoine ! Qui peut raisonnablement le croire ?
Tout sonne faux dans votre partition de bon papa des gogos, de joueur de flûte désenchantée aux allures de Requiem pour les finances de notre belle France. Tel le roi de la nuit, vous avez dans votre forfanterie plongé la patrie desdites lumières dans les plus profondes ténèbres ! VOUS faites systématiquement fausse route en conduisant le pays à la banqueroute, avec une croissance nulle et une dette publique rendue abyssale, qui ressemble au tonneau des Danaïdes. À vous seul, vous avez creusé le déficit de 600 milliards. La “bombe Macron” nous a bien explosée en pleine figure ne laissant qu’un vaste champ de ruines et de désolation.
VOUS avez été mis en place par les ultras-riches pour mieux les servir et asservir les pauvres. VOUS êtes en quelque sorte la parfaite antithèse de Robin des bois : VOUS redistribuez les richesses en pratiquant le ruissellement inversé de bas en haut par la captation des moyens de subsistance des plus pauvres. Ainsi, la suppression de l’ISF a rendu 3,5 milliards aux plus fortunés, tandis que la baisse des APL a retiré 3,7 milliards d’euros aux plus modestes. Seuls les premiers de cordée trouvent grâce à vos yeux. Tous les autres, avec vos coups pendables de brigand de la haute finance, peuvent bien aller se faire pendre ! En 2020, 8 millions de personnes ont été réduits pour leur survie à l’aide alimentaire, pendant que les plus grandes fortunes ont fait bondir leur patrimoine de 40 pourcents. De fait, si Sarkozy était surnommé président des riches, de votre côté, vous êtes sans conteste le président exclusif des ultra-riches.
VOUS qui de par votre indécent et somptuaire train de vie faites honte à votre fonction, avec vos caprices de petit poudré, qui à vue de nez, est aussi grand amateur de “poudre de perlinpinpin”, avec vos outrances de coquelet Roitelet parvenu et toutes les extravagances décoratives de votre Pompadour de Brigitte, qui joue aux grandes Marquises en étalant en long et en large toute son indécence sur les couvertures glacées des magazines de la presse people de caniveau de la délinquante Mimi Marchand.
Nous le peuple des gens qui ne sont rien, nous bouillonnons et en avons soupé de vos délires esthétiques qui sont aussi douteux que votre sens de l’éthique… De la clinquante vaisselle dorée relookée à 500 000 euros, en passant par la moquette flambant neuve de la salle de bal à 300 000 euros, par la tapisserie moderne ou encore par les tableaux criards signés par le dernier scribouillard tendance du tout Paris. Et pour ce qui est des factures de chauffage du palais Élyséen, elles s’élèvent à 345 159 euros, tandis que les factures d’électricité seraient de 412 881 euros juste pour 2020.
Sans compter sur les 62 400 euros par ans engagés sur les deniers publics en frais de coiffeur et de maquilleur pour assurer le ravalement de façade qui s’impose, une peau lisse et un cuir chevelu bien luisant au couple présidentiel. Soit, l’équivalent de 4 smics par mois pour la mise en plis de Brigitte. Parce qu’après tout Bel Ami, VOUS et votre cougar à l’élégance postiche, votre pimbêche qui parade en Prada, votre “cagole peroxydée”, pour reprendre les qualificatifs du “Financial Times”, le valez bien ! On comprend maintenant mieux pourquoi, avec tous ces caprices mondains, VOUS mettez le pays en coupe réglée, coupant à notre barbe tant dans les dépenses publiques… Hélas je le crains, VOUS aurez beau multiplier à grands frais les masques de beauté et les artifices cosmétiques, ils ne parviendront jamais à maquiller et à dissimuler toute la laideur sans fard, l’insondable noirceur de votre âme. Votre portrait est semblable à celui de Dorian Gray, aussi jeune, séduisant et charmeur que pourris et d’une infâme laideur intérieure.
N’en jeter plus, la coupe de l’indécence n’est pas encore tout à fait pleine, car pour ne rien arranger aux choses, il manque encore pour faire bonne note à la douloureuse, les lys sans panache et autres orchidées du narcisse et de sa fleur défraîchie toute fanée, de sa chrysanthème flétrie qui, rien que pour l’année 2020, auront coûté la bagatelle de 600 000 euros ! En pleine crise sociale et sanitaire, c’est pousser l’audace jusqu’à en perdre la face, tant et si bien qu’il ne se dégage plus que de nos deux couronnes fleuries, une fragrance d’ordures et de flatulences des plus rances, qui vient importuner et incommoder même les narines des plus niais et mous du bulbe ! Ce sont les vénéneuses fleurs du mal, de l’injustice sociale et de l’indécence que vous cultivez dans votre jardin aux immondices qui n’a résolument plus rien de Français. VOUS avez réduit la dignité de votre fonction présidentielle à une fonction pestilentielle.
Dans le même temps, sous l’effet de vos politiques, fleurissent et prolifèrent toujours plus les clochards, ces sans dents qui poussent comme du chiendent et que vous traitez telles de viles mauvaises herbes, avec le plus grand dédain. Tant et si bien que certains Parisiens fauchés comme les blés, en sont réduits à dormir au grand air, à même les parterres de fleurs de votre cité… Manifestement, vous êtes passé de votre promesse électorale initiale de zéro SDF à zéro ISF…
Mais peut-être qu’après tout, cette débauche d’ornement floraux était nécessaire pour assurer une unité de style, rester en cohérence avec votre langage pour le moins fleuri lorsque vous vous adressez à vos cons de sous-citoyens, pour parer de ses plus beaux atours, le valet qui pique et sa reine sans cœur. En tous les cas, voilà qui donne vraiment la gerbe et la nausée !
On peut dire que c’est vraiment le bouquet, d’autant que votre Brigitte nous joue aux bonnes Samaritaines, avec une charité ostentatoire absolument dégoulinante d’hypocrisie, dans une piètre pièce de théâtre de boulevard, via son opération de com des “pièces jaunes”. Ainsi, elle n’hésite pas à faire appel à la solidarité et à la générosité nationale de la vile populace, pour qu’elle contribue de par sa misérable obole à redorer à peu de frais votre image ternie, à maintenir tant bien que mal en place votre stature, à perpétuer toute votre imposture.
Et que dire de vos fêtes de la musique, qui dénotent tant de par leur vulgarité et de par leur singularité, qui nous jouent une si drôle de partition. Comment qualifier ce spectacle aussi inconvenant que primitif, résolument plus cacophonique que symphonique, ce tumulte qui nous insulte, ce ramdam de tam-tams, ce tintamarre de tous les diables, ce tohu-bohu aux accents simiesques, ce défilé de bas résille avec son orgie de mauvais goût aux allures de bacchanales dignes d’un empire putride en pleine décomposition, ou des plus belles heures de Caligula… Assurément, vous êtes définitivement «un très grand mélomane», comme la presse s’en était unanimement fait l’écho. Nos oreilles et nos tympans qui saignent, peuvent en témoigner !
Toutes ces fantaisies coûtent entre nous, il faut bien se l’avouer, un “pognon de dingue” au contribuable, ou plutôt, au pauvre con qui vous verse son tribut. Non décidément, rien n’est trop beau pour assouvir le goût immodéré du lucre et du faste de nos deux improbables tourtereaux…
L’union de ce fort douteux duo, que l’on nous a dépeint comme une belle romance, une touchante et exceptionnelle idylle fusionnelle, un hymne déchirant à la différence, une bouleversante love story à l’eau de rose, aussi passionnée que décomplexée, où l’amour se défie des convenances, alors qu’elle n’est qu’un sommet d’indécence hors de toute bienséance, fut en effet selon le point de vue, aussi précoce que tardive et aurait dû en toute logique, tomber sous le coup de la loi… Mais de loi, il ne saurait en être question pour ces gens de bien au-dessus de tout soupçon !
Pourtant, il ne s’agit point d’une faute mineure, lorsqu’au détour d’une bien mauvaise pièce de théâtre, dans un concours de circonstances plus qu’aggravantes, on se laisse tenter par la providence et que l’on éprouve soudainement une aussi irrésistible qu’épouvantable attirance pour le jeune épouvantail qui déclame son texte sur les planches, que l’on se voit frapper par un coup de foudre éclair pour notre juvénile Jupiter. Non décidément, ce n’est pas chose banale lorsque l’on fait la cour au lieu de dispenser ses cours et que l’on se surprend à séduire en coulisses, derrière les rideaux, un de ses élèves, un jeune jouvenceau encore puceau de 14 ans, pour accueillir ce cuistre entre ses cuisses, alors que l’on est soi-même dans la fleur de l’âge, celui d’en être sa maman de 39 ans et qu’un fossé de 25 ans d’âge nous sépare !
Mais après tout, quoi de plus normal, il fallait bien trouver un roi et une reine, à la hauteur du royaume de “Pedoland”, pour couronner comme il se doit la contrée, la terre d’asile de tous les dépravés de France et de Navarre, de Madzneff en passant par Cohn bendit ou Polanski.
Malgré les moqueries et la risée internationale devant toute l’aberration de la situation, pas de quoi pour ce drôle de ménage sans limite d’âge perdre les pédales devant l’ampleur du scandale et en faire toute une affaire d’État. Il faut bien vivre avec les mœurs décadentes de son temps !
D’aucuns nous narrent dans notre roman national que jadis, le peuple de France se serait soulevé comme un seul homme, afin de mettre un terme aux privilèges indus et s’émanciper des abus et autres vexations d’une monarchie hautement décadente. Pourtant, nul doute que jamais les monarques de l’époque ne se seraient livrés à de tels excès et n’auraient versé dans un tel mépris affiché et totalement décomplexé, tant pour le pays que pour les petites gens qui le composent. Ils avaient à n’en pas douter, infiniment plus de bonté d’âme, de noblesse d’esprit et de dignité que votre sérénissime Altesse… Cette Monarchie que l’on nous a dépeint comme absolue était dans son pouvoir toute relative par rapport à l’emprise de l’arbitraire de vos lois totalitaires, qui entendent maintenant régenter les moindres faits et gestes de nos existences du berceau jusqu’à la tombe !
VOUS qui cochez toutes les cases du pervers narcissique, avec votre égo démesuré, votre victimisation déplacée, avec le fossé abyssal qui sépare vos envolées lyriques, hystériques stratosphériques, vos beaux discours enfiévrés et enflammés de la piteuse réalité objective du terrain, votre obsession maladive portée à votre petite personne, votre art consommé de la séduction, votre cruel manque d’empathie et votre égoïsme froid, votre langage pervers et manipulateur, votre façon bien malsaine de placer vos victimes en posture de faiblesse, ou encore votre volonté de brouiller les cartes pour nous faire perdre toute perception de la réalité…
Nul doute que ce sont bien toutes ces “qualités” inhumaines, cette parfaite absence d’état d’âme et de scrupules qui vous auront distinguées et auront tout particulièrement séduit vos commanditaires pour vous propulser aux plus hautes fonctions étatiques afin de nous servir avec votre sourire sardonique votre infâme politique méphistophélique…
Car, pour reprendre les propos d’Alain Minc, l’un de vos mentors, dont l’expertise en termes de menteurs est à n’en pas douter à la hauteur et qui est tout de même celui qui parle encore le mieux, avec le plus de franchise de votre brillant parcours à l’école du vice et de la duperie : un « Banquier d’affaires, c’est un métier de pute ! » D’ailleurs, interrogé en 2015 par le Wall Street Journal, vous confirmiez ce statut revendiqué de péripatéticienne des marchés : « On est comme une sorte de prostituée. Le job, c’est de séduire ! »
De l’aveu même de votre ancien directeur à la banque d’affaires Rothschild, où vous avez sévi en tant qu’associé-gérant, vous êtes rompu à l’art de la négociation et de la communication, autrement dit, à «raconter des histoires» en usant de techniques de manipulation de l’opinion publique.
D’ailleurs, depuis deux ans, VOUS nous servez une bien mauvaise pièce, une tragédie aussi burlesque que cruelle, digne du “Docteur Knock”, du “Malade imaginaire”, des “Fourberies du vil pantin”, du “Tartuffe qui nous prenait pour des truffes” ou du “Bourgeois qui n’avait décidément rien d’un gentilhomme”. Mais malgré vos efforts sans cesse renouvelés pour nous déclamer tout votre baratin et toutes vos répétitions en loges, vous n’êtes pas près de décrocher “le Molière” pour votre interprétation de petit diablotin cabotin jaillissant de sa boîte de Pandore pleine de malices.
En tant que petit histrion, votre plus belle prestation que l’on peut tout de même saluer pour son audace et sa “bouleversante” performance, reste encore sans doute votre irruption dans un centre d’hébergement pour SDF, volant tel un charitable chevalier blanc au chevet de la misère sociale. Un exercice de style et de minaude de haute volée culminant dans un épisode de maraude, aux antipodes de votre mode de vie et relevant donc de la plus parfaite fraude.
Le temps de quelques larmoyants clichés pris à la dérobée avec une spontanéité toute calculée pour le compte de la Mimi, votre marchande de sable et fournisseuse officielle de belles histoires pour endormir les peuples, vous vous êtes, pour mieux vous imprégner du rôle, donner plus d’épaisseur et de crédibilité à cette improbable séquence, grimé en populo, enfilant pour l’occasion en guise d’accessoire, un jeans et une veste en cuir.
Histoire de parfaire l’illusion, vous avez alors agité au vent quelques généreux effets de manches, promettant la main sur le portefeuille des solutions d’hébergement rapides et des aides juridiques à l’attention de ces pauvres miséreux, parce qu’après tout, ça ne mange pas de pain et que les belles promesses n’engagent que ceux qui les croient… Deux ans plus tard, votre gouvernement retournait sa veste et décidait la suppression de 57 millions de budget dans les structures des CHRS. Un vrai rôle de composition donc, digne de l’Actor Studio, qui rivalise de cynisme et de démagogie avec celui de votre prédécesseur François Hollande, déclamant dans ses discours avec une conviction qui relève de la pièce à conviction qu’il avait pour ennemi juré la haute finance.
Non décidément, VOUS n’en avez pas fini de nous surprendre, tour à tour, Rocky Balboa, Pilote de chasse, stratège militaire, Sœur Emmanuelle, marin pêcheur, ouvrier de chantier, tennisman, joueur de foot ou prolétaire, tel un caméléon vous travestissez toujours la vérité, donnant au mensonge mille et un visage. Avec vos tours de passe-passe, vous vous prostituez pour satisfaire à vos maîtres.
Dernier numéro d’illusionniste en date, un petit film de campagne tourné en coproduction à nos frais avec l’agence de com US Mc Kinsey, une déambulation nocturne pour la reconquête des urnes, une mise en scène le long des quais de Seine, sous l’œil complice de vos caméras, en Président factice des plus lisses, comme pour une mauvaise sitcom Netflix ou un épisode surjoué de “Poubelle la vie”.
Voilà maintenant que VOUS nous jouez au promeneur parisien qui échange au gré de ses “fortuites” rencontres avec de charmantes passantes et des joggers marathoniens, histoire de mieux nous balader, de nous mener en bateau en distillant au fil de l’eau ses mensonges, de nous embobiner, tout en refusant dans le même temps le moindre véritable débat avec les autres candidats. Ces derniers étant jugés avec leur petitesse par votre auguste altesse bien trop médiocres et il va sans dire, tout à fait indignes d’échanger avec vous la moindre idée sur la vie de la cité !
Comprenez qu’il faut bien plus qu’une élection pour que Jupiter daigne descendre des nuages de son Olympe afin de regagner l’arène et la fosse aux lions pour un combat électoral à la loyale. C’est surtout bien commode pour se maintenir empereur en dissimulant sous le tapis, en dissipant toutes ses félonies, ses trahisons et ses crimes. D’ailleurs, à quoi bon se salir les mains, puisqu’avec vos sondages d’opinion aussi bidons que truqués, vous vous tenez d’office bien au-dessus de la mêlée, en maître des illusions.
Par cette improbable séquence tournée à la volée, ce grossier exercice de figuration d’une douteuse prestation, cette séquence aux images si léchées, avec cadrages travaillés, plans, montage serré, éclairage de studio, travellings sophistiqués et casting de riverains soigneusement présélectionnés en guise de panel non-représentatif, cherchez-vous sans doute à détourner notre regard de votre précédent naufrage, où vous avez laissé tant de Français sur les quais, au bord de la noyade. En bon Machiavel, pensez-vous ainsi à nouveau abuser les plus crédules pour vous assurer d’un second tour de manivelle et continuer de plus belle tout votre cinéma.
Vous nous jouez au petit père du peuple, au chef d’État trop cool, au politique toujours dynamique de jour comme de nuit, au fringuant Président adepte des soirées branchées parisiennes, à l’homme authentiquement humble et humain, si proche et accessible des petites gens, toujours à l’écoute de ses contemporains, ou plutôt traduit en langage Macronien, de ces “comptant pour rien”…
Mais après tout, qu’importe si le script du film n’est pas crédible pour un sou, le français est si bon public. C’est bien simple, on peut allégrement lui mentir, le tromper, l’humilier, le rabaisser, le piller, le ruiner, le tabasser, le priver de ses libertés, le mettre en cage, le faire travailler jusqu’à la tombe comme une bête de somme, lui arracher sa dignité, le faire ramper, le museler, maltraiter et mettre en danger ses enfants, euthanasier ses anciens, voire même le tuer… Il trouvera sans nul doute toujours le spectacle fort à son goût et des plus plaisants. Victime d’un Syndrome de Stockholm en stade terminal, le pauvre bougre en redemandera et sortira même les popcorns pour célébrer les exécutions de son bourreau !
VOUS achevez de vous ridiculiser en terminant ce clip avec un clap de fin du plus mauvais goût, concluant cette glorieuse excursion, cette belle image d’Épinal aux relents de viol anal, par une vibrante et passionnée ode à notre hexagone, qui serait à vos yeux le «plus beau pays du monde». Une déclaration d’amour enfiévrée qui dans votre bouche résonne comme une provocation et un ultime affront, puisque de par vos actions et de par vos fausses valeurs, force est de constater que vous n’avez eu de cesse de détruire et de souiller cette pauvre France dont vous osez pourtant encore vous réclamez ! Cette France dont vous aviez même de par le passé affirmé qu’elle n’avait aucune identité puisque vous êtes bien incapable de la comprendre et d’en saisir l’esprit : en réalité, VOUS incarnez la quintessence même de l’anti France. La sincérité de vos déclarations d’amour pour notre belle nation s’apparentent donc à celles qu’un tortionnaire, qu’un violeur pourrait avoir envers sa victime.
VOUS toujours qui lors de la crise en Ukraine, vous mettez désespérément en scène pour vous donner un semblant de prestance et de consistance, prenant la pose sous les projecteurs avec vos clichés d’impostures, vos photos Noir et Blanc volées, mais ultra-travaillées visant à soutenir sans nuances votre propagande. Qui pensez-vous encore abuser en organisant cette grotesque pantomime, où affublé de votre barbe de trois jours à la Zelenski, de votre plus sombre regard et de votre poing crispé, vous mimez une mine de circonstance des plus tragiques, adoptant jusqu’à la caricature la posture d’un penseur ou d’un grand homme tourmenté qui s’apprêterait de par sa stature à marquer de son indélébile empreinte l’histoire avec un grand H ? Mais sachez bien que vous aurez beau, avec vos faux airs de faussaire, singer comme un cochon de tricheur, en vulgaire imposteur, le grand John Fitzgerald Kennedy lors de la crise des missiles cubains, ou prendre à quatre heures du matin la pose du penseur de Rodin… Que nenni, tenez-le-vous pour dit, VOUS ne resterez qu’un simple gredin, qu’un insignifiant petit tâcheron et n’incarnerez à jamais que le vertige du vide et de l’insondable néant.
Sous les objectifs de votre photographe attitrée, Soazig de la Moissonnière, qui pour le coup faisait une bien mauvaise récolte de clichés stéréotypés, vous avez encore récidivé, sombrant définitivement dans le grotesque en enfilant cette fois-ci un sweat-shirt à l’effigie du Commando parachutiste de l’air no 10, le CPA10. Un peu comme si vous étiez retranché dans votre quartier général et que la capitale était plongée sous l’incessant déluge de feu des bombes russes… Ou comment jouer au guerrier et au stratège d’opérette depuis son palais, comme un gamin attardé et immature sans plomb dans la tête qui jouerait un peu trop avec ses petits soldats, ou aurait la gueule de bois après avoir toute la nuit abusé devant sa PlayStation de sessions de Call of Duty.
Il faut bien dire que misère des misères, VOUS êtes coutumier de ce genre d’obscènes mise en scènes de votre petite personne, puisqu’à l’occasion du traditionnel défilé national du 14 juillet, vous aviez aussi fier qu’Artaban, tel un patibulaire chef de guerre, fronçant le sourcil et bombant le torse avec un faux air des plus féroces, adopté une allure virile des plus stériles, défilant devant vos troupes en nous en faisant tout un char, alors que vous n’avez même pas passé votre service militaire… On peut dire que vous ne manquez vraiment pas d’air !
De même, VOUS avez sans nul doute propulsé la propagande et le culte idolâtre de la personnalité à son Zénith, à ses plus hauts sommets en revêtant une combinaison d’aviateur de chasse en prenant l’attitude héroïque et glamour d’un Tom Cruise dans Top Gun. De la haute voltige dans l’imposture et le mirage de la politique spectacle, comme toujours.
VOUS prétendez œuvrer sans relâche pour préserver la paix, en incarnant le gardien inflexible du respect du droit international, se présentant en garant de la Liberté (que vous avez au passage allégrement bafoué dans votre propre pays), mais pourtant vous avez réduit l’art de la diplomatie avec la Russie à de stériles facéties et de minables provocations, balayant d’un revers de main tous les traités visant à mettre fin à l’intégration de l’Ukraine dans la sphère d’influence de l’OTAN pour désamorcer la situation.
Vos condamnations morales de l’action russe de Poutine, qui est en réalité essentiellement préventive et défensive, sont risibles d’hypocrisie et d’indignation sélective. Faut-il vous rappeler que vous avez déjà de votre côté les mains pleines du sang de quantité d’innocents, en étant le complice actif de crimes et génocides, comme ceux perpétrés au Yémen depuis plus de 7 ans par le régime de l’Arabie Saoudite et de son boucher du Riad, le dépeceur de journalistes à ses heures perdues, Mohamed Ben Salman. Vous avez en toute connaissance de cause, contribué à générer un désastre humanitaire de près de 400 000 victimes civiles. En réalité, VOUS n’êtes qu’un va-t-en-guerre, un danger mortel pour la stabilité du monde et un pion à la solde de l’impérialisme Otanesque, un bon petit caniche des intérêts Atlantistes, risquant de par votre arrogance et de par votre fierté déplacée de nous conduire aux portes d’un chaos planétaire et d’une conflagration nucléaire.
Qu’il est loin le temps de Villepin…
Il faut bien dire que votre bilan en politique étrangère n’est pas des plus brillants, étant ponctué d’étranges erreurs diplomatiques des plus embarrassantes, multipliant les impairs et les humiliations. Vous avez à l’international fait à répétition de la France un objet de constante dérision. Vous avez été, tel un écolier recevant sa leçon, traîné par la main par le président Trump. Quel camouflet pour le turbulent mouflet ! Et que penser du fiasco au Burkina Faso, où le Président local, offusqué par votre grossier manque de tact à son égard a pris séance tenante congé de votre gênante compagnie. Et que dire de l’Australie, où vous avez de par votre médiocrité sabordé de juteux contrats à 50 milliards d’euros pour 12 sous-marins qui ont pris l’eau. Quel naufrage !
N’importe quel autre candidat tant honni par les masses populaires, avec à son passif un si piteux exercice politique, qui force est de constater, tient plus lieu à un dépôt de bilan qu’à un quelconque accomplissement, n’aurait jamais eu l’audace de briguer un second mandat. Sans parler de l’invraisemblable cumul de vos tapageuses casseroles s’étalant du scandale du McKinseyGate, à celui du RotschildGate, du BlackRockGate en passant par le BenallaGate, par le AlstomGate ou encore par le PfizerGate…
Mais que nenni, c’était sans compter sur votre totale absence de décence et de repentance, voilà donc que contre toute attente, porté par votre vorace appétence du pouvoir, vous remettez le couvert de votre infernale tambouille. Il faut croire qu’avec votre premier mandat, le temps vous manquait encore pour finir d’achever le massacre, pour porter l’estocade finale, le coup fatal à notre pays natal.
Pour suppléer à toute forme de débat public et “démocratique”, telle une Rockstar à la Johnny, une bête de scène, ou plutôt tel un insane monstre cynique, vous nous avez donc gratifié d’un tonitruant super show à l’américaine, en vous produisant pour défendre votre quinquennat à la “Defense Arena”. Voilà donc que vous nous sortez le grand jeu sous le feu des projecteurs de la plus grande salle européenne.
Figurant sur le devant de la scène, tel un fier conquérant, sûr de lui et dominateur, fort de sa batterie de sondages McKinsey où contre toute attente vous caracolez en tête des intentions de vote, voilà que tel un messie autoproclamé ou un Napoléon se consacrant lui-même empereur, vous coiffez votre auguste tête de quelques lauriers bien tressés. Vous vous glorifiez dans un triomphal plébiscite d’autosatisfaction pour saluer dans une interminable logorrhée l’ensemble de votre œuvre, égrenant la liste de vos merveilleux accomplissements, sans le début du commencement de la moindre réserve ou remise en question.
Le tout accompagné par un déluge étourdissant, aussi aveuglant qu’assourdissant, de sons et de lumières, d’enceintes crachant leurs décibels et leurs basses saturées, de cris d’hystérie, d’écrans géants, de DJ, de chorales, d’un lancinant ballet de smartphones en guise de briquets et de fumigènes pour mieux masquer d’un écran de fumée votre précédent bilan.
Il faut bien dire que vous n’avez pas lésiné ni sur les moyens, ni sur les artifices pour maintenir toute la superbe de votre cruelle illusion, organisant même pour l’occasion, en petit boutiquier, une grande Tombola, histoire de péniblement remplir les estrades, de combler les gradins du gredin, avec comme lots quelques autoportraits autographiés ou autres mugs à votre effigie.
De même, dans cette guerre de la représentation, vous avez aussi envoyé au front et au mépris de leur légal devoir de réserve, tous vos ministres en bataillons afin de rameuter des quatre coins de la France toute une armée d’adhérents, voire de figurants. Ces derniers étant dûment briefés et entraînés par vos chauffeurs de salle, bien dressés avec une rigueur toute militaire, se tenant prêts à applaudir et à ovationner à tout rompre sur commande, histoire de faire beaucoup de bruit pour rien et de donner un semblant de consistance à vos beaux discours d’une sidérale vacuité, à cette improbable accumulation d’éléments de langage et de porter au pinacle la moindre de vos lénifiantes démagogiques élucubrations.
Mais, malgré cette débauche d’efforts et de moyens engagés, vous plafonnez à 5 000 likes contre 27 000 dislikes (qui heureusement restent par défaut masqués) sous la retransmission de l’événement en question de votre chaîne officielle YouTube. Voilà qui en dit sans doute très long sur votre véritable degré de popularité.
Parmi les moments les plus grotesques de ce navrant spectacle, on retiendra tout particulièrement deux passages d’anthologie, avec tout d’abord un petit numéro de charme à l’attention de dame Brigitte, histoire de faire vibrer et d’attendrir la gent féminine avec un brin de romance surfaite ou bien encore, avec un lunaire chant de la Marseillaise, où l’on vous aura subitement vu comme plonger en état de transe et de suprême extase. Vous sembliez alors si profondément pénétré par les sanguinaires paroles de Rouget de Lisle que vous touchiez à l’orgasme, fermant les yeux avec une volupté confinant au plus parfait ridicule. Une séquence aussi inconvenante que gênante, surtout venant d’un individu qui méprise au dernier degré la France et tout ce qu’elle représente…
Tout était pourtant en place pour assurer un spectacle total, un grand théâtre de faux-semblants à la hauteur de votre imposture. Une grandiose et grandiloquente représentation à la surenchère digne d’une rencontre sportive, d’un grand rassemblement télé-évangélique ou d’une séance collective de magie noire.
Sidérés, nous avons incrédules assisté à un nombriliste numéro d’équilibriste, un exercice de style confinant à l’obscène lorsque l’on prend toute la mesure du fossé abyssal qui règne entre vos sublimes promesses et votre si lourd passif. Un moment surréaliste, où par le prodige de votre langue Orwellienne, tel un parfait miroir inversé de la réalité, faisant table rase du passé, vous nous réécrivez en temps réel votre Jupitérienne mythologie, comme pour nous faire accroire qu’après tout, ce que nous avons vécu, enduré et péniblement supporté ces cinq interminables années de calvaire et d’enfer, souffrant parfois jusque dans notre propre chair, ne relevait que d’une pure illusion, que nos sens et notre raison défaillaient et avaient été trompés, que finalement l’odeur nauséabonde de la pourriture qui submerge et sature nos narines avait tout compte fait un irrésistible parfum de fraîcheur de rose.
Avec un culot monstre,VOUS annoncez avec aplomb toujours l’exact contraire de ce que vous avez mis en œuvre. Ainsi, dans votre bouche, par une mystérieuse alchimie de bonimenteur, comme par magie, vos cuisants échecs se muent en franches réussites, vos trahisons à répétition ne sont plus que l’expression de bons et loyaux services rendus à la nation ; vos détournements de fonds public, de l’optimisation fiscale ; la ruine de la nation devient contre toute raison bonne fortune ; l’austérité, une prospérité, l’escroquerie une altruiste philanthropie ; le vol, une charité ; les privatisations une œuvre de salubrité publique ; les coups de matraques, de douces et fraternelles caresses ; l’exploitation, une libération ; la destruction, une œuvre de création.
Et pour tous les sceptiques encore par trop dubitatifs et réservés, ceux qui suprême sacrilège de lèse-majesté ne croient pas à ce miracle, ceux qui ne goûtent que trop modérément aux sirènes du triomphe des lendemains Macronien qui chantent, de cette sublime vision d’un futur radieux, de ce progrès en devenir, il va sans dire qu’ils ne peuvent être qu’un ramassis d’ingrats, de radicalisés, de misérables complotistes, d’antisémites, d’extrémistes de tous poils, d’arriérés aveuglés de haine, bien incapables de saisir toute la subtilité et la profondeur de votre projet.
Passons maintenant au volet COVID. Pourquoi au tout début de la crise, avez-vous agi avec une telle désinvolture, en ne bloquant pas d’entrée de jeu les frontières et les lignes d’avions directes en provenance de Chine pour éviter que le virus ne pénètre sur le territoire ? En laissant la situation bien pourrir avant d’agir ?
VOUS aussi qui en douce avez lors de cette crise dite sanitaire fait euthanasier bon nombre de personnes âgées à coup de protocole “Rivotril”, en les privant de soins et d’affection, en les laissant s’éteindre cloîtrés entre quatre murs dans le désespoir de l’isolement, coupés de leurs proches, mais que l’on se rassure, avec les normes de distanciation sociale en vigueur rigoureusement respectées. Parce qu’il faut bien comprendre qu’en Macronie, on achève bien les petits vieux et leur bouches devenues inutiles au Grand Capital ; De toute évidence, beaucoup d’anciens ne sont pas morts de la Covid-19, mais tout simplement de désespoir, de solitude et de chagrin lié au sentiment d’abandon. La sociabilité jouant chez-eux de manière déterminante sur leur espérance de vie. Leurs familles ont juste eu l’insigne privilège de récupérer en guise d’adieu leurs derniers effets dans des sacs-poubelles. La grande classe au pays de l’humanisme et des droits de l’homme ! Quel bel hommage pour clôturer une vie de dur labeur… Finalement, vous êtes toujours fidèle à votre ligne de conduite, à votre code du déshonneur, c’est-à-dire aussi impitoyable en toutes circonstances avec les faibles, que faible avec les forts.
VOUS qui de surcroît avez fait bloquer les nombreux traitements précoces efficaces, sans risques potentiels et peu chers, comme l’Ivermectine ou l’hydroxychloroquine, pour nous imposer à marche forcée, quoiqu’il en coûte et en dépit du bon sens cette injection hasardeuse que l’on nomme abusivement à des fins de manipulation et de tromperie de l’opinion publique “vaccin”, cette obscure soupe chimique concoctée à la va-vite dans les chaudrons de Big Pharma, avec des effets secondaires potentiellement dévastateurs et qui a déjà causé un nombre de morts inédits dans toute l’histoire vaccinale ; Il s’agit en réalité de thérapies expérimentales de transfert de gènes, n’ayant aucun rapport avec les traditionnels vaccins à virus inactivés. Vos invectives contre ceux que vous désignez avec un mépris condescendant comme “les antivax” n’ont donc pas lieu d’être !
Force est de constater que les seuls anticorps qu’il nous faudrait de toute urgence développer pour protéger notre corps social sont ceux visant à nous prémunir et nous immuniser de la corruption endémique de ce système manifestement vérolé jusqu’à la moelle !
VOUS qui en pleine “pandémie” avez continué à consciencieusement détruire l’hôpital public, en supprimant des milliers de lits (17 600 en quatre ans et 5700 en 2020), tout en soutenant et en promettant avec aplomb le contraire, en virant comme des malpropres tant de respectables soignants, en prenant bien soin de les laisser sans la moindre ressource, histoire de leur faire payer à la hauteur de votre orgueil leur effronterie et leur insoumission ! Ces mêmes soignants que vous avez dans un premier temps fait applaudir à tout rompre tous les soirs, de manière bien hypocrite pour mieux servir les intérêts de votre agenda et impliquer la population dans “l’effort de guerre”.
Avec le cynisme effroyable qui vous caractérise, VOUS avez dans la plus parfaite indifférence désactivé ces malheureux qui ont juste agi en conscience avec toute leur science, comme on appuierait sur la touche “DELETE” d’un ordinateur pour effacer une variable d’ajustement… Désormais c’est bien clair, on l’aura compris, c’est votre modèle de société pour votre start-up nation : “la désactivation” ou la soumission, le “En marche” ou crève… Le seul crime de ses soignants réfractaires se résumant à ne pas vouloir se prêter au jeu du cobaye pour le bon plaisir des actionnaires de Big Pharma, en jouant à la roulette russe avec leur santé.
Pourtant en toute logique, quand on ne traite pas délibérément les malades en interdisant formellement aux généralistes de prescrire, quand on ferme les lits d’hôpitaux tout en se débarrassant de bon nombre de personnel soignant, on ne peut alors décemment plus se plaindre de la saturation des services de soins et encore moins en reporter la faute sur une victime expiatoire, se défausser de son écrasante responsabilité et dévier les colères sur un bouc-émissaire tout trouvé : Le Non-vacciné…
Mais associer décence et cohérence avec Macron, c’est peine perdue et cela relève de l’oxymore ; Somme toute, votre vision politique évoque celle de l’empereur Néron incendiant Rome au son de sa lire et faisant, en véritable pompier pyromane, une grande fournaise et un feu de joie de la cité…
Et lorsqu’en déplacement, vous avez été interpelé en face à face avec l’une des 15 000 victimes de votre politique pseudo sanitaire, à savoir une soignante non-vacciné en pleurs, en totale détresse, implorant votre clémence pour avoir le droit de travailler, car n’ayant depuis des mois plus aucun moyen de subsistance, même pas le RSA, qu’avez-vous fait ? En monstre froid que vous êtes, VOUS avez alors eu l’indécence de lui dispenser une abjecte leçon de morale à deux balles dont vous avez le secret, lui parlant de manque de “courtoisie” et de “gentillesse”, tout en lui assénant ces remontrances parfaitement déplacées avec une nonchalance et un ignoble dédain pour sa condition précaire dont vous êtes pourtant l’unique artisan et responsable, avant de procéder l’instant d’après comme si de rien n’était à quelques selfies tout sourire ! Insoutenable…
Mais n’en doutons pas, VOUS avez alors comme pour célébrer l’amour du travail bien fait, certainement ressenti une immense jubilation intérieure à la vision de ces supplications en pleurs, une délicieuse jouissance, un plaisir d’esthète pour ce plaisir sadique, un orgasme pour ce parfum de marasme, une petite érection coupable à la vision de ce si poignant spectacle.
VOUS aussi, qui par votre folle politique à prétexte sanitaire, faites depuis des mois maltraiter les enfants dans vos institutions, les plongeant au quotidien dans la terreur, dans un univers devenu toxique où à présent l’on apprend plus la socialisation mais la peur systématique de l’autre, en les culpabilisant à outrance de mettre en danger leur grand-parents…
VOUS qui leur imposez le port quotidien de cette muselière, de ce grotesque torchon déshumanisant, aussi efficace qu’une passoire ne le serait pour retenir des grains de sable. Ce bout de tissu qui masque les sourires mais dévoile le vrai visage hideux de la dictature, cet uniforme de la conformité et du formatage précoce, qui les coupe de leurs émotions et éteint leur joie de vivre, qui réduit dramatiquement leurs capacités cognitives, de langage et d’apprentissage ;
C’est également vous qui d’ailleurs, hasard du calendrier sans doute, avez bien pris soin de faire interdire l’école à la maison, pour que ces pauvres enfants ne puissent surtout pas se soustraire à cet enfer, à ce cauchemar totalitaire, au prétexte d’éviter les dérives sectaires et le séparatisme pour finalement mieux leur apprendre à bien se distancier les uns des autres. Quelle cruelle ironie ! Mais dans ce climat anxiogène des plus délétères, votre école à la dérive n’aurait-elle pas, sous l’impulsion de ce virus à la folie hautement contagieuse, soudainement muté en la plus inquiétante des sectes ?
Une secte où l’on endoctrinerait en boucle avec la complicité de fonctionnaires qui fonctionneraient de manière bien trop zélés à cette nouvelle religion mortifère de peur, à ce culte Covidiste irrationnel, jusque dans les manuels scolaires, dans les copies des élèves, ou dans les punitions de colle sanctionnant un port du masque jugé trop lâche, ou une furtive bouffée d’air pur prise à la dérobée. Une usine à formater et à broyer les humains, une organisation sectaire, où comme dans toute bonne Dictature, l’on apprendrait dès le plus jeune âge la bonne soumission à l’ordre sanitaire, le sens du sacrifice individuel au nom de l’intérêt commun supérieur, l’abandon des droits au profit des devoirs, ainsi que le bienfait de la suspension des libertés fondamentales au nom de la sécurité de tous ?
VOUS toujours, qui vous vous entêtez maintenant à vouloir piquer nos gosses comme du bétail, en hypothéquant sur leur avenir avec ces produits de thérapie génique expérimentaux encore faut-il le rappeler en phase de test clinique de stade 3 et en autorisation conditionnelle de mise sur le marché, faute de traitements qui pourtant existent ! Autrement dit, sans avoir le moindre recul à moyen et à long terme, alors qu’ils ne risquent strictement rien de cette maladie, dont la virulence est actuellement rendue à celle d’un mauvais rhume avec le dernier variant en date “Omicron”, que vous nous aviez vendu comme une résurgence de la peste noire, mais qui pourtant se révèle n’être au final qu’une tempête dans un verre d’eau… Il s’agit donc rien de moins que d’impliquer nos enfants dans la plus radicale et la plus hasardeuse des expériences médicales jamais entreprises à une telle échelle.
VOUS, qui n’hésitez donc pas à sacrifier les plus jeunes sur l’hôtel des profits astronomiques de Big Pharma, ces enfants qui ont pourtant toute la vie devant eux afin de protéger les anciens, qui ont déjà bien vécu, une hérésie qu’aucune civilisation traditionnelle n’avait jamais osé faire auparavant ; Ce sont pourtant toujours, sauf dans votre monde de démon aux valeurs inversées, aux adultes de protéger les enfants, car ils sont notre seul avenir commun ! En somme, dans cette sordide affaire, vous êtes une sorte de Docteur Folamour sans amour, qui serait conseillé par un quarteron de Docteurs Mabuses qui abusent des conflits d’intérêts.
À en juger par vos différentes interventions publiques depuis près de deux ans, on se demande si on a encore en face de nous un “Président de la République” et non pas un médiocre représentant de commerce à la solde de ces vendeurs de mort des labos pharmaceutiques. Un chargé d’affaires “Pfizer”, qui voudrait à tout prix nous refourguer, tel un vulgaire marchand de tapis, sa camelote avariée de contrebande, allant jusqu’à se lancer en guise de tactique commerciale dans des placements produits sur la plateforme Tiktok pour appâter avec ses beaux discours en toc les plus jeunes dans une improbable opération séduction.
Et que dire de votre pitoyable recours à vos deux acolytes de propagande du moment, les inénarrables influenceurs YouTubers McFly et Carlito pour mieux servir aux d’jeuns votre soupe frelatée, en usant pour toute forme de pédagogie, de la plus pure démagogie. Une bouffonnerie aussi affligeante que pathétique !
Tout ce festival de paillettes d’opérette, ces galipettes dans le jardin Élyséen, ces roueries qui tournent à vide pour mieux nous rouler dans la farine, par la connivence complaisante de ce duo de carpettes, grands amateurs de courbettes, ne valent pas une clopinette. Elles ne sont qu’un miroir fêlé aux alouettes qui ne fera recette que chez quelques Midinettes et autres candides par trop crédules. Il y aurait bien de quoi se rouler parterre si la situation n’était pas aussi tragique. C’est dire, en vous livrant à cette affligeante politique spectacle, ô combien VOUS méprisez et insultez l’intelligence des Français…
Mais il faut bien reconnaître qu’en matière de placement de produit, vous avez une expérience qui force le respect, puisque vous avez vous-même été propulsé à la tête du pays comme un vulgaire paquet de lessive estampillé “révolutionnaire” dans ce qui s’apparente à un coup d’État médiatique indécent, une vaste entreprise de lavage des cerveaux. On vous a dépeint comme un jeune homme, aussi dynamique qu’entreprenant, un petit génie, un gendre idéal armé de son irrésistible sourire ultra-bright… Mais derrière ce séduisant Storytelling de conte de fée, cette contrefaçon de mauvais casting se cache, comme cette crise nous l’aura amplement dévoilé, un petit dictateur raté, une petite main sans envergure, bras armé de la finance Internationale.
Votre “magie” politique de mauvaise augure, relève d’une pure illusion, d’un coup de bluff, de la sorcellerie et de l’envoûtement des masses, d’un mauvais sort jeté à toute la nation par un habile ensorceleur, qui n’a décidément rien d’enchanteur, agissant pour le compte d’une occulte et bien méchante cabale.
Tels des rats de laboratoire, suivant dans ses pas jusqu’au trépas le joueur de flûte de Hamelin, nous marchons à votre suite droit vers l’abîme, jusqu’au fond du précipice, du moins pour ceux qui par trop crédules s’en laissent encore conter et accordent quelques crédits à vos fables de bonimenteurs.
Oui, c’est bien VOUS, ce parjure sans vergogne qui n’a plus ni visage ni honneur, ce président fantoche, ce vil pantin qui fait le tapin pour la haute finance qui de par ses incessants reniements ferait rougir de honte la marionnette Pinocchio, qui tout au long de cette crise n’a eu de cesse de nous trahir et de nous manipuler au dernier degré… Tout est aussi fourbe que faux en vous, à commencer par votre déclaration de patrimoine, où vos profits de 2,4 millions d’euros de la vente d’une filiale de Pfizer par Nestlé se sont miraculeusement évaporés à la veille des élections. C’est bien VOUS qui avez érigé le mensonge comme mode de Gouvernance et élevé l’hypocrisie au rang d’art. Force est de constater que de Véran en variants, la seule chose qui reste invariable chez vous est votre propension innée aux mensonges éhontés. VOUS êtes le champion incontesté du double-discours, de la double éthique à géométrie variable et de l’injonction paradoxale.
Comble de l’audace, VOUS vous êtes érigé à la tête du “Ministère de la Vérité”, pour lutter contre les “Fake News”, alors même que vous en êtes le roi incontesté. Vous êtes le digne héritier d’Orwell dont le livre dystopique “1984” semble être votre manuel de chevet pour servir de cadre de référence à toute votre action politique : “La liberté, c’est l’esclavage”, “Le mensonge, c’est la vérité”, “L’ignorance, c’est la force”… “Le pass sanitaire, c’est la liberté”.
De vagues en vagues, VOUS surfez sur les peurs et entretenez la terreur pour notre plus grand malheur, afin de toujours plus contrôler les esprits, de les plonger et les maintenir dans un état de sidération et de profonde hypnose. Pendant cette crise, la seule vérité qui sera jamais sortie du cloaque d’impureté qui vous sert de bouche reste encore sans doute votre fameux «Nous sommes en guerre», scandé à 6 reprises sur un ton martial.
Manifestement avec le recul, il nous fallait interpréter cette déclaration d’ouverture des hostilités comme une guerre inédite de nouvelle génération, livrée non contre un virus inconnu et au final si peu létal, mais directement contre le peuple dans son ensemble !
Oui, c’est encore VOUS, ce narcisse suffisant à l’ego hypertrophié, cet individu puant de cynisme, animé d’une morgue et d’un mépris de classe totalement décomplexée, qui dispense avec un culot monstre ses leçons de moraline au bon peuple qui travaille et qui trime sans relâche, qui vous entretient au quotidien… Tout simplement indécent et obscène !
Oui Président, tenez-vous le pour dit, je vomis votre morale de pervers narcissique qui a le goût du soufre et du sang, ou plutôt votre absence totale de morale, votre nihilisme jusqu’au-boutiste.
Je vous exècre à tout jamais, vous et votre misérable clique de sinistres, votre cour de parvenus sans cœur, ce cortège improbable d’ambitieux opportunistes, ce ballet insupportable de voyous et de vauriens, de suiveurs sans épaisseur, tout ce ramassis infect de médiocres, de sots et de sottes, de pieds nickelés arrogants, de saltimbanques insignifiants sans conscience ni consistance, toute cette équipe de roublards spécialisés en bobards. Ils ne m’inspirent désormais plus que dégoût et profond mépris.
Mac-ronds, votre“République exemplaire” se résume à une spectaculaire succession d’affaires judiciaires. Elle n’est qu’un repère de ripoux, de brigands, de voleurs et de fraudeurs sans foi ni loi, de canailles, de crapules, de délinquants et de pervers sexuels, un tas d’andouilles, de bons à rien mauvais en tout, mais aussi de petites frappes aux gros bras à la Benalla. Une quinzaine de vos ministres ou de membres de votre cabinet ont été mêlés à des procédures judiciaires. Et tout cet exceptionnel concentré de médiocrité et de malhonnêteté n’est rendu possible que par une corruption systémique, où tout le monde est tenu par ses bruyantes et tapageuses casseroles.
En tous les cas, quelle humiliation et quelle grotesque et sinistre farce que de se voir dicter sa vie par un tel aréopage de clowns qui rivalisent de médiocrité ! Cela fait sans doute partie de l’impitoyable guerre psychologique qui nous est sans relâche livrée depuis maintenant près de deux ans. C’est bien simple, je n’arrive même plus à tendre fébrilement l’oreille pour les écouter afin de prendre connaissance de leurs derniers délires et aberrations totalitaires du jour, c’est au-dessus de mes forces.
Interdiction formelle de manger des chips ou de boire dans un train, interdiction de boire debout dans un bar (puisque visiblement à en croire l’expertise de votre Conseil Scientifique, le virus ne circulerait qu’à hauteur d’homme) ;
Interdiction de danser en boîte de nuit, mais possibilité de contacts intimes très rapprochés en clubs échangistes ;
Recommandations officielles d’ouvrir régulièrement les fenêtres dans les espaces confinés, mais obligation dans le même temps de porter un masque dès que l’on met le nez dehors ;
Port du masque en extérieur dans l’espace public finalement annulé car jugé inutile, mais pourtant maintenu et imposé en dépit du bon sens pour les enfants pendant leurs récréations, en extérieur ou même en plein effort physique lors des sessions de sport ;
Ne pouvoir acheter de petites culottes ou de chaussettes dans le rayon habillage pour sauver des vies ;
Pouvoir aller à la plage, mais seulement de manière dynamique avec interdiction de s’assoir ;
Devoir porter le masque quelques fois en pleine forêt alors qu’il n’y a personne dans l’environnement ;
Devoir respecter des couvre-feu, comme en temps de guerre, pour respecter avec précision les heures de circulation fixe du virus ;
N’avoir strictement aucun symptôme, mais être tout de même considéré comme malade dit “asymptomatique” avec des tests antigéniques particulièrement douteux qui s’avèrent positifs avec de l’eau ou du jus d’orange et dont le résultat est d’après plusieurs témoignages particulièrement fluctuant en variant parfois d’une heure à l’autre sur la même personne ;
Avoir affaire à un virus qui défierait toutes les règles de la nature et de la virologie et qui serait tellement redoutable qu’il faudrait se faire tester à tout bout de champ pour savoir si l’on en est bel et bien atteint ;
Découvrir sans cesse des nouveaux variants toujours plus redoutables et contagieux, mais pourtant indétectables ;
Enfoncer les écouvillons des tests PCR de manière très intrusive jusqu’à une zone proche de la glande pinéale, alors que le moindre postillon de salive serait ultra contagieux et aurait un potentiel génocidaire méconnu ;
Maintenir toutes les restrictions et les gestes barrières, malgré une vaccination massive annoncée initialement comme efficace à 95% et présenté comme la panacée, le Graal ultime de la sortie de crise ;
Nier toute existence d’une immunité naturelle et dans le même temps rechercher à atteindre une immunité de groupe par l’unique biais du vaccin. Considérer que seule l’immunité vaccinale aurait une quelconque valeur et efficacité alors que c’est l’exact contraire, car l’immunité naturelle est moins ciblée, plus étendue et beaucoup plus durable;
Forcer une vaccination basée sur la souche originale SARS-CoV-2 de Wuhan, obsolète de deux ans et largement inefficace pour prévenir des derniers variants en circulation comme le Omicron ;
L’Assemblée Nationale ou les meetings politiques sans pass, mais les concerts avec pass obligatoire ;
Le personnel soignant vacciné testé positif autorisé à travailler, mais le personnel soignant non-vacciné viré sans ménagement et sans la moindre ressource ;
Faire contrôler les pass vaccinaux par des policiers eux-mêmes non-vaccinés ;
Pass obligatoire pour tous, sauf pour le personnel politique ;
Vacciner tout le monde, sans la moindre distinction, en prenant en ligne de compte les fragilités et les conditions physiologiques spécifiques à tout un chacun, y compris les femmes enceintes, alors qu’elles ne peuvent habituellement même pas prendre de la vitamine C sans consultation et avis médical préalable ;
Pourquoi un tel entêtement, un tel forcing pour inoculer ces substances expérimentales qui avec le recul démontrent pourtant toujours plus leur manque d’efficacité avec une explosion des contaminations, mais aussi leur dangerosité. Les vaccins ARNm sont 550 fois plus dangereux que les vaccins de la poliomyélite ;
Imposer un pass vaccinal, alors même que ces injections ne préviennent ni de contracter, ni de transmettre le virus, qu’elles ne protègent tout au plus que des formes graves, mais que ces formes graves ne sont plus d’actualité avec les derniers variants en circulation. En réalité il s’agit d’un simple outil d’extorsion du consentement pour une obligation vaccinale détournée et d’un biais pour habituer les usagers à produire systématiquement leur identité, de normaliser le contrôle social par l’identité numérique pour tous les gestes quotidiens de la vie.
J’en passe et des meilleures…
Dans ce grand délire collectif hystérique et contagieux, cet infernal “Coronacircus”, on marche littéralement sur la tête en habillant le tout d’un pseudo-vernis de logique et de rationalité scientifique pour mieux faire passer la pilule totalitaire, sous couvert de mesures sanitaires. Macron, le “cercle de la raison” dont vous vous faites le chantre, n’est que folie et déraison, un cercle très vicieux qui tourne en rond, comme le serpent se mord la queue et dont on se demande encore comment se soustraire de son étranglement progressif. Vous avez manifestement perdu tout sens commun et tout sens de la mesure. Manifestement, votre insane crise sanitaire n’a que pour seul objectif de nous faire taire et de nous jeter à terre.
C’est bien simple, personne n’est plus à sa place :
Les politiques jouent aux médecins, tandis que les médecins se prennent pour des politiques ;
Les plus grands professeurs et experts mondiaux sont calomniés, traînés dans la boue et relégués au statut de charlatans, tout comme les médecins qui soignent qui se voient réduits au statut d’obscures complotistes ;
Les “prestitués” aux ordres, ces lecteurs de prompteurs et de dépêches AFP, ces servils petits télégraphistes qui défendent leurs vils intérêts, sans plus aucune éthique journalistique, au mépris de leur Charte de Munich, ces sophistes de plateaux “merdiatiques” qui servent les plats de Big Pharma et n’hésitent pas à calomnier des sommités, comme s’il s’agissait de vieux séniles divaguants ;
Les plateformes de réseaux sociaux font de l’ingérence et de la rétention d’information et décident de la vérité scientifique en censurant toutes les voix alternatives d’experts qui ne vont pas dans le sens du narratif imposé par la doxa ;
Les commerçants et restaurateurs deviennent des auxiliaires de police, tout le monde surveille tout le monde et la délation qui est vivement encouragée bat son plein ; Les professeurs d’école se convertissent en commerciaux de l’industrie pharmaceutique ;
On demande aussi aux enfants d’agir comme des adultes responsables, tandis qu’on infantilise à outrance les adultes, pour qu’ils agissent et pensent comme des enfants, qu’ils régressent à un stade de dépendance totale vis-à-vis de papa État !
Toute cette folie maquillée en science donne le vertige et la nausée ! Plus de doutes, nous avons basculé en Absurdistan, dans le royaume d’Ubu, dans un asile psychiatrique à ciel ouvert dont on aurait confié les clés aux plus fous d’entre tous !
Macron votre France, c’est celle de l’injustice sociale, celle du deux poids dix mesures permanent, celle où les forces de répression sanitaires alignent sans état d’âme, pour faire œuvre de pédagogie, des clochards dans la rue avec des amendes de 135 euros pour une absence de port de masque ;
C’est celle où l’on réquisitionne des forces de l’ordre pour organiser des descentes dans des cinémas afin de procéder à des contrôles sanitaires inopinés en pleine projection, pendant que dans le même temps les violeurs, les pédophiles, les voleurs, les petits malfrats et autres délinquants s’en donnent à cœur joie dans leurs différents larcins et trafics, le peuple étant pris en tenaille entre racailles technocrates du haut en col blanc et racailles du bas (les premières ayant à mes yeux, il faut le relever, un pouvoir de nuisance infiniment plus grand que les seconds) ;
C’est le pays où, pendant le confinement, l’on envoie à grands frais patrouiller des hélicoptères de gendarmerie pour traquer et débusquer sur leurs sentiers de montagne d’éventuels randonneurs réfractaires au délire sanitaire ;
C’est le pays où l’on harcèle, fusil mitrailleur à la main, les braves gens qui ont le malheur de pique-niquer en plein-air à la plage, tandis que les élites qui sont bien au-dessus de tout cela, bénéficient de mystérieux passe-droits et festoient comme des beaux diables dans des restaurants clandestins, ou se déchaînent dans des boîtes de nuit privées très selects à 300 euros le ticket d’entrée. Dans ces bonnes adresses de privilégiés, le virus social n’a visiblement comme par enchantement plus cours…
C’est donc une société où les mondanités renouent avec les féodalités, où le gratin de la haute société s’affiche avec morgue, dans la plus parfaite désinvolture en se moquant éperdument des règles qu’ils nous imposent pour se prémunir de la dangerosité de ce virus qu’ils nous dépeignent pourtant comme si mortel, mais dont ils n’ont visiblement que faire.
Tout ce ramassis d’arsouilles et de fripouilles, qui de surcroît nous font la leçon par médias interposés, qui nous embrouillent avec leur infâme tambouille de carabistouilles, se tripatouillent, se papouillent, se bisouillent et se léchouillent en toute décontraction devant nos faces déconfites d’andouilles confinées, sans même être une seule fois inquiétés par la patrouille. C’est une société de castes, avec d’un côté les grands seigneurs de l’immunité, tant physiologique que politique et de l’autre côté les impurs, tous ces intouchables gueux, ces super-contaminateurs, ces véritables bombes virales ambulantes qui s’ignorent.
Non décidément, il est heureux de ne pas partager les mêmes standards moraux, que ceux d’un boucher sanguinaire, d’un éborgneur et d’un arracheur de mains, qui a fait massacrer les Gilets Jaunes en lâchant sur eux son fidèle et féroce chien de garde, le préfet Lallement et ses troupes enragées de baqueux.
En 2021, ce patibulaire molosse qui fracasse sur commande tant les molaires que les os, aura aussi eu le droit de ronger le sien, en recevant en guise de gâterie et de petite friandise, sa légion de grand commandeur du déshonneur. Une juste rétribution pour son irréprochable collaboration des plus serviles, accomplie haut la main les yeux fermés. La plus haute distinction pour son tableau de chasse aux gilets jaunes, ces gibiers de sous-classe, qui seraient à vos yeux tout juste bons pour le gibet. Une décoration pour fêter comme il se doit le sanglant bilan de ce brave berger Lallemant, ce redresseur de moutons noirs qui auraient tous les torts en étant dans le “mauvais camp”. Un honneur pour célébrer toute cette légion d’yeux sortis de leurs orbites qui vaut vraiment le coup d’œil, cette fructueuse moisson de mains arrachées, pour distinguer ces bons et loyaux sévices, pratiqués avec zèle et vice par ses milices, histoire de marquer le coup dignement pour toutes ces gueules cassées et ces cassages de gueules en règle à la face de tous ces charlots, ces pauvres benêts qui croyaient encore bien naïvement à l’esprit “Je suis Charlie”. Rien ne vaut quelques coups de matraques bien placés et bien sentis pour remettre en ordre les idées et faire rentrer dans les têtes de ces effrontés bas de front qui est le véritable maître faisant sa loi.
Dans le même temps, VOUS avez fait mine, dans un vulgaire simulacre de démocratie, histoire de faire vaguement illusion et bonne figure de prêter une oreille attentive à leurs doléances en s’agitant chemise au vent dans les médias de complaisance organisant un Grand Débat tenant lieu de grand monologue. Des gesticulations pour donner le change qui auront tout de même coûté la bagatelle de 12,5 millions d’euros au contribuable.
VOUS n’êtes qu’un misérable petit usurpateur, un faussaire : vous tordez la réalité à votre volonté, toujours à votre avantage. Dans vos contrefaçons de débats, vous écrivez à l’avance tant les questions autorisées que leurs réponses toutes faites, questions que seul un public trié sur le volet est en mesure de poser. Ainsi, vous avancez toujours en terrain conquis : point de contradictions ou de remises en questions pour venir troubler et ébranler vos fausses certitudes. Et si d’aventure un audacieux importun venait à troubler ce si bien rodé jeu de dupes, il vous reste toujours en dernier recours le service d’ordre pour expulser manu militari toute effraction d’impertinence, toute velléité trop marquée de spontanéité. Car dans ce jeu de rôle, tout doit rester bien lisse et sous contrôle et toujours le mensonge doit être bien gardé, bien entouré par votre cour de flagorneurs sans honneur et de serviles valet des plus simplets.
VOUS avez fracassé dans la répression et dans le sang leurs légitimes revendications, en étouffant dans l’œuf toutes leurs nobles aspirations à une meilleure vie, plus décente et plus digne à coup de gaz lacrymogènes, de grenades de désencerclement, de matraques et de LBD. C’est la voix du peuple en souffrance que vous avez nassé et étouffé. En bon démon-crate, l’usage disproportionné et asymétrique de la force et la gouvernance à coup de 49.3 est votre seule approche du dialogue social.
Bilan de votre implacable répression sur de simples citoyens : 10 morts, 5 000 personnes blessées dont 202 à la tête, plus de 1000 arrestations, 32 éborgnés et 5 mains arrachées, une dame de 80 ans tuée au 4ᵉ étage à Marseille par un tir et 39 journalistes victimes.
Et lorsqu’au festival de la BD d’Angoulême, le dessinateur Jules vous a adressé en forme de critique un tee-shirt estampillé «LBD 2020», petit clin d’œil taquin, visant à rappeler à votre bon souvenir votre cortège de malheureuses victimes éborgnées et à dénoncer votre sanglante répression policière à l’encontre de manifestations pacifiques dans leur écrasante majorité, VOUS n’avez rien trouvé de mieux que de vous afficher à ses côtés tout sourire en photo. VOUS avez alors, en guise d’ultime provocation, arboré sur votre visage un hideux petit rictus bien narquois. Un sourire odieux, aussi infâme que déplacé, qui en dit très long sur toute l’étendue de votre monstruosité… L’effroyable banalité du mal en somme !
Pire que cela, dans votre abyssal et abject cynisme, VOUS avez même osé, toute honte bue, brandir cette caricature comme un objet de fierté, un trophée gage d’une liberté d’opinion et d’expression démocratique bien vivace et scrupuleusement respectée sous votre régime. Là où dans le même temps vous avez affreusement mutilé des citoyens pour avoir eu l’outrecuidance d’avoir précisément tenté d’exercer ce droit constitutionnel…
En Guadeloupe, VOUS recherchez tellement à garantir le bien-être de vos concitoyens, que vous faites intervenir vos blindés et vos snipers tireurs d’élite du GIGN afin de mater les autochtones récalcitrants et leur imposer ces injections, histoire de les soigner, quoi qu’il en coûte, de leur faire du bien à l’insu de leur plein gré en quelque sorte, de leur expliquer un peu la vie à ses arriérés qui ne comprennent rien aux bienfaits du progrès et de la science. Tant d’égards, de sollicitude et d’humanisme pour garantir la santé de votre prochain et les arracher aux griffes de cette mauvaise grippe, je dois bien avouer que c’est vraiment touchant… Ne pas s’incliner devant tant de mansuétude, c’est vraiment faire preuve d’ingratitude et de mauvaise foi, voire d’être atteint d’un stade incurable de complotisme.
Il va sans dire qu’en réalité, ne rien avoir en commun de votre conception morale, c’est déjà en soi une distinction et un suprême honneur ! C’est notre légion d’honneur à nous et elle ne saurait se réduire à une insignifiante breloque Bling Bling vermoulue dispensée aux plus corrompus de votre caste et autres cons primés à la toute gloire de Big Pharma, adressée en forme de crachat et d’affront ultime au petit peuple.
Tel un enfant immature et capricieux emporté par son puéril délire de toute puissance ne supportant plus la moindre contradiction, de ne pouvoir tout avoir sous son contrôle, voilà maintenant que dernière infamie en date, VOUS vous proposez, avec la vulgarité crasse qui vous caractérise, « d’emmerder jusqu’au bout ces irresponsables de non-vaccinés »… Jusqu’où ira votre jusqu’au-boutisme, jusqu’aux Goulags ou aux camps de redressement sanitaires ? Cela est semble-t-il l’aboutissement de votre projet politique, votre ultime ambition pour parachever votre Grand œuvre de destruction. Ces “Irresponsables” qui ne seraient, si l’on s’en fie à votre boussole morale déglinguée et hautement défaillante, même plus dignes d’accéder à la citoyenneté, se voyant ainsi traités avec plus de sévérité et moins de largesse qu’un criminel terroriste sanguinaire ou qu’un misérable violeur d’enfant.
Pourtant n’était-ce pas votre sinistre de la justice, Eric Dupond-Moretti qui avait déclaré il y a tout juste quelques mois que les détenus des prisons avaient aussi le droit de refuser la vaccination et ne devaient pas être traités en cobayes, car c’est une question de dignité ! Serait-ce donc à croire que les prisonniers de droit commun auraient dans cette République bananière le droit à plus d’égards et de dignité que l’homme du commun, le citoyen de base qui se retrouve traité en criminel comme un terroriste viral ?
Mais après tout, si l’on s’en tient à votre logique irrationnelle et que nous serions dans “une guerre” confrontée à un danger extérieur, un insaisissable ennemi, alors celui qui refuse de s’enrôler et ne participe pas à l’effort de cette guerre déclarée unilatéralement devient un traître, un déserteur sans honneur et un ennemi de l’intérieur. Dès lors, éliminer cet ennemi intérieur permet de neutraliser la menace extérieure… Mais faire la guerre à un virus relève d’une chimère et d’une parfaite illusion, il faudrait tout simplement apprendre à vivre avec.
VOUS faites ainsi injure à 5 millions de Français en affirmant qu’ils ne seraient plus dignes de leur citoyenneté parce qu’ils ne veulent pas se soumettre à vos multiples injonctions à l’injection, eux qui ont certainement un amour bien plus profond, sincère et légitime pour ce pays que vous n’en aurez jamais, eux qui ont comme on dit “bien mérité de la France”, contrairement à vous qui en méprisez souverainement jusqu’à sa culture et qui n’avez de cesse de la détruire et de l’avilir dans ce qu’elle a de plus beau et d’authentique.
Cette déclaration de guerre jetant dans la fange et à la vindicte populaire toute une frange de la population qui confirme votre choix délibéré pour une politique du bouc-émissaire pleinement assumée, nous ramène de par sa dynamique haineuse aux pires horreurs et crimes du passé. Elle nous place d’emblée sur une pente très glissante, dont l’issue pourrait bien être aussi funeste que fatale. Au regard de l’histoire, votre responsabilité pleinement engagée sera donc écrasante. Elle n’est pas seulement une faute politique indélébile, qui bien avant d’insulter les Français que vous stigmatisez si injustement de la sorte, salis à tout jamais la dignité de votre fonction. C’est aussi et avant tout une faute d’humanité et elle est impardonnable !
Du haut de votre méprisante vacuité, VOUS avez d’ailleurs multiplié les provocations et les insultes à l’encontre du peuple, en le traitant tour à tour, d’alcooliques, d’analphabètes, de Gaulois réfractaires ou de sous-citoyens. Vous maniez l’insolence avec une indolence qui confine à la nonchalance.
N’était-ce pas l’écrivain Albert Camus qui nous avait déjà mis en garde que lorsque le mépris intervenait en politique, il préparait ou instaurait le fascisme et que l’essence même du fascisme était le mépris… Quelle clairvoyance !
Car comment diable une infime poignée d’irréductibles non-vaccinés, que vous avez déjà largement marginalisés et qui ne peuvent presque plus faute de pass valide, mettre les pieds nulle part dans l’espace public, pourraient-ils à eux seuls contaminer plus de 50 millions de vaccinés armés de leurs multiples doses de protection, qui contrairement à eux, ont encore accès à tout, même en étant positifs et donc capables de transmettre le virus ?
Par vos inacceptables écarts de langage orduriers et votre pitoyable exemple, vous envoyez un très mauvais signal à l’ensemble de la population… En franchissant cette ligne rouge, vous donnez le champ libre à tous les excès, vous laissez dans votre sillage la porte ouverte aux pires abus, VOUS déchaîner les passions et VOUS soufflez sur les braises de la guerre civile, au lieu d’appeler à l’apaisement. Là où en garant de la cohésion nationale, il vous faudrait en période de crise rassembler et unir, VOUS ne faites que toujours plus cliver, alimenter les divisions, VOUS attisez les haines et les tensions, vous fracturez la nation comme jamais auparavant, semant avec votre venin tel un sournois serpent, les graines de la discorde et de la zizanie au cœur même de nos familles, en s’insinuant jusque dans nos foyers à l’occasion d’un repas de Noël placé sous haute tension. Avec vous, la France, pays de la concorde est devenue celui du désordre et de la discorde, de la guerre de tous contre tous.
C’est bien VOUS l’irresponsable en chef !
En bon Machiavel, sans doute que par cette ultime provocation, dont vous avez le secret, escomptez-vous pousser par l’exaspération à la faute et à la violence les non-vaccinés, afin de les réduire aux yeux de l’opinion publique à une poignée d’extrémistes factieux, de séditieux, de terroristes ou de fous furieux irresponsables et ainsi avoir le champ libre pour parachever votre tyrannie avec une féroce répression policière et peut-être l’instauration d’une loi martiale. Comme si la véritable violence, tant symbolique que physique, ne se plaçait pas de votre côté et que vous n’en étiez pas le provocateur et principal artisan, en semant ruine et désespoir par vos prises de décisions iniques. Ainsi, après avoir créé de toute pièce le chaos, vous pourrez restaurer l’ordre en “bon père de la nation”. Nous ne sommes pas dupes de cette énième manœuvre bien malsaine.
Mais prenez garde que ce petit jeu extrêmement dangereux et hautement pervers dans lequel vous vous engouffrer, porté par votre audace naturelle, votre hubris et votre sentiment de totale impunité, ne finisse en dernière instance par se retourner contre vous. Car Dieu sait que l’histoire est capricieuse, elle déborde d’ironie et de retournement dialectiques imprévisibles. Et ce ne serait pas la première fois que certains bourreaux qui martyrisent leurs peuples aussi bien physiquement que moralement finissent leur misérable sort en victimes, une fois que la roue de la destinée a basculé en étant pour solde de tout compte relégués aux poubelles de l’histoire.
Pensez-vous sérieusement que la myriade exponentielle des cocus de la vaccination, qui ne constatent la réalisation d’aucune des belles promesses qui leur avaient été faites, mais souffrants parfois au plus profond de leur chair de ravageurs effets secondaires, ou constatant autour d’eux la disparition subite d’êtres chers, continueront éternellement à avaler les couleuvres de Mac Kinsey et les boas constrictors des mensonges éhontés de Big Pharma ? On peut légitimement en douter, l’hypnose à ses limites et le réveil après la gueule de bois risque d’être violent.
Après deux ans d’une politique sanitaire (qui petite piqûre de rappel aurait dû initialement durer deux semaines d’effort national, le temps de, je vous cite, “aplanir la courbe”), dont chacun pourra avec le recul apprécier à sa juste valeur son cuisant échec, un seul constat s’impose désormais : VOUS êtes de très loin le virus le plus destructeur qui soit jamais rentré dans nos vies, une véritable plaie, une malédiction, un châtiment divin !
VOUS êtes un serviteur zélé de la « Bête de l’Événement », son petit mignon de service qui se sent pousser des ailes pour lui rendre directement hommage dans l’une de vos déclarations officielles. Voilà qui ne manque pas de sel, puisque votre prénom signifie « Dieu avec nous ». Un virus fatal, tant pour nos libertés publiques qu’individuelles, une véritable arme de destruction massive de nos droits inaliénables.
Votre calamiteuse gestion de crise est criminelle. Elle relève d’un sabotage volontaire et malveillant. Elle ne peut être mise sur le simple compte d’une quelconque maladresse ou d’une incompétence historique, elle est consciente et parfaitement délibérée. Dans ce jeu de massacre mené avec une insondable perversité au nom de la poursuite d’un prétendu bien commun et collectif, VOUS détruisez tour à tour : nos vies et notre mode de vie, notre culture, nos familles et nos enfants, nos commerces et notre économie, nos emplois et donc notre avenir, nos hôpitaux et notre système de soin ainsi que la sécurité sociale, tous nos acquis si chèrement conquis de haute lutte.
Non décidément, le doute n’est plus permis, il s’agit bien en réalité d’une guerre larvée d’une hypocrisie sans nom. À mes yeux, vous avez à tout jamais perdu toute forme de légitimité, je ne vous considère donc plus comme un Président, mais comme un criminel devant l’humanité dans l’attente de son futur jugement.
En bon escroc qui se respecte, VOUS affectionnez tout particulièrement évoluer au sein des milieux les plus troubles, côtoyer les coteries d’intérêt les plus secrètes, là où la démocratie n’a plus droit de cité, comme celles du Groupe de Bilderberg, en passant par l’ultra-confidentiel Club Dolder. De plus, vous vous entourez de Cabinets Conseils étrangers véreux, payés rubis sur l’ongle, comme McKinsey afin de placer, voire d’imposer avec des méthodes de truands des produits particulièrement douteux, eux-mêmes fabriqués par des entreprises criminelles telles que Pfizer ! Cette dernière ayant à son palmarès judiciaire un très lourd passif allant, excusez du peu, de multiples condamnations pour charlatanisme, fraudes, trucages, pots-de-vin, corruption de médecins et de fonctionnaires, falsifications de rapports et d’études scientifiques.
Nous avons donc affaire à un tentaculaire réseau de connivences et de corruption des plus opaques, une association de malfaiteurs, une escroquerie en bande organisée spécialisée dans la fraude fiscale et dans les abus de bien sociaux. Il faut dire qu’il fallait tout de même oser court-circuiter les services étatiques de la haute fonction publique en ignorant les compétences d’une administration nationale pléthorique afin de privilégier les services d’une Société de Conseils étrangère basée dans des paradis fiscaux en lui payant en toute opacité plus d’un milliard d’euros. Comment peut-on faire appel aux services d’un cabinet privé américain comme McKinsey pratiquant l’évasion fiscale afin de mieux nous maltraiter, mais aussi de démanteler, pilier et détruire les services publics et ainsi de toujours plus appauvrir le petit peuple au profit d’une caste de milliardaires pratiquant eux aussi la fraude fiscale intensive… Du grand art dans la haute trahison de l’intérêt commun ! Comment peut-on à ce point détourner et dilapider les fonds publics pour payer des conseillés McKinsey jusqu’à 10 000 euros par jour, engager des sommes parfaitement indécentes pour des prestations souvent indigentes, voire même inexistantes.
En ce qui me concerne, je ne sache avoir jamais voté lors des dernières présidentielles pour EmmanuelMcKinsey, pas plus que pour Emmanuel Macron d’ailleurs, pour qu’il prenne en charge la gestion de la cité !
Vous avez même aux dépens du contribuable eu recours aux services de ce même cabinet véreux à des fins personnelles de réélection, commettant ainsi un délit de prévarication. Macron, votre propension à faire appel à ces prestataires étrangers révèle de deux choses l’une, soit votre incompétence crasse à gérer les affaires du pays, soit votre trahison pure et simple des intérêts de la nation pour le compte d’une puissance étrangère.
Et avec tout cela, il faudrait remettre béatement notre santé et notre vie à ce syndicat du crime en bande organisée, sous peine de faute morale ? Est-ce bien raisonnable ? Quel retournement et quelle spectaculaire inversion, c’est vraiment l’hôpital qui se moque dans les grandes largeurs de la charité !
Par vos odieuses méthodes de harcèlement et de maître chanteur qui aurait sournoisement pris en otage nos vies, vous ne valez à mes yeux pas mieux qu’un chef mafieux qui tour à tour terrorise avant de promettre protection à ses victimes, tout en extorquant leur consentement afin de mieux les asservir et les retenir dans son cercle vicieux de chantage sans bornes. Ainsi, de doses en doses, VOUS soumettez et violez toujours plus nos corps et notre liberté de conscience, en faisant peser sur nos malheureuses têtes l’épée de Damoclès d’une mort sociale sans autre forme de procès. Après avoir privé notre pays de toute forme de souveraineté, monétaire, économique et juridique, c’est donc maintenant directement à la souveraineté de nos corps que vous vous attaquez.
Dans votre orgueil, vous vous pensez sans doute comme étant l’égal d’un prince, un nouveau Roi Soleil qui tutoie les étoiles, mais vous n’êtes pourtant qu’un Golem Attaliesque, que l’émanation monstrueuse d’un pouvoir oligarchique harceleur et transgresseur de bas étage, qui entend maintenant mettre au pas les populations dans un système digne des pires heures du communisme. VOUS n’êtes que le larbin, le laquais et le valet servile, l’insignifiant jouet de vos sbires, de cette misérable caste de puissants, de ces scélérats qui entendent sceller nos destinés, de ces banquiers apatrides, ces grands argentiers qui contrôlent en coulisses de par leurs capitaux ce monde devenu immonde.
En bon fusible, vous n’êtes qu’une dérisoire pièce de rechange, un homme de paille qui joue aux épouvantails, un rouage insignifiant de cette grande et implacable machinerie mondialiste totalitaire. Nul doute qu’au besoin vos impitoyables maîtres vous sacrifieront ou vous remplaceront en temps voulu par une autre marionnette, tout aussi détestable, si vous ne parvenez pas à mettre en place leurs objectifs, ou bien une fois votre feuille de route de destruction achevée.
VOUS vous comportez comme le ferait un minable petit caïd de banlieue, qui intimiderait ses habitants en multipliant les menaces, les zones de non-droits, les brimades, les rackets et les extorsions et qui enverrait ses petites milices de quartier pour réprimander et faire régner son ordre par la peur, après avoir généré au préalable le chaos. Finalement, la seule chose qui vous différencie de ces petites frappes, c’est que vous avez les moyens de vos perverses ambitions, en disposant comme bon vous semble d’une force publique détournée de ses fonctions et du monopole d’une violence d’État devenue illégitime.
VOUS avez fait du consentement dit “libre” et “éclairé”, fondement même de la médecine, une obligation de fait, un “consentement” extorqué basé sur la duperie et l’opacité, en un seul mot : UN VIOL !
Aussi, pourquoi vous êtes vous entouré dans toutes vos actions d’un tel impénétrable secret… Secret Défense pour des dizaines d’années pour vos prises de décisions relatives à la crise sanitaire au sein du “Conseil Scientifique”. Vous avez mis la vérité sous cloche pour cinquante ans, c’est dire que vous ne devez pas avoir la conscience bien tranquille pour rester ainsi tapis dans l’ombre… Secret encore sur les contrats léonins signés avec les firmes pharmaceutiques, dont tant de clauses honteusement caviardées sont inaccessibles, quand le peu qui nous reste encore accessible relève déjà du pur scandale ! Ces contrats qui leur assurent la plus parfaite impunité sur leurs agissements, tout en accordant la part du lion aux féroces appétits de ces carnassiers dénués de tous scrupules. La santé mérite pourtant la plus totale transparence, car elle est notre bien le plus précieux à tous. Pourtant vous agissez dans l’ombre tel un conspirateur, tout en exigeant en retour notre confiance aveugle… Et depuis quand un état se mêlerait-il d’orienter totalement la médecine ? On sait bien où l’hygiénisme étatique et la toute puissance d’une science instrumentalisée à des fins politiques a pu conduire de par le passé.
Ce faisant, vous déshonorez notre pays en piétinant allégrement toutes ses valeurs fondamentales de “Liberté”, “Égalité” et “Fraternité”, qui bien qu’elles ne relevaient déjà que d’une illusion certaine, ne sont plus désormais, sous votre action délétère, qu’un lointain souvenir ! Elles peuvent désormais aisément être remplacées par “Soumission”, “Ségrégation” et “Délation”. Il faudra d’ailleurs songer à faire instamment réécrire tous les frontons des mairies pour les remettre au goût fasciste du jour, en cohérence avec les nouvelles valeurs de ce régime d’exception illimité dans le temps, de cet état d’urgence permanent. Vous avez fait de la chose publique, la “République” une chose privée phagocyté par des lobbies et d’obscures forces d’argent.
VOUS êtes le fossoyeur de cette démocratie moribonde en phase terminale. Vous avez réduit notre citoyenneté à des doses répétées d’injections de produits pharmaceutiques et à trois mois… C’est dire tout le degré d’estime que vous portez en réalité à l’exercice de la démocratie et à ses citoyens, ainsi qu’aux fameuses “valeurs de la République” dont vous vous gargarisez tant sur le papier, faignant d’en être le garant, alors que vous les piétinez comme jamais… Mais c’est bien connu, plus on parle d’une chose et moins elle s’inscrit de fait dans la réalité tangible. En réalité, VOUS vous réclamez de valeurs que vous n’avez jamais incarné.
Votre “Green Pass”, qui deviendra à n’en pas douter pass écologique, pour un développement du contrôle social durable, n’est rien d’autre qu’un nouvel “Ausweiz” hygiéniste de santé “Nazitaire”. Il est la marque de l’infamie qui entérine votre société ségrégationniste de la honte, qui sépare les bons élèves, les citoyens “modèles”, les soutiens de votre régime, des sous-citoyens, ces indéfectibles résistants épris de liberté.
Votre démocratie décrépite de façade, vidée de sa substance, ressemble de plus en plus à un grotesque décor en carton-pâte de village Potemkine ne pouvant encore faire illusion que chez quelques gogos de bobos bon teints, qui par pur confort et conformisme, préfèrent encore se voiler la face en toute bonne conscience.
Quant aux “Droits de l’homme”, visiblement ils ne sont désormais plus que réduits aux droits exclusifs d’une petite caste de privilégiés qui redéfinissent à leur guise le contrat social, qui font et défont les lois à leur convenance, pour mieux à coups de décrets nous imposer la leur. Ces décrets votés en catimini à 3h du matin par une assemblée de députés à moitié vide, au nom d’un état d’urgence qui n’en est pas un. Les “Droits” étant relégués au second plan, c’est-à-dire totalement accessoires. Dans ce nouveau monde, ce qui compte désormais, c’est de s’affranchir avant toute chose de ses devoirs et de perdre ainsi toute authentique liberté. Nous sommes donc sournoisement passés d’un régime de droits à un régime de permissions. La liberté est devenue l’exception tandis que la contrainte serait à présent la règle.
De fait, il n’y a déjà plus aucune égalité de droit entre les citoyens, mais une égalité de devoirs, où ceux qui rechignent encore à s’acquitter des devoirs fixés et imposés unilatéralement par une autorité arbitraire, sans plus aucun contre-pouvoir, perdraient alors tous leurs droits. C’est ce que je définirai ni plus, ni moins que comme l’instauration d’une implacable tyrannie.
Paradoxalement, VOUS avez mis en place une société “inclusive d’apartheid”, où l’on met un point d’honneur à défendre et faire respecter les droits sacrés des minorités, mais pour mieux oppresser et nier ceux de la majorité ! Dans cette bien mauvaise farce, seule l’écriture reste encore inclusive, tout le reste n’est que privilèges exclusifs, comme une fine couche sociétale de vernis progressiste pour mieux masquer le recul du désastre social.
Tout récemment, pour lutter contre le “Convoi de la Liberté”, VOUS êtes le premier Président à avoir osé donner l’ordre de verbaliser le port trop ostentatoire du drapeau national. Ainsi, des citoyens se sont même vus directement braqués par vos forces du désordre, avec une arme de service, pour le simple acte hautement séditieux et subversif d’avoir osé brandir pacifiquement et bien haut les couleurs du drapeau tricolore. Ce drapeau a été outragé, arraché des mains, voire piétiné, comme un vulgaire torchon. On pourra relever que dans le même temps, le drapeau étoilé européen, dont cette année, VOUS avez jugé bon de parer exclusivement l’Arc de Triomphe ne bénéficie visiblement pas du même traitement de défaveur ! Voilà qui en dit très long en termes de symbole… VOUS luttez donc bien avec acharnement contre notre pays, ses symboles et ses valeurs fondamentales, comme “La liberté” que vous êtes pourtant de par votre fonction censé incarner et protéger. Sur le terrain de l’injustice sociale, VOUS déployez vos blindés et vos Robocops en armures suréquipées pour accueillir manu militari dans la plus grande violence ceux qui s’opposent à l’expropriation de leurs droits et libertés. Seul un tyran qui aurait une peur bleue de son peuple peut agir de la sorte. Et ce 11 février, pendant que le peuple en souffrance (qui défile et bât avec dignité le pavé chaque samedi depuis des mois, sous les moqueries et le mépris) se mobilisait, dans un superbe élan de solidarité et de fraternité, pour vous signifier toute son exaspération devant tant de vexations, fidèle à vous-même, tel un enfant gâté bien pourris, VOUS festoyez en organisant dans votre palais Élyséen une petite sauterie pour la réception du président portugais (sans aucun masque cela va sans dire).
Dans votre monde aux valeurs renversées, on en arrive tout de même à ce que ceux qui descendent pacifiquement dans la rue pour défendre avec ferveur mais fermeté et détermination, nos droits et nos libertés inaliénables se retrouvent taxés d’extrémistes, tandis que votre pouvoir oppresseur et radical, avec son Nouvel Ordre Sanitaire, de plus en plus ouvertement totalitaire est dépeint comme des plus modérés, comme l’avant-garde du progressisme… C’est juste spectaculaire d’inversion accusatoire !
Une chose est sûre, si vous faites mine de tant vous préoccuper de la santé et de la vie de vos concitoyens, toutes vos prises de décisions et vos actions démontrent sans l’ombre d’un doute qu’en réalité vous méprisez la vie humaine au dernier degré et que le moteur de toute votre action est politique et non sanitaire, et une politique des plus sales. Force est de constater que si vous parlez comme un ange, vous agissez comme un assassin ! VOUS avez les mains pleines du sang des innocents :
Le sang des personnes qui n’ont pas pu être soignées et prises en charge à temps pour leur pathologie, avec une perte de chance inacceptable pendant les différents confinements ;
Le sang des personnes âgées victimes d’homicide avec vos euthanasies actives au “Rivotril” organisées par les “Agences Régionales de Santé” qui ont mis en place un tri sélectif des patients, au lieu d’augmenter la capacité des lits ;
Le sang de ceux à qui on a refusé l’accès à des traitements médicaux existants et à qui on a pour toute forme de prise en charge administré du “Doliprane” comme une forme de non-assistance à personne en danger ;
Le sang de ceux qui se sont suicidés parce que leur vie a basculé, parce qu’ils ont été conduits à une ruine certaine ou ont perdu tout goût et tout sens à leur existence dans votre nouveau monde, où ils ont parfois perdu leur place en étant considérés comme “non-essentiels”;
Le sang des personnes en parfaite santé qui ont trouvé la mort suite à ces inoculations.
Mais n’en doutez pas, tôt ou tard, VOUS aurez rendez-vous avec l’histoire pour rendre compte de tout le mal que vous aurez infligé à tant de familles, de toutes ces victimes “collatérales” engendrées par vos irresponsables prises de décisions, de toute cette souffrance et de ces drames humains générés ;
Et si d’aventure la justice temporelle des hommes, particulièrement défaillante en ces temps de tromperie universelle et de corruption généralisée, ne remplit pas son office, vous aurez tout de même à en répondre devant la justice immanente de l’Éternel, car sachez qu’avec votre morale d’ordre supérieure, vous ne l’emporterez certainement pas au Paradis… Dieu voit tout et chacun sera jugé selon ses œuvres. Et force est de constater que la vôtre avec toutes ses basses manœuvres ne produit que des fruits infertiles, bien pourris et au goût infecte ! Que tout ce sang que vous avez fait couler directement ou indirectement finisse par retomber sur votre misérable tête.
Au moins dans ce chaos à venir, que vous avez malheureusement de par votre incurie rendu inévitable, il me restera encore ma dignité d’être humain et l’intégrité de mon âme, deux notions qui manifestement vous échappent totalement et elles n’ont pas de prix !
Enfin, sachez que si je suis déchu de ma citoyenneté parce que je réprouve jusqu’au plus profond de mes tripes ces politiques criminelles et parce que je refuse de me soumettre à toute cette folie ambiante, à cette contagion délirante hystérique savamment entretenue et orchestrée par vos médias subventionnés de propagande aux ordres, ce n’est pas grave, car après tout, je n’ai finalement plus rien en commun avec ce à quoi vous avez réduit ce beau pays qui jadis faisait encore ma fierté, à savoir une tyrannie hygiéniste à visage sanitaire profondément inhumaine. Je me sens déjà totalement étranger avec cette nouvelle monstrueuse réalité, cette anomalie de la raison, cette nef des fous en perdition qui prend l’eau de toutes parts et dont vous êtes l’un des infernaux chef d’orchestre et maître d’œuvre. Vous avez rendu ce pays aussi invivable, irrespirable que suffoquant !
Tenez-le vous pour dit, en ce qui me concerne, je refuse catégoriquement de me laisser piéger et mettre en cage dans votre prison numérique à ciel ouvert pour esclave “Moderna” 2.0. En tant qu’être conscient, je ne peux consentir ni cautionner ce projet d’anti-société, cette quintessence de civilisation en perdition, ce nouveau système d’exploitation, de flicage et de contrôle social permanent.
Quitte à passer pour un Amish, je m’oppose à la mise en place de ce nouveau servage féodal, de ce bio-pouvoir aux inclinaisons fascistes, de ce totalitarisme ultra-technologique des plus insidieux, conférant un extravagant pouvoir, toute autorité à une infime minorité, aussi illégitime qu’aveugle. En somme, presque un droit de vie ou de mort sur nos existences, avec la possibilité de déconnecter, de désactiver à distance, sans autre forme de procès, d’un simple clic, tous ceux qui ne seraient pas assez dociles, domestiqués et bien soumis aux règles édictées par votre clique Davosienne de fanatiques sans éthique. (Et pour ceux qui pensent que j’exagère, c’est exactement ce qu’a mis à exécution au Canada, le “Young Global Leader”, Justin Trudeau pour neutraliser le “Convoi de la Liberté” en gelant leurs comptes bancaires)
Je refuse ce contrôle intégral sans égal, assuré par l’introduction progressive d’une monnaie numérique.
Dans cette rupture de paradigme, ce basculement brutal de civilisation à marche forcée, imposée au prétexte d’une mauvaise grippe et d’un hypothétique réchauffement climatique de nature anthropique, justifié au nom de ces deux nouvelles religions scientistes instrumentalisées, on rentre contre notre gré dans votre nouvel ordre “moral”. Un nouvel ordre qui ne serait plus basé sur aucun État de droit, mais sur un baromètre de “bonne conduite”, fixé arbitrairement par vos gouvernements de corrompus et de repris de justice. Ces gouvernements dits représentatifs, qui ne représentent plus qu’eux-mêmes, ainsi que leur caste de puissants et qui dans toute cette crise dite “sanitaire”, n’ont fait que l’éclatante démonstration de leur plus totale absence d’éthique !
Étant issu du peuple des francs, soit du peuple des hommes libres, je n’ai jamais porté aucun crédit à ce genre de “Chinoiseries”, n’en déplaise à vos omnipotents fantasmes de contrôle totalitaires visant à encadrer le Pékin moyen, comme s’il s’agissait d’une vulgaire marchandise… Je refuse d’être classé, reclassé ou déclassé selon votre bon vouloir, d’être relégué à l’état de pion sur votre grille de contrôle technocratique. Je m’oppose de toutes mes forces à la mise en place de ce permis de vivre à points. Ma vie m’appartient et ce n’est pas négociable !
J’ai la liberté inscrite au cœur de mon ADN, elle coule dans mes veines et c’est le seul message que peuvent tolérer mes cellules, qui ne sont pas à reprogrammer, car je ne suis pas un OGM à trafiquer. N’en déplaise à Bill Gates, mon code génétique n’est pas un code informatique… Je n’entends pas présenter de mobile pour avoir le droit de vivre, de justifier de mes moindres faits et gestes, je ne suis pas un criminel en conditionnelle !
L’intégralité de ma vie n’est pas à scanner, à stocker, à scruter jusque dans ses moindres recoins, même les plus intimes. Elle n’est pas à dérouler, à disséquer, à recouper, à faire analyser par une intelligence artificielle dans une base de données centralisée hébergée sur les serveurs privés de Microsoft. Même si “je n’ai rien à cacher”, je tiens à mon jardin secret, question de pudeur !
Je ne suis pas une marchandise labellisée, un objet connecté, un produit de “consumation” à date de péremption, une machine biologique manipulable à souhait, un article de série standardisé, une ressource humaine non-essentielle, une variable d’ajustement, un automate téléguidé, mais un être humain qui entend préserver toute sa dignité, conserver son libre-arbitre et sa vie privée !
Je refuse d’être réduit, à un statut “positif” ou “négatif”, à un “cas contact” dans votre vision arithmétique du monde sans plus aucun contact avec la réalité, à un QR-code domestiqué sur pattes, géré à distance par algorithmes interposés, d’être traité comme une vulgaire pièce de bétail de votre troupeau de serfs qui seraient marqués pour l’abattoir.
Aussi, hors de question d’ingurgiter, dose après dose vos substances artificielles hautement douteuses des plus suspectes, vos “boosters” à base d’ARNm qui affaiblissent et compromettent toujours plus nos systèmes immunitaires naturels, jusqu’à qu’overdose, thrombose, ou mort s’ensuive ! Je ne serais jamais un rat de laboratoire ou un cobaye de l’une de vos expériences d’apprentis sorcier, de Docteurs Mabuses qui abuseraient de notre crédulité.
Et je tiens au passage à le préciser, mon cerveau, siège de mes pensées n’est pas plus à coloniser, il n’est pas un terrain de jeux à la disposition de vos docteurs Maboules et autres apprentis Mengele 2.0 de la Darpa qui visiblement le considèrent comme le champ de bataille du 21ᵉ siècle, leur nouveau théâtre d’opération. Ne vous en déplaise, j’entends bien demeurer le capitaine de mon corps, de mon esprit et de mon âme, rester le seul maître à bord…
Ne présentant strictement aucune menace pour la populace, je refuse que l’on me suive à la trace, quoique je fasse, que l’on analyse et dévisage ma face, sous l’œil inquisiteur de vos caméras, pour capturer la moindre de mes fugaces émotions, pour que l’on fasse l’inventaire de toutes mes grimaces. Je ne suis pas une bête curieuse de foire dans votre infernal “Truman show”, un prisonnier de ce cirque hystérique et dystopique.
Plutôt que de QR-code, il faudrait redonner ses lettres de noblesse au QI en réarmant de toute urgence l’intelligence, afin de refuser en bloc cet infâme carré numérique, qui entend encadrer l’ensemble de nos existences, nous réduisant à de simples numéros, nous faisant régresser de sujet à objet, tout en niant la complexité du vivant pour imposer une vision binaire et préformatée du monde…
Comme le dit si bien le proverbe créole : « Quand on nait rond, on ne meurt pas carré ! »
Votre offre logicielle “ARN messager” décrite par son fabriquant comme étant “The Software of Life”, soit comme “le logiciel de la vie” est très séduisante, mais ne m’en tenez pas rigueur si après mûres réflexions et de longues hésitations… Je préfère dans une large mesure rester un “sang pur”, très loin de vos technologies de pointe à base de protéine “Spike”, car vos injections ont tout l’air de tourner en eau de boudin et laissent augurer d’une affaire de sang contaminé 2.0…
Et ce n’est pas ce sinistre gugusse sanguinaire de Laurent Fabius, ce démon aux dents longues qui rit sous cape en s’étant carapaté de la justice de l’époque puisque jugé “responsable mais pas coupable” qui viendra me contredire… Lui qui pour dispenser ses conseils n’a strictement rien d’un sage, mais dont le pouvoir de nuisance est toujours à la page, sang pour sang resté intact en tenant entre ses griffes le Conseil Constitutionnel. Je préfère m’en tenir à mon “firmware d’origine”, à savoir celui du créateur, faire confiance en mon système immunitaire inné plutôt que de placer de vains espoirs dans les programmes artificiels de firmes tiers offrant une hypothétique protection aussi limitée que hasardeuse, qui expirerait tous les trois mois et qui nécessiterait d’installer des “upgrades”, des mises-à-jour et autres “boosters” à vie ! Je ne souhaite pas voir mon logiciel interne susceptible d’être hacker, piraté et trafiqué, au risque de produire une erreur fatale. Je laisse ces merveilles technologiques à vos amis versés dans le monde post humain comme Laurent Alexandre et autres Geeks de la Silicone Vallée.
VOUS, les nouveaux marchands du Temple, en aveuglant nos cœurs et nos consciences, avez décidé de profaner, de vous attaquer au sanctuaire le plus sacré d’entre tous, celui de nos corps. Pour cela vous méritez d’être vigoureusement chassés et délogés définitivement hors de nos vies. Votre monde immonde d’utérus artificiel géré par intelligence artificielle est un affront qui crie au ciel. Mais contrairement au Christ, nous ne sommes pas près de pardonner, car vous savez parfaitement ce que vous faites !
Sachez, pauvres fous assoiffés de pouvoir que vous ne parviendrez pas à tuer la conscience de l’âme humaine et que la vie dont vous n’avez strictement rien appris, malgré vos immenses fortunes et toutes vos montagnes de billets accumulées depuis tant d’années, restera à jamais un impénétrable mystère qui échappera toujours à vos algorithmes de contrôle. Malgré tous vos efforts pour la domestiquer, elle restera à tout jamais spontanée, imprévisible, sauvage, indomptable, merveilleuse, en un mot : magique !Votre projet de nouvelle société mortifère, artificielle, déshumanisée et transhumaniste est celui du néant, de la négation même de la vie et de la civilisation. Et comme tous les faux principes qui contiennent en eux les germes de leur propre autodestruction, il retournera tôt ou tard au néant !
En guise de conclusion, veuillez triste sire, agréer l’expression de mes sentiments les moins distingués et l’assurance de mon plus profond mépris.
Signé : un gueux non injecté, un emmerdeur de première et fier de l’être !