Que penser à la vue de la vidéo « Robobees : la nouvelle campagne de Greenpeace imagine un monde sans abeilles » ?
Nous invitons sérieusement chacun à la réflexion, car il est probable que plusieurs interprétations soient possibles, comme toujours restons ouvert !
Ouvert, mais pas dupe, les plus gros pollueurs de la planète par leurs pesticides, OGM et produits chimiques, pour ne pas citer MONSANTO et BASF, ont la volonté plus ou moins cachée de rendre leur image sympathique. Bref, l’idée de substituer à moyen terme des abeilles « faibles » par des abeilles bioniques, n’est pas anodine.
C’est donc l’occasion de rappeler que MONSANTO n’en est pas à son coup d’essai, en s’étant déjà octroyé le droit de breveter le vivant, en rendant les agriculteurs dépendants de la multinationale, en vendant des espèces végétales stériles qui doivent être rachetées chaque année, et traitées uniquement avec des produits MONSANTO, en collectant des royalties sur la production des graines vendues qui demeurent la propriété MONSANTO durant tout leur cycle… Doit-on croire que les ambitions de l’industriel s’arrêteront à la survie des abeilles ?
Alors même que l’objectif de l’industriel est clairement d’organiser, de planifier et de capter l’ensemble des marchés du vivant en commençant par le végétal, comment croire que ses réelles intentions sont de protéger les abeilles qui contrarient de façon évidente, avec la pollinisation, son monopôle à distribuer des graines ?
Quel est le vrai but de l’industriel lorsqu’il rachète la startup israélienne BEEOLOGICS qui étudie et propose la vaccination des abeilles pour les rendre plus résistantes à certains virus ? MONSANTO tue les abeilles avec ses pesticides et OGM et propose de les sauver ensuite ?
Sachant que comme le dit Gilles Lartigot dans son livre EAT, reprenant les termes d’Anicet DESROCHER on donne aux abeilles : « des antibiotiques, des miticides, des acaricides, des fumigations, toute sorte de vapeurs d’acide pour être capable de maintenir le seuil d’infestation au plus bas. L’apiculteur se bat contre le stress qu’il procure à ses propres abeilles, il se bat aussi contre la mortalité associée à ce stress qui est beaucoup trop intense. L’abeille est de plus en plus fragilisée… » Sans parler du sucre donné en complément alimentaire parce que l’environnement est de plus en plus pauvre. La fertilité des abeilles est en baisse, mais pour l’homme aussi, selon certains scientifiques ! Le libre-échange nous a apporté des parasites qui détruisent nos abeilles : Varroa, Nosema, Ceranae mais qu’importe du moment que les financiers dorment tranquilles ! Ils savent que demain, ils délocaliseront les hommes, qu’ils auront au préalable transformés en numéro !
N’oublions pas que MONSANTO est cet industriel qui a participé au développement d’autant de substances létales ou controversées que sont l’agent orange au Vietnam, les bombes nucléaires de Nagasaki et Hiroshima, le PCB, les hormones de croissance, la saccharine, l’aspartame, etc.
N’oublions pas que MONSANTO est cet industriel qui a participé au développement d’autant de substances létales ou controversées que sont l’agent orange au Vietnam, les bombes nucléaires de Nagasaki et Hiroshima, le PCB, les hormones de croissance, la saccharine, l’aspartame, etc.
Comment cet industriel pourrait désormais se faire passer pour écologiste ou philanthrope ?
Sans faire de paranoïa, GOOGLE a déjà annoncé comme d’autres, travailler à « améliorer » l’humain, gommant la frontière entre le corps et l’objet communiquant, bref l’homme bionique de demain ? Alors pourquoi ne pas commencer par les abeilles, après tout, qui s’en souciera ! Bref ce spot désirant « prêcher le mal en vue de faire réfléchir au bien », nous avons le droit d’y croire également…
Dénonçons toute campagne hypocrite au possible soutenue par des groupes surpuissants responsables en grande partie de la disparition des abeilles, et qui se permettent de le faire en toute impunité ! Il faut se demander à quel point nous ne sommes pas face à un test d’opinion visant à évaluer le degré de docilité, et d’information de la population aux évolutions que nos bienveillants lobbies industriels nous préparent…
En guise de conclusion, restons vigilants à toute forme d’éradication d’espèces, Humaines en temps de guerre par les gaz de combat ou animales en temps de paix par chimie et pesticides. Que chacun comprenne bien que la vie humaine sera obligatoirement menacée à terme. Qu’il est inadmissible même sur le ton de la plaisanterie d’imaginer voir disparaître les abeilles, que dirions-nous si c’était un peuple à la place ? Les animaux ne comptent-ils pas ? Einstein disait qu’il ne nous resterait que 5 ans à vivre après la disparition des abeilles !
comme le dit Gilles Lartigot : « … les abeilles sont utilisées pour polliniser la nourriture dont l’humain va avoir besoin pour produire des denrées alimentaires. On serait capable de survivre sans les abeilles, mais on survivrait différemment, avec un système immunitaire affaiblit. On serait plus faible car il manquerait des couleurs dans nos assiettes. La couleur est souvent associée à la vitalité et à la vie…Si l’abeille va mal, c’est que l’environnement va mal. » Suivant le conseil de Konrad Lorenz « La plus grande et la plus précieuse liberté de l’homme s’identifie avec la loi morale qui est en lui »
Il est temps de comprendre les enjeux écologiques d’aujourd’hui et de demain, afin de ne pas déshériter l’avenir de nos enfants,
En guise de conclusion, restons vigilants à toute forme d’éradication d’espèces, Humaines en temps de guerre par les gaz de combat ou animales en temps de paix par chimie et pesticides. Que chacun comprenne bien que la vie humaine sera obligatoirement menacée à terme. Qu’il est inadmissible même sur le ton de la plaisanterie d’imaginer voir disparaître les abeilles, que dirions-nous si c’était un peuple à la place ? Les animaux ne comptent-ils pas ? Einstein disait qu’il ne nous resterait que 5 ans à vivre après la disparition des abeilles !
comme le dit Gilles Lartigot : « … les abeilles sont utilisées pour polliniser la nourriture dont l’humain va avoir besoin pour produire des denrées alimentaires. On serait capable de survivre sans les abeilles, mais on survivrait différemment, avec un système immunitaire affaiblit. On serait plus faible car il manquerait des couleurs dans nos assiettes. La couleur est souvent associée à la vitalité et à la vie…Si l’abeille va mal, c’est que l’environnement va mal. » Suivant le conseil de Konrad Lorenz « La plus grande et la plus précieuse liberté de l’homme s’identifie avec la loi morale qui est en lui »
Il est temps de comprendre les enjeux écologiques d’aujourd’hui et de demain, afin de ne pas déshériter l’avenir de nos enfants,
Notre Jour viendra !
FANFAN
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