Pas de reconquête sans le Sacré Coeur :

« Le mal est religieux, la révolution est religieuse, le remède est religieux, nous ne guérirons que religieusement. » Ainsi s’exprimait le sociologue Antoine Blanc de Saint-Bonnet.

Si vous retirez à la France ses édifices religieux tels que les églises, les chapelles, les cathédrales, les croix et les calvaires dans les campagnes, ainsi que ses villages baptisés du nom d’un Saint ou d’une Sainte, ses expressions linguistiques empruntées à la Bible, ses universités, ses prêtres, son patrimoine artistique,… etc. Que reste-t-il ? Tout sauf la France !

Les différentes républiques qui se sont succédé ont systématiquement cherché à détruire ou à restreindre le pouvoir de l’Église catholique en France. En procédant de la sorte, la république a rendu les Français étrangers dans leur propre pays ! Par conséquent, si l’idéologie révolutionnaire identifie la religion catholique comme un obstacle à son oeuvre de destruction, ne devrions-nous pas considérer celle-ci comme une solution possible face aux défis contemporains auxquels nous sommes confrontés ?

Faire de la politique, s’engager dans le militantisme est certes une chose indispensable, cependant, si l’on reconnaît la religion comme étant le pilier essentiel de toute civilisation, ne devrions-nous pas également inclure le combat pour le règne et la gloire du Christ-Roi ?

La France ne se réduit pas à un territoire, une population et un passé historique, elle possède également une identité spirituelle caractéristique. Ne serait-ce pas le fait d’avoir négligé cette dimension religieuse qui explique nos échecs ou notre manque d’efficacité dans le combat contre-révolutionnaire ?
Politique d’abord ? Oui ! Mais, « en Nom Dieu ! »