Être royaliste

Les raisons de notre combat

Il suffit de faire croire aux individus qu’ils sont libres et ainsi les mettre dans les chaînes. Notre civilisation se meurt du bourrage de crâne médiatique du prêt à penser. Nos vies sont déjà gravement menacées par la nourriture dépourvue du nécessaire vital pour notre santé. Que sont devenus nos cités, nos rues et la nature environnante, véritablement dépersonnalisés pour le plus grand profit du politiquement correcte. La disparition graduelle des espaces verts dans ces cages à poule fait naître une jeunesse désœuvrée, écœuré et déracinée. Les programmes scolaires sont orientés et falsifiés idéologiquement pour être assénés en vue de l’esclavage de masse sombrant dans un monde chimérique de non existence.

Tout cela répond-il aux impératifs d’une vie saine et équilibrée ?

visuesclavagemoderne3Environnement saccagé, valeurs humaines anéanties, nos vies et nos esprits sont manipulés : voilà ce qu’il convient d’attribuer à la logique de destruction de cette anti-civilisation. Le système s’attache à enlever toute signification aux actes de la vie, à anéantir toute valeur alors que les yeux vides de tout idéal on avance, musique bruyante aux oreilles dans des délires conditionnés. La répression s’abat sur les citoyens quand ils n’acceptent pas d’être soumis, les échauffourées lors des manifestations contre le mariage homosexuel en sont une preuve plus que flagrante. Alors que l’insécurité s’installe partout en toute impunité, seule la répression routière fonctionne à plein régime afin de persécuter l’honnête citoyen qui aurait l’audace, pour ne pas dire l’incivilité, de faire du 140 sur l’autoroute au lieu de 130 ! La République devra répondre devant le tribunal de l’histoire pour nos libertés perdues. La puissance bureaucratique et l’inquisition fiscale règnent, c’est une vaste machine à broyer les énergies. La France fonctionnarisé détruit systématiquement la paysannerie, l’artisanat et le petit commerce. Proudhon aurait dit : contrôlés, étiquetés, administrés, fiscalisés, amendés, noyautés, enrégimentés, écrasés, confisqués, endettés et finalement révoltés, enfermés, parfois suicidés ou fusillés…
Nous ne voulons pas être des numéros. Dans ce système où la consommation de calment augmente comme le taux de suicide, l’adversaire a pris la forme d’une mécanique implacable, servie par la toute –puissance de l’Etat. C’est ainsi que se construit une société programmée en vue de la consommation et aboutissant au spectacle permanent de la vie artificielle et idiote. Notre travail et nos impôts financent un système bancaire et économique injuste. Les financiers et des traders sans morale continuent à s’engraisser, les superprofits explosent alors que des millions de travailleurs se retrouvent sans emploi. Le travail doit-il être géré comme une marchandise, il se délocalise loin des lieux d’origines avec son lot de déracinement et de misère.
(suite…)

Action Sociale Corporative N°17

SOMMAIRE :

– Nos maîtres :
Armand de VILLENEUVE-BARGEMONT
P 3, 4 et 5

– BRISONS NOS CHAÎNES :
– Un peuple drogué
Frédéric WINKLER
P 6
– L e problème de l’eau
Frédéric WINKLER
P 7, 8 et 9
– Révolution intégrale
Frédéric WINKLER
P 10 et 11
– Du militantisme royaliste
Augustin DEBACKER
P 12
– La stratégie de notre révolte
P. JEANTHON
P 13
– Une poignée d’hommes suffit
ARISTE
P 14
– La crise n’est pas finie
Jean-Philippe CHAUVIN
P 15
– Maîtriser le temps pour affronter la crise
Jean-Philippe CHAUVIN
P 16

– Un grand inconnu :
le docteur Paul CARTON
André-Georges HENRY
P 17 et 18

– Supprimer les partis
Benjamin GUILLEMAIND
P 19

– Base doctrinale :
Le métier et les conditions de travail
P 2O et 21

– Qu’est ce que le malthusianisme ?
Augustin DEBACKER
P 22 et 23

La stratégie de notre révolte

libérons-nousAujourd’hui comme hier, être royaliste consiste à penser et agir en réaction aux prolongements de la révolution.
Visionnaire, 1789 ne s’est pas levée contre l’oppression de l’Ancien Régime, mais contre celle d’un futur devenu notre présent. Les peuples d’alors avaient le juste pressentiment que les hommes d’argent confisqueraient le message des Etats Généraux avant que le Roi les vit.
Les mêmes hommes veulent nous convaincre que les choix politiques dans lesquels ils nous ont engagés sont inéluctables, irréversiblement et raisonnablement définis : l’individu appartient à l’Etat, l’appareil productif doit atteindre « une taille critique », le commerce se doit d’être mondial, nos villages ont le devoir de se regrouper en intercommunauté. En résumé, toutes les structures se transforment pour que le simple citoyen n’en aperçoive plus la tête remplacée par l’anonyme « on ».

L’extraordinaire dans notre cas d’anesthésie spirituelle, eh bien, c’est que presque à notre insu, on se laisse réduire par la volupté de cette mise en oeuvre technologique, qu’elle relève du domaine de l’administratif ou de celui de la production de biens marchands.
Pathologiquement jalouse de son droit de propriété, la république interdit à toute communauté de faire écran entre le citoyen et un Etat aujourd’hui dilué dans diverses organisations internationales.
Mais justement l’être humain est imprégné de l’âme de sa Providence, de son héritage culturel et de son positionnement religieux. La quotidienne conquête de nos libertés se vit à l’intérieur de structures représentatives de ces entités auxquelles s’ajoutent les métiers.
Structures limitées, dont nous pouvons percevoir les frontières, au sein desquelles nous prenons la seule place qui soit naturelle à tout homme, c’est-à-dire entre l’obéissance et le commandement.
Il est beaucoup question d’Europe. Est-il besoin d’encore légiférer, d’inventer le code pénal afférent à toute nouvelle législation et de mettre en place le système répressif correspondant pour que les Peuples d’Europe se respectent, s’entraident et…s’aiment ?

A la structure artificielle et hypertrophiée que les «européistes» élaborent, nous opposons celle historiquement existante de la Tradition Chrétienne de l’Europe.
Ce n’est peut-être pas très laïc, à quoi nous rétorquons que l’éventuelle intégration de la Turquie au sein de l’Union Européenne ne nous semble guère « catholique ».
La révolution s’inquiète de ce que les revendications identitaires qui s’affirment aujourd’hui sur le plan régional, culturel ou religieux demeurent compatibles avec la tradition républicaine.
Il nous paraît que l’état des lieux se présente ainsi :
D’un côté…rien. En tout cas rien d’autre que les errements d’une politique qui constate sans orienter, qui tente de gérer à posteriori les conséquences de l’exubérance anarchique des développements technico-financiers, de l’autre côté….l’Homme, oeuvre achevée du Créateur.
L’Homme sait, avec un degré de conscience variable selon sa Foi, mais jamais nul, qu’il lui faut conformer sa vie pour rendre à César ce qui est à César, et à Dieu, ce qui est à Dieu.
S’il existe un clivage dans notre société ce n’est pas entre la gauche et la droite mais entre « d’un côté » et de « l’autre côté ».

En clair, nous refusons le concept de crise économique au profit de celui de crise de civilisation qui se manifeste dans les dysfonctionnements de la vie sociale.
Cette intervention après deux siècles au cours desquels tout fut essayé, du libéralisme au communisme sans omettre le nazisme. Le point commun à toutes ces idéologies est leur écart par rapport à la Tradition. La Tradition est proche du bon sens populaire, celui exprimé dans les cahiers de 1789, et la défense du bon sens populaire passe par le Pays Réel.
La ré-instauration des valeurs traditionnelles sortira la France d’une torpeur républicaine qui relève plus de l’habitude que de la conviction et permettra à ses Peuples d’exprimer un avenir en harmonie avec son Histoire.
Et que germe l’autorité royale dans ce terreau populaire ainsi fertilisé.

Il est une belle définition de la Tradition. Elle ne consiste pas à refaire ce qui a déjà été fait mais à bâtir dans l’esprit de ce qui a été fait.
Le retour à l’esprit dont l’existence différentie précisément l’homme de l’animal.
L’échec constaté des systèmes opposés à la Tradition nous conduit à l’affirmation suivante : le retour à la Monarchie est inéluctable tout simplement par défaut d’avoir fait mieux.
Le devoir d’un royaliste du XXIème siècle consiste à démasquer l’agression révolutionnaire dans toutes ses manifestations, à mettre constamment sa malfaisance en relief et la présenter à nos contemporains en les priant d’en être les juges.
Il faut dons sortir pour écouter et voir le monde, rentrer pour réfléchir et se recueillir, sortir de nouveau pour agir.
Réflexion et Providence feront le reste.

P. JEANTHON

Du militantisme royaliste

visuespritreconquete« Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. Qui se connaît mais ne connaît pas l’ennemi sera victorieux une fois sur deux. Que dire de ceux qui ne se connaissent pas plus que leurs ennemis ? »

Cette phrase, tirée de l’oeuvre de Sun Tzu, résume à elle seule tout l’art du militantisme politique, l’essentiel du combat royaliste.
Parce que dans notre régime républicain si prompt à bafouer les libertés les plus élémentaires, briser les chaînes de la servitude et décider de lutter contre le panurgisme ambiant n’est pas un acte anodin mais un choix lourd de conséquences.

Il faut tout d’abord se former, apprendre à connaître toute la pensée royaliste sur les différents sujets de la vie quotidienne : étudier l’aspect social et économique avec René de la Tour du Pin, Albert de Mun ou encore Firmin Bacconnier ; l’aspect politique avec Maurras, Daudet mais également Bainville ; l’aspect religieux avec Antoine Blanc de Saint Bonnet ou bien Saint Thomas D’Aquin. Se former, c’est d’abord et avant tout former son esprit à l’indépendance et à la réflexion : c’est former ses convictions et les étayer, les développer et les assurer. Il faut donc d’abord apprendre à se connaître, pour reprendre l’expression de Sun Tzu.

Ensuite, il faut étudier la république, ses intrinsèques défauts et les odieuses hypocrisies inhérentes à son épanouissement. Dans ce domaine, étudier les écrits d’Aristote, de Montesquieu et même des révolutionnaires les plus ardents comme Louis Antoine de Saint Just reste une référence essentielle et indispensable. Ainsi, l’actuelle inflation normative républicaine aurait été le signe évident d’une tyrannie par Saint Just, « Celui qui donne à un peuple trop de lois est un tyran » écrivait-il dans ces Fragments sur les Institutions Républicaines…
Aristote, le premier philosophe à avoir pensé à la démocratie et souvent cité par les républicains, était, et la plupart de ces mêmes républicains l’ignore, un fervent défenseur de la monarchie au niveau de l’Etat, par cette formule consacrée : « la monarchie dans l’Etat, l’aristocratie dans la province et la démocratie dans la commune ». Voilà pourquoi il est primordial de connaître son ennemi : démontrer ses failles et ses faiblesses, démolir ce mythe de la « démocratie salvatrice » est la première condition sine qua none à un militantisme actif.

Enfin, après ces deux étapes essentielles, n’importe quel royaliste peut aller militer dans la rue, démontrer l’impertinence de la république et l’importance vitale d’un prompt rétablissement de la monarchie française. Alors, qu’attendons nous ?

Augustin DEBACKER
http://franceroyale.e-monsite.com/

Révolution Intégrale

« Un monde gagné par la technique est perdu pour la liberté…Aussi sommes nous libre de penser que le véritable défenseur de la légitimité révolutionnaire est le prince très chrétien »
Bernanos

OLYMPUS DIGITAL CAMERALa première révolution à faire, n’est elle pas en soi, s’interrogeait déjà en son temps Henri Vaugeois, l’un des fondateurs de l’Action française. Le principe est simple : Ou vous désirez subir et ainsi vous vivrez couché…
Ou vous désirez vivre en homme libre et ainsi vous assumerez le difficile rôle et non moins passionnant que celui d’un rebelle. Non pas d’un simple révolté qui, comme beaucoup aujourd’hui le prétendent par effet de mode, pour se donner une quelconque importance qu’ils n’ont pas, comme ces éternels déclassés et insatisfaits…Mais plutôt comme une phalange d’irréductibles qui ont décidés de résister contre vents et marées face à la décrépitude contemporaine nous menant vers l’abîme. Empêcher la France et son peuple de sombrer dans ce néant dans lequel la ripoublique nous mène irrémédiablement. Ce n’est donc pas une figure de style, ni seulement une démarche intellectuelle mais une volonté qui enveloppe la pensée et l’action…

La pensée
Il faut se méfier de toutes les sources « d’information du système » qu’elles soient de droite comme de gauche. Les sources d’information essentielles se trouvent ailleurs et il faut aller les chercher, bref ne pas prendre pour « argent comptant» ce que l’on nous donne « gratuitement ». Il nous faut trier et analyser les sujets. Développer son esprit critique par de nombreuses lectures, assister à des débats et conférences, être assidu à des cercles d’études. Il faut se forger des connaissances historiques à partir de faits indiscutables comme les actes notariés, les listes des votations aux états Généraux par villes et sexes, les lois et chartes, bref des documents qui prouvent les réalités et sur lesquels on peut greffer des idées qui affronteront les plus irréductibles des contradicteurs…Ecoutons G. Orwell dans 1984 : « Celui qui contrôle le présent, contrôle le passé ; celui qui contrôle le passé, contrôle l’avenir. » Un sérieux apprentissage de l’opinion permet l’imperméabilité face aux attaques incessantes du système chargé d’annihiler toute forme de résistance. La puissance de destruction de l’appareil médiatique aux ordres du nouvel ordre mondial est telle qu’elle ébranle les meilleurs des combattants, ceux qui jamais n’auraient imaginé céder aux sirènes de la société de consommation et à l’appât d’un poste au chaud dans une mairie…
Il se profile à l’horizon un monde de numéro pour un univers de robots, celui du « prêt à penser » qui servira sa soupe façon « fast food » bien mâché au peuple de travailleurs soumis, devenu notre triste destin…

https://soundcloud.com/user5994089/tre-royaliste-un-combat-pour

L’action
Si l’on désire se révolter, il faut s’en donner les moyens. Que vaut un rebelle que l’on retrouve avec son « cadi » dans les couloirs immenses du supermarché de la consommation ?
Que vaut ce partisan de l’identité se nourrissant dans les «fast food » ?
Quel crédit accorder à cet homme dépendant de la société du spectacle ?
Il ne s’agit pas de fuir ni les villes, ni les lieux professionnels, comme le firent en d’autres temps les «soixantuitard» dans les montagnes avec leurs chèvres…La modernité les a rejoint et les normes sanitaires européennes ont fait disparaître bon nombre d’indépendants qui ne demandaient qu’à vivre paisiblement…Il faut rester et lutter sur place, agir et convaincre. Il existe de nombreuses solutions pour s’alimenter en dehors des réseaux de la grande distribution et ainsi pouvoir renouer un dialogue que nous avons, par paresse et confort perdu avec les proches qui tiennent soit des petits magasins, soit des fermes ou des élevages…Il faut éviter ces centres commerciaux bâtis sur la misère des commerces de proximités, bref pratiquer un «militantisme» du porte monnaie et aider ceux qui se battent à la base même de la société et de la vie. Mais encore faut-il le vouloir !
Rien n’avancera tant qu’une partie de notre peuple ne tournera pas radicalement le dos au système dans les structures mêmes de sa nocivité : la consommation.
Il en va aujourd’hui de notre santé, d’ailleurs. Ce n’est pas les exemples des maladies de « vaches folles » , autres animaux bourrés d’antibiotiques et camps de concentrations pour poulets aux hormones qui nous contrediront…Nous ne pouvons plus faire confiance à la nourriture fabriquée en série et venant de je ne sais où !
Tout cela parce que l’on a voulu industrialiser l’agriculture et demain la vie tout court. C’est devenu aujourd’hui une question essentielle de survie que de surveiller nos sources alimentaires pour nous et nos enfants…

L’homme responsable, vers l’autonomisme intégral
«L’homme libre, c’est l’homme couronné et couronner l’homme, c’est faire la Monarchie » P. Boutang

Après ces différents dossiers abordés et ceux à venir, les Camelots et Volontaires du Roi du Groupe d’Action Royaliste montrent le chemin à suivre. Celui-ci n’est pas le plus facile mais c’est celui d’hommes libres, celui des minorités énergiques, de ceux qui vivent debout et ne se couchent pas aux ordres du système. Il est de notre devoir de déceler parmi nos concitoyens ceux qui sont susceptibles de suivre la même démarche que nous et se croient seuls et impuissants. Ce sont les hommes qui font l’histoire disait Bernanos et nous avons tous le choix. Comment vivre ainsi et regarder grandir ses enfants en sachant ce que la ripoublique a détruit et détruira de ce qui faisait de nous le fier peuple de France.
Même les « révolutionnaires », même le peuple de gauche voit partir ce en quoi il croyait, ses intérêts sociaux, sa lutte…Le système pervers mit en place après s’être servi d’eux, les a broyé dans un magma du nouvel ordre mondial fabriquant un peuple d’« agents économiques » numéroté pour au final en faire des robots. Reprenons le mouvement de 1789 disait le Comte de Chambord, celui des réformes…reprenons je dirai le chemin humaniste d’un peuple responsable décidant de son destin.
Nous avons le choix mais que faut-il faire ?
Comment croire nos gouvernants lorsque l’on garde en mémoire le trafic du sang contaminé, « responsables mais pas coupables » qu’ils disaient…plus proche de nous notre ministre de la santé, sonnant l’alarme de la pandémie mondiale, en incitant les populations à la vaccination incontournable et salutaire. Rappelez-vous, ce n’est pas si vieux, on était presque montré du doigt si l’on ne se précipitait pas pour se faire « piquer » dans les labos…Des milliards d’euros et notre brave ministre encombrée par plus d’un milliard de « masques anti-Grippe Aviaire (H5N1), Porcine (H1N1) » non utilisés. C’est un vaste gaspillage de l’Etat qui cherchait à annuler ses commandes en 2010 d’un montant d’au moins 350 millions d’euros : « Faute d’une clause d’annulation passée avec les firmes pharmaceutiques il faudra négocier avec elles …Mais ce n’est pas tout. Madame Bachelot n’aborde pas la question du Tamiflu. 33 millions de doses n’ont semble-t-il pas été utilisées et stagnent dans les stocks… Il reste maintenant qu’au vu de cette situation surréaliste que beaucoup de patients commencent à se poser des questions sur l’adjuvant tant décrié ajouté à ce vaccin pour pouvoir le produire plus rapidement…Ce n’est pas faute que beaucoup de médecins et d’opérateurs dans le monde de la santé n’ont pas essayé de mettre en garde les autorités contre une paranoïa à la pandémie doublée d’immenses intérêts financiers… Bref, revente précipitée de doses à l’étranger, résiliation de commande, absence de clauses d’annulation, stock de Tamiflu gaspillé et 1 milliards 700 millions masques achetés aux frais du contribuable, ce n’est pas un bilan très positif ni très reluisant…Il reste qu’en plus ce sera au citoyen de financer cette chronique effarante d’une psychose médiatique à la pandémie. » (blog de Philippe Steinier, Président association Handimobility. Economiste – Licencié en sciences sociales)

Ubuesque n’est ce pas !!
Alors l’air devient dangereux avec les diverses pollutions atmosphériques et le nucléaire qui, chaque jour, insidieusement nous irradie…L’eau dont il faut dorénavant se méfier aussi, il est temps de reprendre ses droits de citoyens avant qu’il ne soit trop tard !!

Nous ne pouvons plus avoir confiance dans la nourriture et il serait trop long d’énumérer ici tous les scandales sanitaires de ces dernières années et les nombreux morts que cela a coûtés (vaches folles, nourriture avariée, farines animales, grippe aviaire…). Comment faire confiance à un système plus intéressé au « Cac40 » qu’à la santé de son peuple ?
Comme je l’ai écrit plus haut, retrouver le contact avec le monde agricole et acheter avec confiance sa saine nourriture en oubliant les grands réseaux de distribution. Bien sûr il faut se déplacer, discuter et sortir de son confort. Il est certes plus aisé de déambuler anonymement, dans les rayons des grandes surfaces, sans chercher ni réfléchir, notre robotisation est dans les allées magiques du « tout-prêt » facile…Il ne faudra pas dire que l’on ne savait pas et que vous ne compreniez pas lorsque le dernier producteur « indépendant » mourra parce qu’il n’aura plus alors comme seul interlocuteur que le gros centre commercial de la région. Nous avons encore le choix d’être libre mais encore faut il le vouloir. Il faut se débarrasser des entraves du système, des lobbies de l’industrie chimique qui tôt ou tard nous entraîneront vers la mort. Evidemment de nombreux amis sont d’accords mais le cycle du « métro-boulot-dodo » est confortable et il faut une bonne dose de caractère et de conviction pour rester rebelle. Mais imaginez un instant plusieurs dizaines de familles agissant ainsi et se détournant du confort individualiste ou « nouvel esclavage » consenti que le système nous vend comme source de progrès. Notre postulat dans le doute reste l’humanisme et là nous ne risquons aucune erreur car le matérialisme passera toujours après.

Il existe aujourd’hui de nombreux réseaux de distribution permettant aux familles de se procurer le nécessaire alimentaire. Ceci est d’autant intéressant de rencontrer des producteurs responsables, d’échanger des idées et de savoir ce que l’on mange ! Hippocrate ne disait-il pas en son temps que l’alimentation était la première médecine. Des siècles plus tard, le grand médecin Paul Carton reprendra la même approche dans l’étude médicale adaptée pour chaque patient.
Cette rencontre avec les éleveurs, voir les animaux de la ferme, c’est une question de survie, de joie aussi et comme disait Bobby Sands : « votre revanche sera dans le rire de vos enfants »…

Libérez-vous.
Tiocfaidh àr là – Notre jour viendra !

Frédéric WINKLER