Vous connaissez sans doute, ou du moins avez-vous déjà entendu parler du film « Total recall » réalisé par Paul Verhoeven en 1990, avec comme vedettes principales Arnold Schwarzenegger et Sharon Stone ? Si ce n’est pas le cas, nous vous invitons à le découvrir. Dans ce film il est question d’un futur ou Mars est colonisée et exploitée pour le turbinium enfoui dans son sous-sol. La planète est tyranniquement administrée par un homme d’affaire, qui contrôle les mines et l’approvisionnement en oxygène. Il s’enrichit en fournissant cet oxygène aux colons alors que dans les sous-sols de Mars se trouve une technologie millénaire pouvant à elle seule redonner de l’oxygène gratuitement à toute la planète entière. L’homme d’affaire le sait bien, mais l’argent à plus de valeur pour lui, alors il condamne l’accès à cette technologie. La suite à vous de la découvrir ou la redécouvrir…
Pourquoi citons-nous ce film ? Tout simplement parce qu’à ce jour, notre situation se présente un peu à la manière des colons sur mars du film de Verhoeven. A la différence que le problème n’est pas l’oxygène, que nous pouvons respirer encore gratuitement sur toute notre planète, mais plutôt l’énergie électrique. Savez-vous par exemple qu’en 1899, alors que la technologie automobile ainsi que la maîtrise de l’électricité n’en étaient qu’à leurs balbutiements, ce fut cette année-là qu’une voiture électrique, la « Jamais contente », en forme de torpille sur roues, établi le record de vitesse ? La vitesse atteinte fut de 105,98 km/h, le 29 avril 1899 à Achères. C’était la toute première voiture à franchir les 100km/h, et elle était électrique ! Avec l’évolution logique des technologies au fil des années, on imagine parfaitement le genre de voitures électriques dont nous aurions pu bénéficier alors, si les constructeurs et les financiers avaient misé sur la motorisation électrique plutôt que le moteur à combustion interne. On aurait des voitures 100% électriques non polluantes et ayant les mêmes capacités que nos véhicules diesel ou à essence actuel. C’était sans compter le pétrole ! Il était plus facile de s’enrichir avec cette matière première indispensable pour les moteurs à combustion, plutôt que de se soucier d’écologie ou d’énergie propre, pour un avenir plus sain !
Mais le pire reste à venir… Nous allons maintenant vous parler du cas Nikola Tesla.
Nikola Tesla, est né le 10 juillet 1856 à Smiljan, Empire d’Autriche (aujourd’hui en Croatie) – et mort le 7 janvier 1943 à New York – États-Unis, d’origine serbe, émigré aux États-Unis, il était un inventeur et un ingénieur dans le domaine du développement de l’énergie électrique.
Il est souvent considéré comme l’un des plus grands scientifiques dans l’histoire de la technologie, pour avoir déposé plus de 700 brevets (qui sont pour la plupart attribués à Thomas Edison), traitant de nouvelles méthodes pour aborder la « conversion de l’énergie ». Tesla est donc reconnu comme l’un des ingénieurs les plus créatifs de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Pour sa part, il préférait plutôt se définir comme un découvreur.
Nikola Tesla a découvert la radio avant Edison, le courant alternatif, la lampe à pastille de carbone, les bases de la robotique, la commande à distance. Il a expérimenté un navire télécommandé, décrit l’avion à décollage et atterrissage vertical, la fusée, élaboré le concept du microscope électronique, détecté la force de résonance des vibrations harmoniques, le principe du radar, la radiodiffusion mondiale, imaginé et réalisé les premiers essais de la transmission d’énergie électrique sans fil, l’onde stationnaire…
C’est au cours de la conférence « Experiments with Alternating Currents of High Frequency » du 20 mai 1891 à l’université Columbia de New York que Tesla envisage pour la première fois le concept d’énergie libre : « Dans quelques générations nos machines seront animées grâce à une énergie disponible en tous points de l’univers.[…] [En effet,] dans l’espace, il existe une forme d’énergie. Est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, toutes nos recherches auront été vaines. Si elle est cinétique – et nous savons qu’elle l’est –, ce n’est qu’une question de temps, et l’humanité mettra en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature. »
Dans le magasine NEXUS N°37 mars-avril 2005, Igor Spajic raconta cette curieuse expérience de Tesla :
« Au cours de l’été de 1931, Tesla invita son neveu Savo à Buffalo, dans l’état de New York, afin de lui faire découvrir et essayer un nouveau type d’automobile que Tesla avait mis au point sur ses propres deniers. Buffalo est une bourgade proche des Chutes du Niagara, où la centrale hydroélectrique AC conçue par Tesla était entrée en service en 1895 ; événement qui avait marqué le sommet de sa renommée dans les milieux scientifiques académiques. Westinghouse Electric et Pierce Arrow Motor Car Company avaient conjointement mis au point cette voiture électrique expérimentale sous la conduite du Dr. Tesla. (Au début du 20e siècle, George Westinghouse avait acheté les brevets de courant AC de Tesla).
[…] Ainsi une Pierce Arrow Eight de 1931 fut choisie pour faire des essais sur le terrain de l’usine à Buffalo. Son moteur à combustion interne avait été déposé, ne laissant que l’embrayage, la boite à vitesses et la transmission aux roues arrière. La batterie standard de 12 volts fut conservée et un moteur électrique de 80 CV fut posé.
[…] Dans une valise, Tesla avait amené 12 tubes à vide que Savo décrivit comme « d’une étrange facture », bien qu’au moins trois d’entre eux aient depuis été identifiés comme étant des tubes à faisceau correcteurs 70L7-GT. Ils étaient fichés dans un dispositif contenu dans une boite mesurant 61 x 30,5 x 15 cm. Cela n’était pas plus grand qu’un poste radio à ondes courtes et contenait les 12 tubes à vide, des résistances et du câblage. Deux barres de 0,6 cm de diamètre et 7,6 cm de long devaient de toute évidence être connectées aux câbles reliés au moteur.
Revenant à la voiture, ils placèrent la boite dans un logement prévu à cet effet, sous le tableau de bord, côté passager. Tesla connecta les deux barres et observa un voltmètre.
« Nous avons de la puissance » annonça-t-il, montrant la clef de contact à son neveu. Le tableau de bord contenait d’autres voyants dont Tesla ne voulut pas expliquer la raison d’être.
Savo démarra le moteur à la demande de Tesla, qui affirma : « le moteur tourne », bien que Savo n’entendit rien. Cependant, le savant électricien étant assis à côté de lui, Savo enclencha une vitesse, appuya sur l’accélérateur et sortit la voiture du garage.
Longtemps ce jour-là, Savo conduisit cette voiture sans carburant, parcourant 80 km à travers Buffalo, puis dans la campagne. La Pierce Arrow avait un tachymètre calibré jusqu’à 192 km/h ; elle fut poussée jusqu’à 145 km/h, toujours dans un égal silence.
Comme ils parcouraient la campagne, le Dr. Tesla gagna confiance en son invention et commença à l’expliquer à son neveu. Le système était capable de fournir indéfiniment de l’énergie à la voiture, mais bien plus que cela : il était susceptible de satisfaire, en quantité excédentaire, les besoins de toute une maison. Jusque-là réticent à en expliquer le principe, le Dr. Tesla admit cependant que son dispositif n’était autre qu’un récepteur d’une « radiation mystérieuse qui venait de l’éther » et qui « se trouvait disponible en quantité illimitée » ; « l’humanité », ajouta-t-il « pourrait être reconnaissante de son existence ».
Pendant les huit jours suivants, Tesla et Savo essayèrent la Pierce Arrow en ville et en campagne, à toutes les allures, depuis une vitesse rampante jusqu’à 145 km/h. Les performances étaient équivalentes à celles de n’importe quelle voiture de l’époque, à plusieurs cylindres, y compris la Pierce Arrow Height de six litres de cylindrée développant 125 CV. Tesla prédit à Savo que son récepteur d’énergie serait bientôt utilisé pour propulser des trains, des navires et des avions, autant que des automobiles. »
C’est à Wardencliff que Tesla démontra qu’il était possible de rendre disponible l’énergie du vide à grande distance de la source perturbatrice de celui-ci qui ouvre une brèche dans celui-ci.
Malheureusement la réponse de son principal actionnaire face à une telle découverte aurait été celle-ci : « Mais, Mr Tesla où allons-nous placer le compteur ? ». L’actionnaire en question était un certain JP Morgan, lequel lui a rapidement coupé tout crédit !
Nicola Tesla, si prolixe au début de sa carrière termina son existence, tous frais payés, mais retranché au New-York Hôtel, ne publiant plus rien.
Lorsqu’il mourut en 1943, à l’âge de 86 ans, ses inventions et ses théories ont été pour la plupart oubliées et examinées avec méfiance. Quelques jours après son décès, le F.B.I. se chargea de « nettoyer » son appartement. Son intention de donner de l’énergie libre à tout le monde a été considérée comme non recevable. Plus tard, bien des chercheurs dans le domaine de l’énergie, admirant Tesla, se sont heurtés aux mêmes problèmes comme la pénurie financière et l’opposition dominante qui a conduit à son écroulement.
Imaginons un peu ce qu’aurait pu être le monde actuel si l’énergie libre avait été utilisée comme Tesla l’aurait voulu. On aurait eu un vingtième siècle bien plus propre que celui que l’on nous a imposé. Jamais nous n’aurions connu la pollution liée au dégagement des pots d’échappement. Nous n’aurions pas connu non plus ces guerres incessantes pour le pétrole, ni connu ces désastreuses marées noires issues des naufrages des pétroliers. Nous n’aurions pas connu non plus les désastres de Tchernobyl et Fukushima dont les conséquences dureront encore pour des siècles. Les océans, les rivières et les forêts ne seraient plus menacés d’être à nouveau contaminés par des déchets radioactifs, des pollutions de pétrole ou des pluies acides. Jamais nous n’aurions connu également tous ces pylônes à hautes tensions qui cicatrisent nos paysages en rejetant leur pollution électromagnétique.
Le physicien et ancien astronaute Brian O’Leary dans sa préface à Energie Libre et technologies de Jeane manning précise : « Passer à l’énergie libre, propre, permettrait de régler presque entièrement les problèmes de la pollution de l’air, du réchauffement général dû aux émissions de dioxyde de carbone, de la chaleur perdue, des feux écocides de Saddam Hussein, des ciels noirs, des marées noires, des pluies acides, du dioxyde d’azote, de l’anhydride sulfureux, des émissions d’hydrocarbures et d’ozone, des installations hideuses des puits de pétrole et des raffineries, des pétroliers géants, des stations-service, des centrales électriques, des câbles de transmission, et de tout le reste.
L’utilisation de l’énergie libre apaiserait aussi notre soif de pétrole et de gaz naturel. Cette soif épuise les précieuses richesses de la terre à un rythme alarmant. »
C’est bel et bien d’une révolution énergétique dont nous avons besoin. Actuellement les énergies domestiques sont à la fois obsolètes et limitées mais aussi centralisées. Entre les mains des grands groupes pétroliers pour ce qui est du pétrole, et entre les mains des lobbies du nucléaire pour ce qui est de l’énergie électrique, surtout en ce qui concerne la France. Nous avons souvent mit en évidence les capacités de décentralisation de la Monarchie, et c’est d’ailleurs l’une des raisons qui nous pousse à défendre et proposer ce système de gouvernement. Si nous défendons et proposons une décentralisation à l’échelle des régions, des communes, du monde du travail, mais aussi des familles, il en va de même en ce qui concerne les énergies domestiques. Tôt ou tard cette décentralisation de l’énergie s’imposera. Il en va de notre avenir, et surtout de celui de notre planète.
C’est ce que l’essayiste et économiste américain Jeremy Rifkin mit en évidence en ce qui concerne le nucléaire :
« L’énergie nucléaire est intéressante car elle est le reflet d’une pensée du 20è siècle centralisée. Je vais faire une analogie, et dire pourquoi c’est vieux et dépassé et n’aura aucun rôle même pas en France dans 34 ans. Ce n’est pas comme si il demain il n’y avait plus d’énergie nucléaire. Mais vous n’allez plus construire de centrales nucléaires et voilà pourquoi : l’industrie musicale n’a pas compris le partage des fichiers musicaux. Des milliers d’enfants ont créé des logiciels de façon latérale afin de partager la musique. Les maisons de disques ont rigolé, puis se sont inquiétées, puis ont fait des démarches judiciaires pour légiférer ce phénomène et en 5 ans tout s’est effondré. Les journaux n’ont pas compris la blogosphère. Des millions de personnes créaient leurs propres informations et l’on partagé de façon latérale. Et maintenant les journaux se retirent des affaires ou créent des blogs. L’encyclopaedia Britannica se moquait de Wikipédia. Des milliers de personnes qui partageraient leur savoir ? Avec la même précision que l’encyclopédie Britannica ? Maintenant l’encyclopaedia Britannica est quasiment en train de faire faillite. Bill Gates n’avait pas compris Linux. Des milliers de personnes qui s’aident avec des codes des milliers de personnes qui s’entraident. Linux est un acteur mondial. Ce que je veux dire par là, c’est la même chose avec l’énergie. Quand des millions et des millions de millions de millions d’immeubles collectent leurs propres énergies, les stockent, les hydrogènent et les partagent avec les autres continents, le pouvoir latéral de millions et de millions de petits acteurs qui partagent cette énergie latéralement, cela écrase tout ce que vous pouviez faire avec le nucléaire. Tout comme des millions de personnes qui ont une bonne connaissance de la technologie qui se connectent sur de tout petits ordinateurs, l’énergie distribuée amoindrit ce que l’énergie centralisée peut faire.
Maintenant, ce que les jeunes devraient imaginer en France : c’est l’année 2050.
Quatre générations qui grandissent avec internet habilités à créer leurs propres informations et a les partagées dans des lieux ouverts et communs. Vous croyez vraiment qu’ils vont être entourées par des centrales nucléaires peu sûres, du 20ème siècle, centralisées, hiérarchisées et démodées ? C’est une blague ! Vous souriez, moi aussi. Les politiques doivent se rendre compte de ce que la nouvelle génération est en train de faire. »
Oui, nous devons cesser avec le nucléaire !
Combien aurons-nous de morts, par effet direct et indirect, sur plusieurs années, centaines d’années, milliers d’années, sur plusieurs générations d’êtres humains, animaux et végétaux, par les effets pervers d’une pollution incolore et inodore comme le nucléaire ?
Combien de cancers et de malformations dans les naissances faudra-t-il accepter pour le plus grand profit de lobbys financiers ?
Comment peut-on prétendre garder une énergie qui condamne des générations futures ?
Comment peut-on exploiter une énergie lorsque l’on n’en maîtrise pas ses effets, ni ses déchets ?
Au-delà de l’énergie libre de Tesla, regardons les autres possibilités techniques que nous pouvons développer à ce jour pour une énergie plus propre :
Le 13 juillet 2009, douze entreprises, en majorité allemandes, ont signé un protocole d’accord lançant un projet de 400 milliards d’euros pour construire des centrales solaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient afin d’alimenter l’Europe en énergie “propre”. Ce projet pharaonique, nommé “Desertec”, pourrait couvrir à terme 15% des besoins énergétiques de l’Europe et une grande partie de ceux des pays producteurs, selon ses promoteurs.
Selon le site anglais du concept Desertec, (www.desertec.org) la quantité d’énergie solaire que l’on pourrait tirer des déserts est colossale : “Tous les ans, chaque km2 de désert reçoit une énergie solaire équivalent à 1,5 million de barils de pétrole. La surface totale des déserts sur la planète entière fournirait plusieurs centaines de fois l’énergie utilisée actuellement dans le monde”.
En d’autres termes, “pour fournir l’électricité nécessaire à la Terre entière, il suffirait de couvrir de panneaux solaires moins de 1% de la surface des déserts du monde”.
Voilà qui fait réfléchir !
« Les énergies renouvelables sont inépuisables. Elles ne détruisent pas l’environnement. Elles sont disponibles partout. Leur utilisation facilite la solidarité avec les générations futures. Elles assurent l’avenir de l’humanité. » disait Hermann Scheer dans son discours d’acceptation du prix Nobel alternatif du 9 décembre 1999.
Parmi ces énergies, nous pouvons citer les éoliennes qui sont apparues et se sont répandues dans nos paysages, parfois sans discernement. Néanmoins, l’énergie issue du vent peut être intéressante à exploiter plus largement, même s’il faut envisager d’implanter des éoliennes de plus petite taille et fournissant une électricité plus abondante et de proximité, en particulier dans les zones rurales aujourd’hui éloignées des grands centres urbains. Quant à l’énergie solaire dont le développement se heurte parfois à un coût relativement élevé pour la fabrication et l’installation des panneaux photovoltaïques, elle est facilement exploitable dans les nombreuses zones de France à fort ensoleillement, et peut servir, en particulier le solaire thermique, pour l’habitat collectif ou individuel, soit pour le chauffage des maisons ou appartements, soit pour la production d’une électricité locale.
D’autres énergies renouvelables peuvent être évoquées : la géothermie ; celles issues de la biomasse, facile d’exploitation et souvent peu coûteuse. L’hydraulique, cette fameuse « houille blanche » qui a tant aidé à la « révolution électrique » de la fin du XIXe siècle en France, et, au-delà des grands barrages hydroélectriques, la petite hydraulique, trop négligée en France, et qui a pourtant de belles perspectives devant elle, pourvu que l’on veuille bien les développer ; l’énergie des déchets par les incinérateurs d’ordures ménagères, qui permet aujourd’hui de chauffer de nombreux logements collectifs ; le biogaz ; etc. Cette liste n’est pas exhaustive, bien sûr !
Notre avenir énergétique est aussi important à étudier, préparer et proposer que le futur système de gouvernement qui supplantera la défaillante cinquième république en France. Les énergies de demain devront être durables et transmissibles aux générations futures sans qu’il y ait de mauvaises surprises à long terme. Nous avons conscience du cadeau empoisonné que sont les déchets nucléaires dont pâtiront des milliers de générations futures.
La Tour du Pin disait que nous étions les usufruitiers de la terre que nous devions transmettre intacte voir enrichie de notre labeur…
Ce concept traditionnel et social du père de la doctrine corporative moderne représente bien à l’heure de l’écologie, le principe actuel des idées royalistes…
L’écologie fait partie de la doctrine traditionnelle qui n’est pas conservatrice car elle est empirique. Elle ne garde que le positif en vue du progrès…
C’est la différence avec le conservatisme qui comme son nom l’indique stagne et le progressisme qui lui, avance à outrance en ne gardant rien de l’expérience positive des anciens. L’écologie c’est transmettre comme finalement la Monarchie. C’est le respect de l’environnement dans l’ordre naturel. La monarchie est un système héréditaire respectant le principe de la famille et qu’y a-t-il de plus naturel ? Jamais aucun système politique n’a plus respecté l’environnement dans ses constructions et son urbanisme se mariant harmonieusement avec son entourage.
Les actions pour demain :
– Commencer un démantèlement des installations nucléaires, voir étudier le moyen de rendre ces structures inoffensives et agréables à la vue (pollution visuelle).
– Développer des énergies ne mettant pas en péril la civilisation et l’avenir de notre peuple, à commencer par rattraper notre retard sur l’énergie libre de Tesla et la voiture électrique.
– Un rapport de l’Agence Internationale de l’Energie daté de 2004, montre la répartition historique, année par année, entre 1985 et 2002 des dépenses pour le développement des énergies en France. On constate que le nucléaire a bénéficié de 85 à 90% des ressources publiques. Et les énergies renouvelables ? Moins de 2% ! Il faut inverser la tendance !
– Penser à une politique basé sur l’indépendance énergétique (eau, soleil, vent, thermique, biogaz, énergie libre…) tout en ne sacrifiant pas nos paysages (éoliennes)
– Reprendre son pouvoir citoyen de décision, comment accepter de se laisser imposer une source d’énergie polluante et dangereuse près de soi, sans pouvoir de décision démocratique local ? Nous devons plus que jamais reprendre aux institutions de l’Etat, ce qu’il a usurpé du pouvoir de décision qui nous incombait…
– Certes une prise de conscience citoyenne est nécessaire, la population est-t-elle prête à cela ? Le conformisme ambiant et l’abandon des responsabilités sont plus dans l’air ambiant.
– Il est clair qu’un tel apprentissage doit se faire de bonne heure par l’éducation, des mesures incitatives et une réelle volonté réformatrice. D’ailleurs il serait bon de l’appliquer à d’autres formes de gaspillages sans fins de notre société de consommation
– Il est inadmissible que notre argent finance des projets sans notre consentement étant donné les graves conséquences que cela entraîne pour notre santé et l’avenir de notre pays…
A nous de concourir à la future révolution énergétique !
Notre Jour Viendra !
PP Blancher
Frédéric Winkler et
Jean-Philippe Chauvin