Les lois récentes antisociales, antifamiliales et la répression policière que la République a toujours su employer à l’encontre des catholiques depuis la Révolution devraient faire réfléchir les 80% de chrétiens vivant en France. Il est temps pour les catholiques de comprendre et d’ouvrir les yeux sur le caractère intrinsèquement anticatholique de la république… Bref de voir, que depuis la destruction de la Monarchie, il ne s’est pas passé un instant sans que la République ne détruise le catholicisme en France. Il est temps de comprendre que pour un chrétien, la survie de la foi, comme de la famille et des valeurs de la civilisation, passe par le renversement de ce système antisocial, dont la religion nommée « laïcisme » est l’arme de guerre. Aujourd’hui, cela va plus loin car les récentes lois réclamées par des lobbies faisant suite aux lois qui, depuis des années détruisent la famille, déshumanisent la société pour le confort de quelques-uns et la satisfaction d’un pouvoir décadent se vautrant dans la luxure. Tout cela, sans tenir aucun compte des besoins que la nature impose aux plus petits et plus faibles des siens : les enfants. Au-delà du catholicisme et nombreux sont ceux qui l’on comprit dans les autres religions, comme chez les non-croyants, c’est la destruction des valeurs, un antihumanisme qui se met en place. Un vaste programme de dénaturalisation de la société est en marche avec sur le terrain économique les délocalisations et les lois antisociales et sur le domaine de la vie par les lois antifamiliales et la banalisation des naissances en vendant les ventres des femmes… Il n’y a pas d’entente possible entre chrétien et république en France. Seule la bêtise maintient certains dans une utopique concertation, celle des « idiots utiles » cher à Lénine.
La Révolution de 1789, faisant suite au travail de sape entrepris depuis la Renaissance par des écrivains, des penseurs et des «philosophes » (Lumières ?), afin de détruire le catholicisme, rempart contre l’éclosion du capitalisme, détruisit les protections sociales ouvrières (corporations) afin d’asseoir le pouvoir de l’argent et de l’usure. Les « sociétés de pensée » comprirent que pour permettre à l’argent de dominer, il fallait à la différence de l’Angleterre, supprimer le Roi, garant des libertés populaires et protecteur social de son peuple. (En Angleterre le roi se lia aux Lords contre le peuple !) C’est cela que le peuple ignore, la Révolution fut faite pour asseoir le pouvoir des puissances d’argent, bref d’un « ordre » antisocial, au nom d’une idéologie prônant de fausses valeurs (liberté, égalité…) afin d’entraîner le peuple vers une nouvelle forme d’esclavage que le XIXe siècle accouchera…
Pour le règne du capitalisme en France, les conditions essentielles étaient de détruire le catholicisme et cela continu aujourd’hui, comme de renverser la Monarchie n’acceptant pas la soumission de son peuple à une idéologie antihumaine mercantile. Bref pour un catholique, le seul régime humaniste reste celui de la monarchie. Comme le disait Thierry Maulnier, la Monarchie est peut-être la dernière chance de la liberté. Il était visionnaire car aujourd’hui, quelques dizaines d’années après, nous savons que le roi est surement la dernière chance de la civilisation !
Frédéric Winkler






« C’est l’histoire d’un lieu nommé « Le pays des Souris ». Le pays des Souris était un lieu où vivaient et jouaient tous les petits rats, où ils naissaient et mouraient. Ils vivaient de la même manière que vous et moi. Ils avaient même un parlement et tous les 4 ans ils avaient une élection. Ils se rendaient aux urnes et votaient. Certains se faisaient même conduire en chariot, un avantage qu’ils n’obtenaient que tous les 4 ans, pour être exact. Comme vous et moi. Et à chaque élection, tous les petits rats prirent l’habitude d’aller aux urnes et d’élire un gouvernement. Un gouvernement constitué d’énormes et gros chats noirs. Maintenant, si vous pensez que c’est étrange que les souris élisent un gouvernement de chats, observez l’histoire du Canada durant les 90 dernières années et vous verrez qu’eux ne sont pas plus stupides que nous. Je n’ai rien contre les chats noirs. Ils étaient de bons compagnons. Ils conduisaient leur gouvernement avec dignité. Ils promulguaient de bonnes lois.
Mort à la gueuse ! A bas la gueuse ! Sus à la gueuse ! Voilà les slogans que l’ont pouvait entendre jadis de la bouche des royalistes à l’époque des débuts du combat contre-révolutionnaire. Aujourd’hui encore, il n’est pas rare d’entendre ou de lire cette expression de « Gueuse » pour définir la république de la part de nombreux royalistes voulant rester fidèle à ce qui leur semble être encore une injure. Pourtant avec du recul, et en faisant le bilan de ces deux siècles de république, il est très difficile de voir à travers marianne, l’image d’une gueuse proprement dite ! Sachant d’autant plus, que dans l’esprit des gens, l’expression « gueuse » aurait plus tendance à définir la France pauvre en général. Ceux qui parlent de la « France d’en bas » si chère à Raffarin, sont forcément au dessus du peuple, bref une sorte d’élite : la fameuse France dite d’en haut !