Histoire et empirisme

La belle France de Jadis

Voici le dernier livre sortie de Frédéric Poretti sur la belle France de Jadis ! Disponible dès maintenant dans la biliothèque du GAR :

Voici une étude approchant la vie de nos ancêtres durant l’Ancien Régime. Il est indispensable de comprendre son histoire pour être en mesure de bâtir un avenir solide. Ce passé est continuellement falsifié ou mal enseigné par un système ayant beaucoup promis et qui, finalement, est bien usé. Vous comprendrez comment vivaient vos ancêtres, combien ils étaient dignes. Vous verrez que loin de vivre l’enfer, malgré les fléaux naturels vécus, leur quotidien était rhythmé par le respect des traditions et des coutumes héritées des ancêtres. Ceux-ci étaient conscients des lois de la vie empêchant bon nombre de conflits interminables qui sont notre lot quotidien. Une certaine démocratie existait et les votes étaient nombreux. La femme avait son mot à dire comme participait, loin des clichés d’aujourd’hui. Même si tout est relatif et non idyllique, il reste un enseignement à extraire, une réflexion, une voie. À travers ces lignes, vous comprendrez pourquoi ceux qui prétendent nous gouverner ont intérêt à obscurcir le passé de nos ancêtres, car la comparaison pourrait être cruelle. Il faut toujours se reporter aux textes, aux faits, aux actes notariés, aux accords, édits et contrats. La quête de la vérité à travers l’analyse des faits permet d’éviter les fantasmes, les mensonges et les excès idéologiques, ouvrant ainsi la voie à une vision plus claire de notre histoire.
Notre jour viendra !

De Du Guesclin à Sainte Jehanne d’Arc :

Voici sorti le tout dernier livre de Frédéric Poretti sur Du Guesclin et Jeanne d’Arc ! :

Bertrand du Guesclin a traversé notre histoire comme une comète, restant un exemple, un nom inoubliable comme une mémoire à honorer. Lorsque vous doutez, pensez à Bertrand du Guesclin et aucun fléchissement ne viendra devant les épreuves de la vie. L’histoire de France est un roman fait de signes intemporels, divins, constituants les riches heures de notre peuple. De du Guesclin à Jehanne, la continuité est présente, ils chevauchent dans le ciel pour veiller à ce que jamais nous ne doutions du destin de la France. Ils parlent dans notre subconscient, nous rappelant à chaque instant que la France est le pays du panache. Jehanne disait « Plutôt aujourd’hui que demain. Plutôt demain qu’après », notre terre est constituée du sang divin de nos aïeux. Les actes et paroles de Du Guesclin comme ceux de Jehanne, restent d’une étonnante actualité. Tout est symbolique et inexplicable à la fois, on ne peut comprendre que si on accepte le mystère. L’épée de justice de la chevalerie éternelle, est à la dentelle des remparts protégeant notre civilisation millénaire. Cet ouvrage retrace une partie de notre histoire bien oubliée, parce que celle-ci dérange. Aux questions contemporaines, l’empirisme historique répond Notre Dame Guesclin puis Jehanne rajoute que la victoire ne vient que si les hommes bataillent, qu’ils se lèvent, alors et alors seulement : Notre jour viendra !

Bernanos, pèlerin de l’absolu :

Découvrez le dernier livre de Frédéric Poretti (Winkler) sur Bernanos :

Georges Bernanos, toujours et peut être aujourd’hui plus qu’hier, reste d’une redoutable actualité pour qui comprend, voit et analyse notre quotidien qu’une pente semble diriger vers le néant d’un nouvel ordre mondial, celui des numéros et des robots. Bernanos est un « chevalier », de ceux qui ne renoncent jamais et qui égrènent de leur présence, notre histoire, à la fois révolté mais fidèle aux promesses du baptême de notre France. Avec ceux qui arrivent à décrypter les pensées d’Orwell, d’Huxley jusqu’à Tolkien, nous voyons avec Bernanos, une ligne d’avertissements dans la défense de cette dentelle du rempart civilisationnelle qui, comme une peau de chagrin, est menacée par un « prêt à penser » totalitaire. Il nous reste le panache pour reprendre le flambeau de la résistance, comme nos grands Anciens pour l’éternité intemporelle de nos libertés.

Notre jour viendra !

Gloire et honneur aux soldats français de 1914-1918 :

À l’aube de la Grande Guerre, l’Armée avait à sa tête bon nombre d’officiers ayant acquis leur grade non par mérite, mais seulement pour leur adhésion à la république. À l’instar de ce qui avait été opéré avec les armées révolutionnaires de la 1ère république, et avec des conséquences qui vont s’avérer être tout aussi désastreuses lors des premiers mois du conflit.

Dans les écoles de la république, les futurs sacrifiés à la déesse « Marianne » sont préparés psychologiquement à devoir mourir pour la patrie révolutionnaire.

« La Gaule n’était donc pas une patrie ; car une patrie, c’est un pays dont tous les enfants doivent mourir plutôt que de subir les lois de l’étranger. » Peut-on lire dans les manuels « d’histoire » d’Ernest Lavisse.

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L’obscurantisme des « Lumières » :

Texte issu du livre : LE LIVRE NOIR DES RÉPUBLIQUES EN FRANCE – 2 : disponible ICI

Au XVIIIè siècle, et plus précisément de 1715, année du décès de Louis XIV, à 1789, année de la révolution antifrançaise, naquit un mouvement philosophique et littéraire plus communément appelé les « Lumières ». Les philosophes et les savants qui composaient ce mouvement, se donnèrent pour objectif de remettre en cause les fondements religieux, politiques, économiques et sociaux de la société monarchique multiséculaire d’alors.

L’œuvre majeure qui fut le fer de lance de cette lutte antimonarchique et anticatholique fut la fameuse Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, éditée de 1751 à 1772. Cette Encyclopédie, qui se donnait pour objectif de réunir toutes les connaissances de l’époque afin de les rendre accessible au plus grand nombre, fut à l’origine bien accueillie par l’Eglise et la Monarchie. Mais les choses se sont de plus en plus compliquées lorsque l’Église et le pouvoir Royale comprirent que l’Encyclopédie était plus une arme politique rédigée contre eux, avec pour adversaires les philosophes.

Observons maintenant plus en détail le contenu soi-disant émancipateur de cette pensée issue de ces pseudo-philosophes…

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Hommage au roi Louis XVIII

Le 16 septembre 1824, il y a deux cents ans, s’éteignait le roi Louis XVIII.
Rendons hommage à ce roi qui sut mettre un terme à la période des guerres révolutionnaires et impériales, et rétablir la paix civile et la concorde nationale, tout en rappelant aux puissances étrangères que la France n’était pas à vendre et qu’elle restait la France, quoi qu’il en soit !


De plus, c’est le roi Louis XVIII qui rétablit le repos du dimanche (dès 1814) que la Révolution avait supprimé au grand dam des travailleurs urbains. Nous lui devons aussi, à sa demande, la création du livret d’épargne en 1818, aujourd’hui livret A…

La République des coupeurs de tête…

L’histoire est cruelle, et elle peut être sanglante, voire sanguinaire : la récente cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris (et non de France) nous l’a rappelé, en particulier à travers le tableau de la tête tranchée et sanguinolente de la reine Marie-Antoinette des fenêtres de la Conciergerie, qui fut sa dernière demeure de femme vivante. Doit-on, du coup, s’offusquer de cette représentation morbide, peu appropriée à l’esprit des Jeux Olympiques qui se veut pacifique et convivial ? Oui, si l’on considère que cette cérémonie rituelle n’a pas pour vocation de choquer mais de rassembler, au-delà des idées politiques ou des positions historiques ; non, si l’on revendique une histoire clivante et exclusive de la République, sans doute. C’est visiblement cette deuxième optique que les organisateurs ont choisie, voulant vanter une République disruptive et « audacieuse » : savaient-ils que, par ce choix, ils engageaient la République elle-même, en la rattachant à ce baptême de sang que fut la Révolution française, particulièrement à partir de sa phase républicaine des années 1792-1799 ? M. Mélenchon, que l’on peut difficilement accuser de sympathies contre-révolutionnaires, en a pourtant été gêné, saisissant sans doute que l’image, en fin de compte, pouvait être dévastatrice pour la République elle-même, y compris à l’étranger…


80 ans de domination américaine…

En cette année 2024, l’oligarchie républicaine s’apprête à célébrer les 80 ans du débarquement allié en Normandie. Célébration qui est avant tout celle de la défaite de la France en 1940, mais également celle de la domination américaine dans les affaires de l’Europe ! Rien de tel pour affermir sa soumission devant le maître américain, qui aime à rappeler à quel point nous avons été médiocre lors de la bataille de France.

Ainsi, voici un petit rappel du vrai visage de notre cher « allié » américain pour ce qui est de ses relations avec la France ! :

« Les États-Unis d’Amérique forment un pays qui est passé directement de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation. »

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Le machinisme ou le règne de l’inhumanité ! :

Nous avons souvent cité l’écrivain Georges Bernanos au sujet de son essai « La France contre les Robots », dans lequel il critiquait la société industrielle et matérialiste dénonçant un progrès technique n’incluant pas nécessairement le progrès humain, où l’un aura même tendance à détruire l’autre. Il écrivait entre autres : « Un monde gagné pour la technique est perdu pour la Liberté. »(Georges Bernanos – La France contre les robots (1946))

Au-delà de l’analyse très juste de Bernanos, dont nous vous invitons à lire l’essai, observons ce qu’il en est en ce début du XXIè siècle pour ce qui est du règne du machinisme…

En 1984, année très Orwellienne, sortit un film hollywoodien qui deviendra culte par la suite : Terminator. Réalisé par James Cameron, avec comme acteur principal, Arnold Schwarzenegger. Ce film raconte l’histoire d’un futur qui opposera l’homme à des machines mues par une intelligence artificielle nommée Skynet. Même si l’histoire se déroule majoritairement en 1984, il n’en demeure pas moins que ce qui s’avérait n’être encore qu’une fiction à cette époque, commence à prendre forme à ce jour…

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