Nos activités

Dernier adieu à Guy Steinbach

plaque bleu rouge vertical2C’est le mardi 12 novembre 2013 à 10h:00, que fut célébrée la messe de funérailles en l’église Saint-Germain du Chesnay, aux portes de la ville royale de Versailles, par le révérend père Jean-Paul Argouarc’h de la Sainte Croix de Royaumont. Moment empreint d’une grande émotion devant les drapeaux des anciens combattants de 40, officiers et généraux, et une assistance nombreuse et recueillie, celle des membres de la famille mais aussi de tous les amis d’une longue vie passée au service de la France. Remercions Vincent de C. qui organisa cette journée d’adieu en soutien à la famille. Selon la volonté de cette dernière, Frédéric Winkler, fut placé avec le fanion historique des Camelots du Roi près du cercueil pendant que de l’autre côté un jeune scout tenait l’immense drapeau de Royaumont. Les Camelots et Volontaires du GAR, qui doivent tant à celui qui fut de tous les combats du Groupe ces dernières années, étaient disposés eux aussi de chaque côté avec leurs fanions, dont celui de l’association Marius Plateau, organisation des Anciens combattants d’Action française et du souvenir des Camelots du Roi.

Lors de la messe, l’officiant rappela les engagements forts de Guy Steinbach, sa jeunesse scoute et son militantisme monarchiste des années 30 aux côtés de Pierre Juhel, sa participation aux combats de la campagne de France de mai-juin 1940 dans les chars, son retour en 1944 dans une unité américaine (Général Patton) pour la libération du territoire national, puis ses activités professionnelles et sa fidélité de toujours à ses convictions catholiques et royales. A la sortie, dans la fraîcheur de l’automne, les anciens combattants dont les drapeaux saluaient le cercueil, entonnèrent la Marseillaise suivie d’une vibrante Royale, ce chant traditionnel de l’espérance monarchique, reprise par l’assistance très émue. Nous avons ensuite suivi Guy jusqu’au lieu de son repos éternel et lui avons rendu un dernier hommage. A la demande du père Argouarc’h, chaque drapeau présent salua la tombe.

M. Winkler rappela à ceux qui étaient venus jusqu’au cimetière, les dernières années de combat de Guy. Ces années où, juste après la création du Groupe d’Action Royaliste, il s’investit avec une joie et un entrain rappelant celles où il remettait sur pied des sections royalistes à Tours comme à Dijon… Ses derniers engagements sont essentiels, car c’était hier, et les jeunes du GAR qu’il a tant soutenu avec sa bonne humeur naturelle, s’en souviendront à jamais : ces échanges et ses rires, dans une ambiance de travail pour le Roi, un engagement qu’il nous appartient de poursuivre, en nous inspirant de son exemple. Un insigne Camelot fut ensuite déposé sur le cercueil, rappelant le flambeau de cette fidélité militante transmis par Guy, et le drapeau des Camelots et Volontaires du Roi fut posé dans la tombe, en signe d’hommage et de remerciement à celui qui parraina véritablement notre Groupe dès ses débuts. Le GAR, dont tu fus avec Maître Murat un des pères, cher Guy, t’a salué en buvant, en souvenir de tes origines, un whisky d’Ecosse, comme tu le désirais et le faisais à chacune de nos rencontres…

Joseph Durandal et Jean Philippe Chauvin

Seigneur, endormez-moi dans votre paix certaine.
Entre les bras de l’Espérance et de l’Amour.
Ce vieux cœur de soldat n’a pas connu la haine.
Et pour vos seuls vrais biens a battu sans retour.
(La Balance Intérieure (1952), Prière de la fin, Charles Maurras)

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Les Royalistes contre les délocalisations

Samedi 13 octobre dans la matinée, quelques militants du GAR se sont donnés rendez-vous en plein coeur de Paris afin de protester contre la politique des délocalisations. Le temps donnait une ambiance allant dans le sens des victimes des délocalisations. Plusieurs centaines de tracts furent distribués, et parfois de vives discussions avec les plus curieux voulant en savoir plus sur qui sont les royalistes aujourd’hui ainsi que nos propositions face à cette crise. Jean-Philippe Chauvin s’exprima devant la caméra de SACR TV et fit un exposé aussi bien sur la situation actuelle des délocalisations que sur les solutions royalistes.

Voici le texte contenu dans les tracts que
nous avons distribué :

Face à la crise, agir et réagir !

PSA, à Aulnay-sous-bois et à Rennes-La-Janais ; Sanofi à Toulouse ; Arcelor-Mittal à Florange ; et des centaines d’autres entreprises et de lieux, d’usines et de laboratoires, viennent rejoindre la longue liste des plans de licenciements, baptisés improprement « plans sociaux » !

Ainsi, quelques mois après l’élection de M. Hollande à la présidence de la République, celui-ci s’avère incapable de faire face à la crise qui ne cesse de s’aggraver et touche la France entière et des millions de Français : le chômage augmente de plus en plus rapidement, dépassant les 3 millions et faisant chaque jour plus d’un millier de nouvelles victimes ; les grandes multinationales ferment leurs usines parce que les ouvriers français leur coûtent trop cher ; les délocalisations continuent, frappant aussi bien la fabrication que la recherche et développement…

Impuissant, le gouvernement se contente de protester mollement : le ministre de l’économie M. Moscovici est muet tandis que M. Ayrault se contente de soupirer, et M. Montebourg apparaît bien peu soutenu dans son combat de « redressement productif » par son président !

La République française, à bout de souffle et à court d’arguments, se réfugie dans les bras de l’Union européenne et en accepte tous les diktats, comme le prouve la volonté de faire adopter le « traité Merkozy» au plus vite par le Parlement, ce même traité hier dénoncé par le même M. Hollande qui montre ainsi qu’il n’a guère de convictions solides… Or, aux dires de tous les économistes, ce traité va aggraver l’austérité et ligoter les Etats qui ne seront désormais plus maîtres de leur budget !

Alors, que faire ?

Les royalistes refusent la fatalité et dénoncent la lâcheté d’une République qui ne sait que taxer et créer de nouveaux impôts alors qu’il faudrait faire preuve de volonté et de courage à la tête de l’Etat ! Faut-il interdire les délocalisations ? Soyons clairs, dans notre monde globalisé et consumériste, une telle mesure n’aurait aucune efficacité et, même, provoquerait une réaction en chaîne qui affaiblirait encore plus notre pays en le marginalisant sur la scène économique internationale. Par contre, il est des solutions différentes et sans doute plus efficaces si elles sont soutenues par une véritable volonté politique de l’Etat, par un néocolbertisme industriel intelligent et actif sans être étatiste :
– d’abord, soutenir massivement la Recherche et la Formation pour pouvoir relever le défi des nouvelles donnes économiques et la concurrence des pays étrangers : la « matière grise » est sans doute la plus grande richesse de notre pays, et elle est encore trop négligée malgré les nombreuses qualités et capacités de nos instituts de recherche et de nos grandes écoles, entre autres ;
– ensuite, développer de nouvelles activités liées à la nécessaire politique d’Aménagement du territoire (par le biais, par exemple, du « télé-travail ») et envisager une relocalisation d’activités destinées à une production et consommation de proximité, dans le domaine agricole par exemple ;
– enfin, mettre en valeur ce qui peut attirer des investisseurs étrangers et qui ne peut être, par nature même, délocalisé, comme le patrimoine historique et touristique ; etc.
– Pour que la France ne devienne pas un désert industriel mais trouve de nouvelles forces dans les mutations actuelles dans le respect de son environnement, autant écologique qu’économique et historique, il faut un Etat digne de ce nom qui protège le travail en France et les travailleurs de ce pays : seule une Monarchie sociale, protectrice des entreprises et des particuliers, peut relever les défis d’un XXIe siècle déjà bien tourmenté.

Groupe d’Action Royaliste

https://soundcloud.com/user5994089/analyse-sur-la-crise-conomique

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Défilé Jeanne d’Arc 2012 – 600 ans

https://soundcloud.com/user5994089/discours-sur-jeanne-darc-et

A l’appel des Amis de Jeanne d’Arc, le Groupe d’Action Royaliste est venu fêter les 600 ans de Sainte Jeanne d’Arc à Paris.
Pour la troisième année consécutive c’est le son des cornemuses qui a précédé les nombreux étendards du G.A.R. sous l’oeil admiratif des anciens combattants restés sur place pour assister au défilé. Un de nos doyen, Jean Marie en tête, ancien déporté, tenait fièrement sa bannière Camelot pour son 80ème défilé de Jehanne (94 ans).
Un exemple pour les jeunes générations, alors qu’il marcha ainsi de la statue jusqu’à l’Opéra et revint à la statue avec tous, pour y déposer une gerbe de l’Association Marius Plateau et une seconde en « Souvenir des camelots du Roi  » (celle du GAR)…

Les militants du Groupe d’Action Royaliste ont su honorer avec fierté ce 600ème anniversaire de Jeanne d’Arc, et toujours dans la lignée de la Sainte Pucelle : nous combattrons, et Dieu donnera la victoire !

Pour que demain vive la France, aujourd’hui plus que jamais vive le Roi !

(suite…)

Hommage à Henri IV – 2012

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https://soundcloud.com/user5994089/tous-les-discours-de-lhommage

Les représentants du GAR, de Civitas, du CRAF et de l’AR étaient tous réunis en cette matinée de dimanche 25 mars 2012 pour le traditionnel hommage à Henri IV, devant la statue du Vert Galant à Paris. Les discours des divers intervenants vous sont proposés dans ce fichier.

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NON à la retraite à 67 ans

(Article paru dans l’Action Sociale Corporative n°15)

L’Allemagne veut l’imposer au nom de l’euro…

« L’allongement de l’âge de la retraite se généralise », titrait un article du « Figaro » il y a quelques jours. On pourrait ajouter qu’il se « précise » pour toute la zone euro, au regard des informations qui (discrètement, trop discrètement même…) filtrent des débats entre gouvernements européens et des cénacles et assemblées économiques et politiques allemands…

Ainsi Jean Quatremer, spécialiste de l’Union européenne pour « Libération », n’hésite-t-il pas à titrer sur son blogue, ironiquement sans doute : « Bientôt la retraite à 67 ans pour tous ! ». De larges extraits de son article daté du 28 janvier méritent d’être cités, surtout qu’il est l’un des rares à y consacrer quelques lignes, comme si le sujet était trop périlleux pour être évoqué plus largement dans la presse…

« Les Français n’ont pas aimé la retraite à 62 ans, ils vont détester la retraite à 67 ans. Mais ils n’y couperont pas. Ceux qui souhaitaient une harmonisation sociale européenne ne s’attendaient sans doute pas à ce qu’elle se fasse dans ce sens… Mais la crise est passée par là.

Ce recul de l’âge de la retraite va concerner non seulement les Français, mais l’ensemble des Européens afin d’alléger les contraintes pesant sur les budgets de l’Union. C’est le prix à payer pour la solidarité financière que la zone euro a été obligée d’instaurer sous les coups de boutoir des marchés inquiets des dérives des finances publiques (…). L’Allemagne, la plus réticente face à cette véritable révolution de la gouvernance de la zone euro, s’est résolue à payer pour venir en aide aux États les plus fragiles, mais à condition qu’ils restaurent leur compétitivité, ce qui passe par une harmonisation sociale (par le bas, faute de moyens) et fiscale (afin de supprimer la concurrence fiscale). Un document interne du gouvernement allemand révélé aujourd’hui par l’agence de presse Reuters prône l’instauration d’un « pacte » qui imposerait, outre l’obligation constitutionnelle de l’équilibre budgétaire, un recul de l’âge de la retraite. « Vous ne pouvez avoir une monnaie unique et des systèmes sociaux complètement divergents », a martelé tout à l’heure au forum de Davos, la chancelière allemande Angela Merkel. Paris est exactement sur la même longueur d’onde, parfaitement conscient qu’une politique monétaire unique ne peut plus survivre avec dix-sept politiques économiques et budgétaires. »

Ainsi l’euro, monnaie unique commune à 17 États de l’UE (mais aussi à quelques autres pays non-membres de l’Union), au lieu de protéger l’Europe comme les gouvernements et les européistes nous l’avaient promis au moment des débats sur le traité de Maëstricht, écrase un peu plus chaque jour les populations européennes : beau résultat !

Et, désormais, l’argument pour justifier les nouvelles contraintes qui pèsent sur les États et leurs contribuables est toujours le même, comme une litanie entêtante et rituelle : « il faut sauver l’euro ! ». Ainsi, comme pour préparer l’opinion française, M. Sarkozy a rappelé la semaine dernière que « jamais nous [Angela Merkel et lui-même] ne laisserons tomber l’euro. », ce qui laisse entendre que tout est envisageable au regard de l’objectif ultime, «sauver l’euro ! »… Et élever l’âge de la retraite est une possibilité, voire une obligation sociale si, nous dit-on, l’on veut la pérennité de « notre » monnaie unique et de « notre » Europe… Ah, décidément, que de sacrifices il faut consentir pour une monnaie unique qui semble ne profiter qu’à quelques uns !

Cela peut-il continuer ainsi longtemps ? Ce n’est ni souhaitable, ni même possible, et il faudra bien que les populations le disent haut et fort, y compris au-delà du système partisan et politicien, au-delà même des élections !

Car peut-on accepter ce que nous préparent les eurocrates de Bruxelles, sous la pression des marchés et l’injonction de la Banque centrale européenne et de son âme damnée, Jean-Claude Trichet ?

Citons la suite de l’article : « Pour l’instant, seule l’Allemagne a instauré la retraite à 67 ans dans la zone euro et même dans l’Union. Mais l’Espagne, menacée par les marchés, a annoncé cette semaine un projet de loi afin de faire passer l’âge légal de 65 à 67 ans et le Danemark a mis le sujet à l’étude. La plupart des pays de la zone euro sont déjà à 65 ans (dont la Grèce qui a dû se plier à l’injonction de l’Union et du FMI), à l’exception de Malte, de la Slovaquie, de la Lettonie, de la Slovénie et, bien sûr, de la France. Autant dire qu’après 2012, l’Hexagone n’aura guère d’autre choix que de suivre ce mouvement, comme on le reconnaît à l’Élysée. ». D’ailleurs, l’Allemagne demande que la décision soit prise ou au moins discutée avant le prochain Conseil européen de mars…

Alors, non, mille fois non ! Cette élévation de l’âge légal de départ à la retraite à 67 ans ne doit pas passer, avant ou après 2012, avec ou sans l’euro ! Car il est fort injuste de demander toujours des efforts à ceux qui travaillent, tandis que les spéculateurs continuent leurs manipulations et que les grands « décideurs » industriels et financiers engrangent des profits toujours plus exorbitants au mépris de toute considération sociale.

N’attendons pas que l’Union européenne, au nom de « l’Europe » et de la sauvegarde de cette monnaie pourtant si peu protectrice des économies des pays d’Europe, nous impose cette nouvelle contrainte ! C’est dès maintenant qu’il faut réagir, et fortement !

Il y a quelques semaines, le Groupe d’Action Royaliste publiait sur son site un article pour avertir nos concitoyens du mauvais coup qui se préparait dans les couloirs du gouvernement allemand d’Angela Merkel : au nom de la sauvegarde de l’euro, l’Allemagne réclamait une «harmonisation européenne » sur la question des retraites, harmonisation qui doit se traduire par l’élévation de l’âge légal de départ à la retraite à… 67 ans ! Une information passée inaperçue en France, faute d’avoir été développée dans les médias français…

Le Groupe d’Action Royaliste a décidé, dès lors, de réagir et de dénoncer ce chantage antisocial qui trouve un écho pourtant favorable dans les instances économiques et politiciennes de l’Union européenne.

Alors que les syndicats sont muets sur ce sujet ; que les partis évitent tout autant d’en parler, y compris ceux de l’opposition à l’actuel président de la République, sans doute pour ne pas écorner un peu plus le « rêve européen » (sic !), les Royalistes, eux, réagissent et descendent dans la rue, tracts et affiches en main pour protester contre cette mesure antisociale que l’Union européenne, à la suite de l’Allemagne, veut mettre en place pour toute la zone euro, y compris en France, sans doute après l’élection présidentielle de 2012 : ils sont, à ce jour, les seuls à l’avoir fait !

Samedi 5 février 2011, des militants du Groupe d’Action Royaliste ont, durant près d’une heure, distribué des centaines de tracts contre la retraite à 67 ans, dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés, à Paris.

Cette distribution n’est que la première action de rue sur ce thème qu’organise le Groupe d’Action Royaliste : ce n’est pas la dernière !
Dès maintenant, face aux menaces de régression sociale et contre « l’Europe punitive », il faut réagir, fortement !

Jean-Philippe CHAUVIN

Quand l’Education nationale lutte contre notre histoire

2 septembre 2010, le Groupe d’Action Royaliste et les Jeunes Royalistes ont été heureux et honorés de remettre à monsieur Luc Chatel, ministre de l’Education Nationale « Histoire de France » de Jacques Bainville !
En effet, en ce jour d’une rentrée scolaire marquée par le retrait des programmes d’histoire de grandes figures comme Louis XIV et Napoléon Ier ; la réduction des heures consacrées à notre Histoire dans les emplois du temps, en cette République où les représentants de l’Etat ne semblent plus savoir ce qu’est la Nation française (à force de n’être fascinés que par le modèle anglo-saxon !) (à force de l’avoir trop détruite sans doute…), quoi de mieux que de rappeler au ministre chargé de veiller à l’éducation de nos jeunes, futurs citoyens, et futurs représentants de l’élite de la France, que :
Non, la France n’a pas toujours été cette République incapable de réussite,
Non, la France n’a pas toujours été cette République incapable de mener à bien un projet, politique comme géopolitique,
Non, la France n’a pas toujours été la proie des partis avides de carrières et de pouvoir,
Oui, la France a déjà été le modèle culturel que toutes les nations voulaient copier qui a rayonné sur l’Europe et sur le monde, et c’était sous la Monarchie !
Oui, la France a déjà été un modèle politique admiré, voire envié, et c’était sous la Monarchie !
Oui, la France a une grande histoire, glorieuse et parfois douloureuse, et dont elle peut légitimement être fière !
Que l’on essaie d’ouvrir les jeunes générations à la connaissance d’autres civilisations n’a rien de scandaleux en soit, sauf lorsque cela conduit à sacrifier notre propre Histoire, sauf lorsque cela conduit à gommer notre passé et notre héritage et à rendre les Français de demain ignorants de ce qu’ils sont, ignorants de leur propre passé.
Monsieur le ministre, ce n’est pas en cachant les grandeurs passées de notre pays que vous camouflerez la médiocrité actuelle et à venir de votre régime égoïste et individualiste, de votre République juste préoccupée de la prochaine présidentielle !

Pour que vive la France héritière d’hier et fondatrice de demain, vive le Roi !