De temps à autre, telle ou telle émission d’histoire retrouve des records d’audience. Il est préférable pour cela que l’image soit en couleurs : Apocalypse, la Deuxième Guerre mondiale en 2009. Ou le récit… » décomplexé »: le Napoléon selon Simonneau et Clavier de 2002
Cependant, en règle générale, les chaînes les plus puissantes ne programment que peu – France 2 – ou plus du tout d’histoire -TF1, M6. Si l’offre augmente, c’est sur des canaux au public moins important. Et si elle a été multipliée, c’est dans de moindres proportions que des programmes plus « fédérateurs »
C’est sûr, l’ogre médiatique préfère souvent d’autres propositions, cependant il faut bien le nourrir aussi d’histoire. Les producteurs indépendants qui sont devenus les véritables opérateurs des programmes proposent dorénavant une carte qui peut sembler inouïe. Qu’il est loin, le menu unique façon « Dossiers de l’écran » – le film puis le débat en plateau. Maintenant, nous avons des émissions dites d’histoire qui se passent des compétences des historiens, des émissions dites de fiction qui se font au plus près d’eux. Nous avons des « docu-fictions » et des « fictions du réel » etc…
L’histoire tourne en boucle sur nos écrans dans la plus joyeuse confusion des genres.